La Confession !


Septembre 86, Je me marie dans quatre jours. A la réunion préparatoire, l’ abbé Bernard qui officiera à la cérémonie me demande :
" Je veux vous voir individuellement pour la confession, sinon vous ne pourrez pas avoir les sacrements. «
Je viendrai donc après mon travail, Jeudi soir, RDV est pris, il me recevra exceptionnellement.

L’abbé est maintenant âgé de la cinquantaine, toujours svelte et dynamique. et près des jeunes.
Sa demande me gêne, car la semaine dernière lors de mon enterrement de vie de garçon, j’ai fauté. Cela me met mal à l’aise et je ne sais pas si je pourrai lui mentir ?
Il est 18 H 00, j’arrive au niveau de l’ église. Je gars ma voiture et me dirige sans enthousiasme vers l’entrée. Le curé m’attend.
" Ah, te voilà ! attends je referme la porte, sinon les grenouilles de bénitiers vont venir pour confesser leur péché de gourmandise ! «
Nous rigolons ensemble !
L’ abbé me montre le chemin vers le confessionnal
Il m’ouvre la porte de l’ isoloir. Je prends place et attend que le prêtre soit installé de son côté derrière le grillage.
A genoux dans mon isoloir, je me signe et prononce l’ introduction:
« Pardonnez moi mon Père car j’ai péché ! «
« Je vous écoute mon Fils parlez sans crainte ! «
Je marque un temps d’arrêt, dois je mentir ?
« J’ai péché mon Père, un péché de chair ! »
« Tu as péché, avec Martine, avant les sacrements? «
« Non, pas avec Martine, elle je ne l’ai pas pénétré dans le vagin, elle m’a juste sucé quelques fois ! «
« Que veux tu dire François, tu l’as sodomisé ? «
« Non, elle ne veut pas ! «
« Alors une autre, tu l’as trompé ? «
« Non, ça ne compte pas, avec un homme ! J’avais bu . «
Après un long silence, j’entends comme un bruit sourd répété.
L’abbé semble intéressé et me questionne une nouvelle fois.
« Raconte moi un peu plus, pour évaluer ta pénitence ! «
« J’étais à mon enterrement de vie de garçon, à la fin de soirée, j’avais bu et Dominique m’a ramené chez moi. Sur place, nous avons encore bu quelques verres, et à un moment, il m’a pris la bouche. «
« Ah bon, et tu a mis la langue aussi dans sa bouche ! «
Rien qu’à en parler, je rebande, heureusement il ne le voit pas.
« Oui, et mes mains ont cherché son sexe, j’avais envie de le sucer «
" Te rends tu compte de ce que tu me dis, comment veux tu que j’évalue ta punition ? «
Même si il ne me voit pas, je baisse la tête !
Bien, on sort, vu l’importance de ton péché on va au presbytère, je dois prier et prendre mon temps pour que tus sois pardonné, imagines Martine si elle avait fait la même chose !
Je le suis, tête baissée, j’aurai dû me taire et rien dire, mais là, je ne peux plus rien faire !
L’abbé me fait rentrer dans le salon, et asseoir sur le canapé près d’un fauteuil.
« Je vais me mettre à l’aise, il revient quelques minutes après avec une bouteille et deux verres. Je remarque qu’il est toujours en soutane, seul ses chaussures noires dépassent de sa soutane.
« Tu as péché, un péché de chair ! On doit combattre le mal par le mal, tu vas bien m’expliquer ce que vous avez fait, nous devons refaire cette scène diabolique pour annuler ta pénitence ! «
Je ne comprends pas trop ces propos, il me sert un verre plein, je ne sais pas ce que s’est, c’est fort. Il lève son verre et m’invite à faire de même.
L’ambiance est bizarre, électrique !
Il a fait brûler une plante dans un bocal, ce n’est pas de l’encens, mais cela est enivrant !
L’abbé se place à mes côtés, et me prend les mains :
« Je t’écoute, raconte moi ! :
« Bien, voilà, comme je vous l’ai dit, nous avions bu, Dominique a pris ma bouche, j’ai aimé, j’ai eu envie de lui toucher son sexe, je l’ai cherché et sucé ! «
« Comment il était, mou ou gros ? «
« Je ne sais pas, normal je crois ! «
« Enlève ton pantalon, on va voir si le mal t’habite !»
Surpris j’obéis à sa demande et me dénude !
Assis sur le canapé, la situation me fait bander.
Le Père Bernard assis à mes côtés, me dit :
On va refaire ce moment pour connaître l’intention ! Tu dois refaire tous ce que tu as fait !»
Nos respirations sont saccadées !
Il approche sa tête de la mienne, prend mes lèvres, sa langue est chaude est vivace !
De sa main droite, il caresse ma nuque.
Mon envie me reprend, ma main passe sous sa soutane, et remonte à la recherche de son membre. Surprise, il est nu sous sa soutane et une bite bandée se présente à moi. Je relève sa soutane et laissant sa bouche me rue sur son dard , hum, son gland est déjà décalotté !
Je l’excite avec ma langue, puis j’aspire son gland. Lui cherche à ouvrir ma braguette et le bouton de mon pantalon, je me lève un peu pour l’aider à l’enlever.
Me voilà le pantalon à mes pieds. Là je continue la fellation, lui me branle doucement, mais je sens bien sa main emprisonner mon membre !
Là, j’arrête et lui dis :
...

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