De mariage à Amiens.

Septembre 2002, nous sommes de mariage à Amiens, une cousine à mon épouse Martine. Sa tante nous a proposé de coucher chez eux le Samedi après la soirée.
Nous avons accepté, nous pourrons profiter plus, et boire normalement.
Nous sommes reçus le Vendredi dans la soirée avec nos sacs . L’accueil est super. Nous avons dîner, l’oncle José me paye un digestif, il est déjà, comme toujours à deux grammes. Certainement l’excitation de marier sa fille.
La tante, Brigitte, elle est dans son état normal, toujours charmante et bien habillée.
La soirée se passe tranquillement, nous nous couchons de bonne heure pour être en forme pour la journée de demain. Nous déjeunons et nous préparons . Après la douche. Martine a choisi de mettre un petit string noir et un soutien gorge balconnets. Malheureusement, elle opte pour un collant chair. Par dessus le tout, elle enfile une petite robe courte en tissu de couleur rouge.
« Tu devrais mettre un porte jarretelles, on ne sait jamais si tu as une occasion ! «
« Tu sais bien que cela ne me gênera pas, si tu m’y autorises ! «
Nous rigolons tout les deux de bon cœur, mais moi je le disais sérieusement !
Mairie et église se succèdent, puis le vin d’honneur à la salle des Fêtes. Je peux observer les différentes femmes présentes, il y a des bons petits lots! Il va falloir attendre le repas au restaurant et la soirée dansante pour draguer et frotter un peu leur petit cul !
Je me jette quelques coupes de champagne. Martine discute avec des beaux mâles, ça m’excite de voir son petit cul en sachant que dessous sa robe son string lui rentre dans les fesses et ses lèvres sous son collant !
Heureusement, le restaurant est à 200 mètres de la salle, on avait prévu, et on est garé à côté !

On est enfin à table, le plan de table a été fait par la tante Brigitte, et je me retrouve à sa gauche. Martine est en face de moi, mais décalée d’une place. Elle a un homme de chaque côté et moi deux femmes.
Un apéro est servi à table après le vin d’honneur. Brigitte a déjà bien bu. Elle me fait la conversation. Sans être belle, elle est désirable. Âgée de la cinquantaine, elle n’a jamais travaillé, petite bourgeoise ! Je n’arrive pas à la regarder dans les yeux, mon regard est hypnotisé par sa poitrine. En plus, elle a un grand décolleté qui met en valeur sa poitrine volumineuse de taille 100, certainement du bonnet E.

Alors que je regarde sa poitrine, je sens un contact sur ma jambe droite ! Cela me ramène à la réalité, en faite c’est sa jambe gauche qui tape ma jambe droite.
Je ne bronche pas, et soudain, sa main patrouille mon entrejambe. Ma première réaction est de regarder son mari José, qui est en face d’elle, le verre à la main.
Là étonnamment, elle me demande :
« Tu es content d’être à côté de moi ? C’est moi qui ai fait le plan de table, j’avais envie de te sentir près de moi ! «
Connaissant de réputation les « qualités « de la tante, et ayant envie de jouer le jeu, je lui réponds :
« Moi aussi Brigitte, je suis heureux d’être à tes côtés, c’est un honneur de pouvoir te voir de prêt, et de te sentir à mes côtés !»
« La soirée ne fait que commencer, tu me réserves les slows, j’ai hâte ! «
N’écoutant que mes envies, ma main droite va sous la table. Je cherche ses cuisses, je retrousse sa robe et caresse ses cuisses. Ma main remonte jusqu’au liseré ses de ses bas. Maintenant, je n’ai qu’une envie, qu’elle me suce !
Ma main remonte jusqu’à son entrejambe, je fixe son mari dans les yeux, il me sourit, quel plaisir de voir le futur cocu alors que je caresse sa femme, je bande !
Je sens que Brigitte écarte ses jambes pour me laisser un maximum d’accès à sa boite à plaisir.
Tout en surveillant autour de moi, je commence à glisser ma main sous la culotte de la Brigitte.
Elle est bien humide, mon doigt glisse tout seul entre ses lèvres, elle se tortille sur sa chaise, j’ai envie de lui prendre la bouche !
Il faut que j’ arrête, que j’attende !
Je retire ma main et m’enfile une coupe de champagne. Brigitte me pelote les couilles ! Hum, c’est vraiment une chienne la tante !
Ma femme Martine me demande en souriant si cela va. Elle a les yeux brillants, j’espère que ses voisins s’occupent d’elle !
Je reste calme en mangeant, me laissant caresser par ma voisine !
Au cours du repas, ma tante Brigitte se lève et pars aux WC. En revenant, elle me parle à l’oreille et me dit :
« J’ai retiré ma culotte, j’ai envie de toi ! «
« Arrêtes Brigitte, tu vas la bouffer ma bite, sois patiente ! «
A mes mots, elle reprends un verre de blanc en me souriant !
Le repas se termine tranquillement et la musique commence a résonner dans la salle. Je danse disco avec Martine sous le regard de Brigitte. Les slows arrivent et je les commence avec ma femme. Dès le 2ème, Brigitte surgit et dit à Martine :
« Profites un peu, il y a des beaux hommes, je m’occupe du tien ! «
Les deux femmes rigolent de concert, alors que Brigitte m’emmène au fond de la salle dans un coin sombre.
Au rythme de la musique langoureuse, son corps se frotte au mien, ses seins écrasés contre mon corps me communique sa chaleur. Ma jambe est logée entre ses cuisses et je fais en sorte de la frotter un maximum. Ma main gauche sur ses hanches glisse sur sa fesse, je la frictionne tendrement. Son visage dans le creux de mon épaule ronronne, elle soupire, comme un gémissement. Dans l’obscurité j’ose lui lécher son oreille.
« Oh oui ! « soupire elle
Ma main droite glisse sous sa robe, nous sommes collés l‘un contre l’autre. Je passe mes doigts sur ses lèvres et récupère ses effluves.
En prenant des précautions, je porte mes doigts à ma bouche et ensuite à la sienne, elle me les suce !
Les slows se terminent, je retourne à la table et croise Martine, elle aussi revient du slow. Je n’ai pas vu avec qui elle frottait.
Elle m’embrasse, comme pour se faire pardonner ?
« Alors, tu t’amuses ? T’as trouvé une copine ? «
« Non, même pas, ta tante ne me lâche pas ! Mais la soirée commence ! «
A table, Tonton José nous sert une coupe de Champagne. Brigit ...

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