La fameuse voisine !

Nous habitons depuis dix huit ans dans un quartier résidentiel. Depuis notre arrivée, je m’évertue à être poli et serviable avec mes voisins proches, et le courant passe bien, sauf avec un des voisins, je dirais plutôt une de mes voisines !
A chacun de mes bonjours, rien aucune réponse ! Au début j’ai continué par politesse, mais rapidement, le fait de me prendre des vents m’a refroidi, du coup je ne lui dis plus le bonjour !
C’est bien dommage, car son mari est sympa, j’ai même partagé des marches avec lui et invité à boire des verres à la maison, mais cela n’a jamais été plus loin !

La semaine dernière, levé après le départ à Martine pour aller à son travail, j’ai vu une ambulance arriver devant leur maison. Ne voulant pas faire mon curieux, j’ai observé de l’étage, et j’ai pu constater qu’après un contrôle à domicile, il a été transporté vers le CHU.
Le soir et lendemain, pas de retour. Je me suis donc rendu à leur maison pour prendre des nouvelles, car lui est vraiment gentil !
Bien sur, je n’ai rien dit à Martine, et j’ai attendu qu’elle soit partie à son travail !
Arrivé devant la porte de chez Bernard, je ne bandais pas comme on dit, connaissant la personnalité de son épouse.
Celle-ci âgée de moins de soixante ans est une personne bien proportionnée, malgré un léger embonpoint. Elle est toujours vêtue classe et ne sourie jamais !
Positionné devant la porte d’entrée, je prends une attitude triste avant de frapper à la porte. Vu l’époque, le mois de Mai étant beau, je suis en jogging avec un polo manches longues directement sur le corps.
Je sonne plusieurs fois, je sais qu’elle est présente, son véhicule est là stationné dans la cour.
Après un moment d’attente, la porte s’ouvre, elle apparaît, les cheveux ébouriffés, vêtue d’un robe de chambre lycra noire, celle-ci ceinturée au niveau des hanches mais pas totalement, laisse deviner une robe de nuit en dentelle de tulle noire transparente qui s’arrête au dessus de ses genoux.
D’abord surpris pas sa tenue, je me reprends et lui dis :
« Bonjour, je vous pris de m’excuser de mon intrusion matinale, mais je voulais avoir des nouvelles de Bernard,, j’ai vu hier le SAMU le prendre en charge et je voudrai être rassuré ! «
Je n’ai jamais entendu sa voie depuis que je la connais, là elle me répond d’une manière plus qu’agréable !
« Oh, c’est gentil de votre part de vous inquiéter pour Bernard, veuillez rentrer ! «
Je la suis dans le couloir, ou elle me demande de rentrer dans le salon. Nous nous asseyons.
« Je peux vous appeler François, c’est vrai que l’on pas eu trop l’occasion de dialoguer ! «
« Oui, c’est vrai, le temps passe tellement vite et l’on même pas le temps de parler et de profiter ! «
« Pour Bernard, il a fait un infarctus, c’est son deuxième, j’ai eu peur ! «
Tout en l’écoutant, j’observe ses jambes, elles sont légèrement écartées, laissant apparaître son entrecuisse. Je suis hypnotisé par cet entrejambe.
Je n’ai même pas capter qu’elle sanglote !
Je me lève et lui caresse sa tête en lui disant : « Ne pleure pas, il est entre de bonnes mains ! «
J’accentue mes caresses et dirige mes mains vers ses épaules, elles sont maintenant découvertes !
Sa peau et douce, même si je n’ai jamais eu d’attirance pour cette femme, je n’ai qu’une idée en tête, la baiser !
Elle se lève lève pour aller prendre un mouchoir dans une boite. Elle revient, je me lève et me rapproche d’elle.
Mes mains vont sur ses épaules et sans le vouloir se glissent sous la robe de chambre lycra. Je ne le vois pas, mais sa ceinture se desserre ouvrant sa robe de chambre. Je suis face à elle.
Elle continue de pleurer et se blottit dans mes bras. Il faut que j’en profite, qu’elle se sente en sécurité avec moi !
Sa poitrine est contre moi, sa tête est dans le creux de mon épaule, je ne connais même pas son prénom !
« Ne pleure pas, je suis là, viens, suis moi, il faut te rafraîchir ! «
La conception de la maison est la même que la mienne, je l’entraîne vers la salle de bain. Elle me suit comme une automate. J’allume la lumière, elle se blottit contre moi en sanglotant !
J’écarte la robe de chambre, elle tombe. J’écarte les bretelles de la nuisette, elle glisse et va au sol .
Simone, ( c’est son prénom ) ne réagit pas. Je l’emmène sous la douche Italienne, je me déshabille et règle l’eau avec le mitigeur.
Puis, je l’arrose doucement et à l’aide d’un gant, lui humidifie son corps. Avec le shampoing, je lui frictionne ses cheveux, sa poitrine, son ventre puis je passe sans précipitation à son sexe. Elle arbore une toison au dessus de ses lèvres vaginales. Je la frictionne et ouvre ses lèvres. Elle gémit, je l’ai dressé sans le vouloir, je lui frictionne son dos, les fesses, ses cuisses, j’enlève mon gant et netto ...

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