Week-end avec Patricia chez Mamie ( Suite 1 )


La première soirée chez Mamie c’est bien passée. Cette nuit orageuse m’a permis d’avoir un sacré rapport avec Patricia. Nous sommes là pour égayer un peu le quotidien de Bernadette ma grand mère.
Patricia converse avec elle, et le courant passe bien. Nous avons convenu avec Patricia qu’il fallait embellir Mamie, car à 58 ans, elle est encore belle, il suffit juste de lui redonner goût à la vie.
Il y a quelques années, pas si lointaines, elle était enjouée, sexy pour ne pas dire cavaleuse, mais à la disparition de son mari, elle a sombrée ! Patricia propose donc à Bernadette de prendre un bon bain, et qu’ensuite elle lui fera un massage.
Bernadette refuse, mais vu notre insistance, elle finit par abdiquer !
Voici donc les filles parties dans la salle de bain. Patricia coule de l’eau tiède, Bernadette se laisse guider.
Malicieusement, Patricia laisse entrouverte la porte de la salle de bain. Caché derrière la porte, j’observe le corps de Bernadette. Pas un poil de graisse, juste un petit ventre d’hirondelle. Ses seins sont bien ronds et ne tombent pas. Par contre sa chatte est poilue, il va falloir la tailler !
La baignoire est pleine, Bernadette monte dedans. Patricia se déshabille pour pouvoir laver et frotter le corps de Mamie. Elle la savonne consciencieusement. Mamie se laisse faire et ferme les yeux.
Patricia rentre dans la baignoire, et se place derrière elle. Elle attire le corps à Mamie sur elle et le savonne au niveau de la poitrine. Ses mains descendent sous l’eau et masse son ventre puis son entrejambe. Bernadette a les yeux fermés et se laisse cajoler.
Patricia lui demande de se lever, elle obéit. Ainsi elle peut lui savonner son derrière, son sexe et ses cuisses. Patricia chantonne, elle rince le corps et soudain m’appelle :
« François, tu peux m’apporter deux grandes serviettes, SVP ! «
Aucune réaction de mamie, elle est comme envoutée.
Je rentre dans la salle de bain et sors de la commode les deux serviettes.
Mamie dit : « oh, je suis gênée ! »
Patricia réplique immédiatement :
« il n’y a pas de quoi, avec un corps comme cela, tu peux le montrer ! Tu as dû en faire tomber des hommes. «
En tutoyant mamie, elle a cassée la barrière de l’âge !
Pour la rassurer, je rajoute : « C’est vrai, beaucoup de jeunes filles peuvent t’envier on va te sortir de ton ennuie ! «
Du coup, oubliant sa nudité, Bernadette se mets à rigoler !
Patricia prends une serviette et essuie le corps humide, puis, elle donne la serviette à Bernadette et lui dit : « Essuis moi ! « Bernadette frotte le corps humide de Patricia.
La baignoire vidée, elle dit à Bernadette : « Bon je vais débroussailler ta minette, c’est plus à la mode la touffe de poils ! «
Les deux femmes partent dans un long fou rire. Allons dans ta chambre, cela sera mieux si tu es allongée : «
François remplis une bassine d’eau tiède et viens avec. «
Patricia dirige la manoeuvre, Bernadette est soumise.
Elle s’attaque à la coupe du pubis, au ciseau d’abord, puis, elle étale de la mousse à raser sur le bas ventre et autour des lèvres et me dit : « Vas y François, je ne sais pas trop me servir d’un rasoir ! »
Rien qu’à cette idée, j’ai la gaule, et mon sexe grossit dans mon caleçon
Je m’approche, mamie est allongée tête en arrière, tant mieux, elle ne voit pas que je bande
Doucement je commence le rasage. J’ouvre les lèvres avec un doigt pour bien rasé le tout.
Patricia a vu mon état, et sort mon sexe du caleçon, elle me branle doucement. Je vois le ventre de mamie qui bouge sous l’effet de sa respiration haletante. Je lui écarte les jambes pour accéder aux différents endroits et ne pas laisser de poils. Patricia essuie avec un gant d’eau savonneuse et me dit : « Tu as travaillé comme un chef «
« Bon, je vais masser Bernadette, cela va la détendre ! mets toi sur le ventre ! »
Patricia enlève sa serviette, et se met à califourchon sur Bernadette. Assise sur son cul, elle pétrit son dos, en forçant pour remonter sa peau. Puis elle frictionne lentement son dos. Elle se retourne et lui masse les fesses en insistant sur ses cuisses intérieures. Une de ses main s’insinue dans son sillon inter ...

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