Merveilleuse voisine !

Été, 2022, Je rentre au CHU pour une intervention importante au niveau cardiaque, je ne bande pas, mais cela se déroule au mieux.
A mon retour, après une dizaine de jours, je retrouve ma Martine. Elle est heureuse que je sois en forme, et dès le soir de mon retour, vu son envie et la mienne, me prodigue une fellation dont je me rappelle encore, elle avait autant envie que moi la chienne !

Les jours de convalescence se déroulent avec l’éternel défilé de la famille et des Amis. Puis, Martine reprend le travail, je dirai enfin !
La tranquillité revient. Mardi matin, on frappe à la porte, je suis en short et polo, surpris, je vais ouvrir et constate la présence de Gisèle, voisine de l’angle du parking. Femme discrète âgée de la soixantaine, elle a gardé un physique agréable sans prendre de poids. Elle s’habille comme une jeune fille et parle avec douceur.
Son mari, âgé d’une dizaine d’années en plus ne sort plus souvent, il reste dans son fauteuil dans le salon devant sa TV. Il a un peu perdu la boule.
« Bonjour, excusez moi de vous déranger, j’ai appris votre intervention, et je voulais prendre de vos nouvelles, je n’ai pas osé venir avant, pour ne pas déranger ! «
« Rentrez, c’est gentil de votre part, allons dans le salon ! «
« Merci François, vous avez l’air en forme ? «
« Oui, après l’opération et une dizaine de jours de convalescence, avec l’aide des vitamines, je pète la forme ! «
« Tant mieux, cela me fait plaisir ! «
« Et votre mari, sa santé va bien ? «
« Oh, vous savez à son âge, il passe son temps assis devant la TV, et moi, je m’ennuie ! «
« Je vous comprends, une belle femme comme vous, cela a besoin de vibrer encore ! «
Joignant le geste à la parole, je lui prend la main et la porte à ma bouche. Après y avoir déposé un baiser, je prends Gisèle à la taille et la sers contre moi.
Après un moment de réconfort, j’ose poser un baiser sur ses lèvres, elle se laisse faire, et ouvre sa bouche, je peux y fourrer ma langue baladeuse.
Après quelques minutes d’embrassades, elle effondre dans mes bras.
« Oh, excusez moi, je suis gênée, mon mari ne m’as pas embrassé depuis des années , et je n’ai plus senti la chaleur d’un corps depuis, je ne m’y attendais pas «
« J’espère ne pas voir avoir choqué ! «
« Non, bien au contraire, cela m’a fait du bien ! «
« Et au niveau sexuel, C’est pareil ? «
« Oui, tu sais, il ne bande plus depuis longtemps , j’ai fini par me caresser. J’ai eu quelques occasions mais sans suite ! «
« Tu m’as toujours plus, mais j’ai jamais osé venir te draguer, je le regrette ! «
« je dois y aller François, si tu veux, tu peux passer à la maison pour 14h 00, mon mari dormira dans son fauteuil. «
« Pas de problème Gisèle, je viendrais ! «
Je m’approche d’elle, et ne peux m’empêcher de lui prendre la bouche, elle est haletante et me tiens la tête avec fébrilité, comme pour ne pas que j’arrête !
Puis, elle part sans se retourner, je la regarde en bandant, je pense déjà à l’après midi que je vais passer, ma convalescence se déroule bien !
Je déjeune tranquillement en pensant à Gisèle, je n’ai qu’une hâte c’est d’être à 14 h 00, que je puisse aller lui rendre visite.,
Je pense à prendre une bonne bouteille de rouge, si son mari ne dort pas, ça l’occupera !
Je me mets un pantalon toile, pas de slip, et un polo bleu manches courtes. J’arrive devant la porte d’entrée, je frappe timidement pour ne pas réveiller le mari si il dort.

C’est Gisèle qui m’ouvre, elle a changé de tenue, elle porte une jupe pas très longue et un chemisier blanc transparent. Je peux deviner son soutien gorge noir, elle est sexy. Je constate qu’elle c’est maquillée les yeux, et a passé du rouge à lèvres. Elle me donne presque la gaule.
« Oh François, c’est vous, c’est gentil d’être passé, je vous offre un café ? Venez vous asseoir dans le salon, mon époux somnole dans son fauteuil ! «
Je rentre dans le salon, le mari âgé est dans son fauteuil, à mon arrivée, il me dévisage curieusement. Gisèle part faire le café.
« Salope, putain, baise là ! «
Je suis gêné par ses propos, je m’assoie dans le canapé.
Le mari continue a grommeler des propos incohérents. Gisèle arrive avec deux tasses.
« Ne fais pas attention à ce qu’il dit, il perd la tête. « Puis, elle va vers lui, tourne son fauteuil vers la TV. De cette position, il ne peut plus nous voir, il est juste en face de l’écran, ce qui ne empêche pas de continuer à émettre ses propos!
Elle me sert un café et s’approche de moi. Elle est presque collée à moi, elle me sourie ! Son café, je m’en fou, malgré la présence de son mari, je la prends dans mes bras, je lui caresse le dos, mes mains court sur son corps, sa respiration augmente, la langue sortie, ...

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