C’est l’ Automne 79. Mon Père est décédé depuis deux ans déjà, suite à un accident de voiture. Forcément ma mère a eu du mal à s’en remettre.
A chaque fois que l’on peux, ma soeur ou moi nous passons du temps avec elle, le W-E ou au cours de courtes vacances. Là, comme ma copine du moment travaille et ne peut se libérer, j’ai décidé de partir trois jours avec ma mère. Oh, pas loin, dans le Calvados près d’ Honfleur. J’ai téléphoné en début de semaine, il y avait de la place.
La voiture chargée à 15 H00, j’attends ma mère qui prépare sa valise.
« Ah, enfin, mais maman, on part que trois jours, un sac aurait suffit !»
« Tu es bien comme ton Père, avec lui il ne faut jamais rien prendre ! T’inquiètes pas, au moins j’aurai de la rechange si nous sortons ! «
Malgré le temps passé, Maman parle toujours au présent de mon père.
Au début de son veuvage, elle se négligeait, mais ma soeur lui a fait reprendre sa vie en main, et elle est redevenue coquette.
Je prends la Départementale pour y aller, c’est plus long, mais il n’y a pas de péage. Nous arrivons sur place vers Dix Sept heures, après avoir pris un verre dans un routier.
Voilà, le 12 rue de l’église. Je me gare devant le portillon, et je vais frapper à la porte.
« Bonjour, c’est pour le gîte, je vous ai téléphoner Lundi.
Bonjour, mais le gîte est pris depuis hier, vous avez appelé, mais pas retenu ! «
« Oh, je pensais qu’à cette époque, il n’y avait pas besoin ! Ma mère va être furieuse après moi !»
« Si vous voulez, je peux vous dépanner, il me reste une grande chambre à l’étage avec une salle de bain toilette sur le palier, je peux vous faire un prix ? «
" c’est d’accord, je n’en parle pas à ma mère ! Merci «
Je vais chercher ma mère et gare la voiture dans la cour.
Nous nous approchons avec nos bagages.
Le loueur s’empresse de saluer ma mère et de lui faire des compliments sur sa tenue.
Déjà au café, les routiers ne quittaient pas des yeux ma mère! Je suis le seul à ne pas avoir fait attention à sa tenue. Sous son imperméable beige, elle a mise une petite jupe pieds de poule fendue à l’arrière. Elle lui arrive aux genoux et son pull rouge qui la moule bien et fait ressortir sa poitrine, avec ses escarpins en cuir noir vernis, elle est adorable. C’est vrai qu’elle n’a que 43 ans et pourrait songer à retrouver un compagnon.
Derrière le propriétaire, nous montons l’escalier, il ouvre la chambre, elle est spacieuse. Je remarque aussitôt le grand lit, mais il n’y en a qu’un !
« Oh, zut, il n’y a qu’un lit ! dis je «
« C’est pas grave, il est grand, et tu ne ronfles pas ! « répond ma mère «
Le propriétaire me regarde en souriant, il a les yeux qui pétillent, il dévore des yeux ma mère !
Dans la chambre, ma mère dépose sa valise sur une chaise, elle se tourne vers moi et me dit : « je vais me rafraîchir à la salle de bain «.
« Pas de problème ! « lui réponds. J’enlève mon pull, j’ouvre sa valise, je regarde vite fait ses affaires, une paire de mocassins, une jupe, une robe, deux chemisiers, et des sous vêtements ( bas et collants ) et sous le tout, surprise, un beau godemichet ! je remets tout en place avant son retour, je suis sous le coups de la découverte !
De retour, ma mère me sourit, je remarque qu’elle c’est remaquillée.
« Tu devrais aller te rafraîchir, cela fait un bien énorme ! «
« Oui, tu as raison, j’y file ! «
Je remplis le lavabo, me passe un coups de gant au visage, sous les bras . J’ai comme envie de me branler, ça ne serait pas sérieux, on verra plus tard !
Je remarque au pieds du lavabo une culotte, je la prends, cela doit être à ma mère, je la sens. Hum, elle est humide, je regarde à l’intérieur, un filet d’effluves, je renifle, puis je la lèche, je ne sais pas ce qui me prends, mais j’en ai envie !
Je la remets par terre, me lave les mains et retourne à la chambre. Ma mère s’est déshabillée, elle est en combinaison allongée sur le lit. Je ne peux voir si elle porte des bas ou des collants, ses cuisses sont couvertes.
« Il est encore tôt, on a le temps de se reposer ! « me dit elle.
J’enlève mon pantalon et m’allonge à ses côtés. Je suis obligé de me mettre sur le ventre, car je commence à avoir la trique.
Ma mère se met sur le côté gauche.
Nous sommeillons pendant une heure environ. Puis, je me relève tranquillement.
Le changement de position de ma mère a relevé sa combinaison. J’aperçois le liseré de ses bas et ses jarretelles . Je fais le tour du lit, sa combinaison détendue sur le devant me laisse admirer ses gros seins. Elle a un soutien gorge à balcons. J’ai envie de toucher, mais je ne peux !
Je lui touche l’épaule en lui disant :
« Maman, il va falloir se préparer si on veut aller au restaurant ! «
Elle se relève, se tourne pour remettre sa jupe, s’étire, ce qui fait apparaître sa taille, le bas de ses fesses, le bas de son cul apparaît gainé de bas, dans son porte jarretelles, elle est magnifique.
Je descends avant elle, ce qui lui permet de remettre une culotte.
Le propriétaire est dans on salon, à ma venue il se lève et vient vers moi :
« J’ ai l’habitude d’offrir l’apéro aux locataires, votre mère arrive ? «
« Oui, elle ne va pas tarder ! «
Il sort une bouteille de champagne du réfrigérateur, prend trois coupes dans le buffet et se dirige vers le salon.
Ma mère arrive, je lui explique, elle offre un magnifique sourire au proprio!
Nous nous installons dans le canapé face à lui, il remplit les coupes et nous levons nos verres. Il dit à ma mère se prénommer Bruno . Il explique à ma mère la perte de sa femme, précise son âge 59 ans, comme si il voulait se placer !
Notre coupe vide, il la remplit de nouveau. Ma mère commence à ricaner bêtement, elle ne tient pas trop l’alcool. Assise au fond du canapé, sa jupe s’est relevée et nous permet de mater le haut de ses cuisses bordées par la lisière de ses bas. Ses jambes légèrement écartées laissent deviner l’accès à sa moule qui doit être déjà baveuse.
Bruno me fait un coup d’oeil, il a bien vu que comme lui je profitais du spectacle des cuisses de ma mère!
Je me lève en disant :
« Désolé, mais il est 19 H 15, si on veut trouver un resto pas trop loin !»
Je sers la main au locataire, celui-ci s’empresse d’aider ma mère à se relever et se présente pour lui faire la bise.
Ma mère se prête au jeu et lui rend ses bises tendres qui lui laisse du rouge à lèvres sur ses joues.
Après une recherche en ville, nous trouvons une brasserie ou nous pouvons dîner.
Ma mère se prend un kir royal en apéro, je l’accompagne. Nous choisissons des moules frites que nous buvons avec un rosé sec. Les yeux de ma mère scintillent, elle n’arrête pas de parler, elle revit.
Le repas fini, nous faisons un tour à pieds sur le port. En marchant, elle me prend la main et me demande :
« Tu n’as pas honte de ta mère ? «
« Non maman, tu es très belle ! «
« Merci François, c’est gentil . « me répond elle confuse.
Nous regagnons la chambre sans parler. Elle enlève son imperméable, le pose sur la chaise.
« Oh, je crois que j’ai trop bu ! Passes à la salle de bain en premier, j’irai après toi.»
Lavage de dents, de l’eau de Cologne sous les bras, sur mon ventre, sur mon sexe, j’enfile mon caleçon, celui est ouvert sur le devant, je ne pensais pas dormir avec elle, je passe un thee short et repart dans la chambre. Elle est là, elle a retiré son pull et sa jupe. Elle est en bas soutien -gorge avec un string noir, elle avait prévu une robe de chambre en satin noir, celle-ci est courte et lui arrive au dessus des genoux.
Elle part à la salle de bain, j’allum ...
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