Ce n'était pas prévu , je viens de me faire saillir par un beau black, moi la petite travelotte lesbienne. Je disais toujours , les hommes ne m’intéressent pas , que les filles, travesties, trans ou femmes génétique. Les machos , les hormones mâles , très peu pour moi.
Je viens de me faire démonter , casser le cul et royalement en plus.
Et putain que j'ai AIMÉ!
Je suis en train de me changer, j'ai la chatte en feu qui ruisselle de sperme, j'ai mis des mouchoir pour boucher le trou , le temps de m'habiller et d'aller aux toilettes me vider.
Mon bel adonis d’ébène me regarde tous sourires.
- mon salaud qu'est que tu m'as mis, à part ma femme et des travesties, personne n'y était passé !
– c'est aussi la première fois que j'encule un mec , mais toi avec ta lingerie, j'ai pas pu résister, t'es plus belle que certaine fille. En général c'est les moches qui veulent bien ce faire enculer, les autres font les princesses.
- je crois que je vais boiter un moment , je suis comme vidée.
Je cours aux toilettes , expulse un maximum de sperme, je sens bien qu'il en reste , il a été loin en moi, je sens un vide , il me manque quelque chose ,
« putain » j'ai encore envie de lui, de sa queue en moi, je croie que je suis une salope avide de queues.
Je me reprends reviens à mon bureau , Camille est parti, il fait son job , tout le monde l’apprécie. Moi encore plus maintenant.
J'avais toujours dis à mes collègues , ouvriers, sous traitants et autres, « No Zob in Job ».
c'est source de conflit, ça fini toujours mal.
Et là ! Bim en plein dedans . J'ai quand même de la chance, c'est une belle bête vraiment douce. Je part en vacances à la fin de la semaine et Camille ne sera plus là à mon retour il repart à Brazzaville.
« PUTAIN merde » il me manque déjà !
La mâtiné est longue je le croise , il est indifférent , moi de même, classe le mec , je l'aime encore plus.
Midi , nous allons au resto ,j'offre , c'est la boite qui paie. Nous parlons boulot et faisons des allusions sur ce qui c 'est passé ce matin , sans vraiment aborder le sujet , mais le salaud me caresse les cuisses dès qu'il peu !
Nous rentrons au bureau du chantier, à peine passé la porte , il me prend dans ses bras , me roule une galoche , sa langue est grosse, elle me remplie la bouche, j'ai un rosbeef entre les lèvres , il joue avec la mienne , je suis complètement soumis à sa volonté.
– suces moi ma belle , j'en ai envie depuis ce matin,chaque fois que je t'ai vue, prends ton temps !
Il a déjà sorti sa queue, elle est déjà bandé, son pré cum au bout du gland goutte.
Je me mets à genoux , je lèche sa queue , son jus m'excite , je suis devenue sa petite pute, j'astique son membre, il se décharge dans ma bouche , il me plaque force à avaler, je suis soumise ! J'aime son sperme au fond de ma gorge , je me vide dans ma culotte.
Il me repousse doucement .
– merci ma chérie, nous allons passer une bonne semaine !
Il se retire , se rhabille .
– aller , au boulot !
Il repart, je suis encore à genoux , la culotte trempée, je réalise que je n'attends que lui.
Le soir même scénario , il me laisse à genoux, et rentre chez lui.
Je rentre à l’hôtel, toute retournée, j'enfile ma nuisette et me gode comme une salope, pensant à son chibre me perforant.
Ma nuit se consume, en rêves érotiques et sexuels. Le matin ma nuisette est trempée .
Après une bonne douche brûlante , je me couvre de mes lingeries sous mon pantalon et ma chemise. Une petite culotte transparente et une brassière coordonnée.
J'arrive de bonne heure forcément, il est la et je fond devant son beau corps musclé.
Le salaud il est nu , sur le lit, il attend, il m'attend !
J’enlève mon pantalon et ma chemise , me jette sur sa queue, je lui fais ce que je fais de mieux, son gourdin est levé comme une tour effel. Je n'en peu plus , je l'enjambe et me plante dessus sans préparation , il me déchire et je continue, je suis folle de lui, je suis empalée, j'éructe , je cri des insultes , « PUTAIN que s'est bon » .
il s'active en moi , me soulève de son bassin et me laisse retomber sur lui, je suis sa chose.
Il me triture les seins, je râle, c'est moi qui mène la danse, je monte et descend sur son dérick, Je veux sa jouissance, je veux le sentir exploser en moi.
– salope je vais jouir , je vais te féconder!
- merci mon bel adonis , remplie moi !
Encore une fois son foutre m'inonde , il est chaud, gluant, collant.
Je m'affale sur lui déjà épuisée.
– tu es une vraie salope , tu baise comme une chienne en chaleur.
Encore une fois , il me soulève et me pose sur le coté, je suis épuisée et heureuse . Il se rhabille .
– repose toi je fais ...

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