Je m’appelle Jacques. J’ai 25 ans, cheveux châtain 1,75 m, 62 kg.
J’aime beaucoup me travestir pour sortir en boite, je deviens alors Natacha.
Mes amis me disent que je suis très belle et que je pourrais tomber tout les hommes. Cela me fait plaisir mais ce n’est pas mon but. Je trouve les habits féminins plus jolis que les habits masculins.
Depuis quelque temps, avec deux amis qui se travestissent comme moi, nous nous retrouvions dans une boite de nuit tout les samedis soir.
Les hommes nous regardent et je crois qu’il voudrait bien nous draguer, mais mes amis et moi nous n’en avions pas trop envie. Nous venions là uniquement pour nous amuser. Et pourtant inconsciemment j’étais très excitée de voir ces beaux males me faire des avances discrètes. Mais je restais bien sage.
Puis une nuit il m’est arrivé une aventure qui m’a fait changer d’avis.
Nous avions bien arrosé un anniversaire et beaucoup dansé. Vers 3 heures du matin nous nous sommes quittées à la sortie de la boite et nous avons repris chacune notre voiture.
Après une dizaine de kilomètres, la fatigue me tomba sur les épaules, je ne me sentais pas capable de rentrer chez moi, il me restait 40 km environs mais j’avais vraiment peur de m’endormir.
Heureusement sur la route une aire de stationnement me permit de m’arrêter.
J’ouvre une parenthèse pour me décrire, ce soir là je portais une mini jupe bleue, un corsage très décolleté et des bas résilles. Des chaussures à talons très hauts complétaient le tableau. Il faisait chaud, c’était en plein été.
Après m’être arrêtée, je descends de la voiture et je commence à marcher de long en large pour me réveiller. L’air frais du matin fait son effet et je commence à aller mieux.
Un camion semi-remorque pénètre sur le parking et va se garer un peu plus loin. Je continue à me promener doucement.
- « Tu prends combien ? »
Je sursaute et je me retourne. Un homme est là, il me regarde avec un air gourmand. Il est plutôt bien foutu, grand, brun, costaud mais pas trop, le bel homme quoi.
- « Bonjour, quel est ton tarif. »
Je reste comme paralysée. Puis je me dis qu’il me prend pour une prostituée, ce qui s’explique vu ma tenue.
- « Je ne suis pas ce que vous croyez, je me suis seulement arrêter pour me reposer. »
- « Excusez-moi, mais à cette heure là on peut se tromper. »
L’homme me sourit, il est vraiment superbe, je commence à regretter de ne pas être une femme.
- « Pour me faire pardonner, puis-je vous offrir un café dans mon camion ? »
Son sourire est tellement engageant que je me surprends à accepter.
- « Merci, cela va sûrement me faire du bien, j’ai vraiment un gros coup de pompe. »
L’homme m’entraîne vers son camion en me prenant par le bras. Il sent très bon, son eau de toilette est très agréable.
Pour monter dans le camion l’homme m’aide et il en profite pour me mettre la main au cul, mais c’est de bonne guerre. Son camion est très bien équipé. Il monte de l’autre coté et met sa cafetière en marche.
- « Je m’appelle Claude, et vous ? »
- « Moi c’est Natacha, vous êtes bien installé. »
- « Oui, pour les grand trajet il faut tout prévoir. On doit s’arrêter pour se reposer de temps en temps et on n’est pas forcement dans des endroits très habités. »
Le café est prêt et Claude m’en sert une tasse. Nous buvons tranquillement le café. Claude me parle de son métier, il est célibataire car, comme il dit, ce n’est pas facile d’avoir une femme quand on est toujours sur la route. Tout en parlant sa main s’est posée sur ma cuisse, il me caresse doucement, mais il n’essaie pas d’aller plus loin. Il s’est aussi rapproché de moi doucement. Je devrais résister et lui dire d’arrêter mais je trouve cela très agréable. Sa main remonte vers mon string, là je l’arrête quand même.
- « Excusez moi, mais vous êtes si belle et attirante. »
- « Merci mais vous ne me connaissez pas, je … » J’ai failli lui dire que je n’étais pas une femme mais, je ne sais pourquoi, je n’ose pas.
- « Je ne demande qu’à vous connaître, vous êtes si merveilleuse. »
Je ne sais plus quoi dire, il me regarde si amoureusement que je me sens fondre. Il retire la main de ma cuisse et passe son bras derrière mon cou, il m’attire doucement vers lui et il m’embrasse à pleine bouche. Sa langue se mélange à la mienne, c’est la première fois que j’embrasse un homme. Je réponds inconsciemment à son baiser et j’y prends plaisir. Le baiser se prolonge et je commence à être très excitée.
- « Comme vos lèvres sont douces. J’aime le goût de votre rouge. »
Pendant qu’il m’embrassait son autre main à commencer à caresser mes seins, ils ne sont pas très gros mais ils sont très sensibles, mon excitation augmente en même temps que le volume de mon sexe. Cela ne se voit pas trop mais il ne faudrait pas qu’il y mette sa main…
Il me serre de nouveau contre lui et m’embrasse encore, j’y prends de plus en plus de plaisir. Ma main est posée sur sa cuisse et je remonte doucement vers le sexe. A travers le pantalon je sens un engin superbe et très ferme. Je le caresse doucement.
- « Oui, chérie, vas-y fait moi bander. »
Je crois que c’est déjà fait, mais je continue quand même. J’ouvre sa braguette doucement et je dégage son sexe du slip qui n’en peut plus, et, d’un seul coup, je ne sais pas pourquoi, je me penche sur lui pour le sucer. Je n’ai jamais eu envie avant aujourd’hui de sucer un sexe d’homme. Je commence par le suçoter du bout de la langue puis petit à petit je le mets dans ma bouche.
- « OUI, c’est bon, tu suce bien ma chérie. »
Je ne me croyais pas si douée. Puisqu’il aime cela je continue. Lui ne reste pas inactif, il me caresse et me pince doucement les tétons, à chaque fois qu’il me pince je sursaute mais c’est très bon. Son sexe est maintenant très dur.
- « Ma chérie, j’ai envie de toi. Retourne toi je vais te prendre. »
- « Non, je ne suis pas ce que tu crois. »
- « Mais si, je sais que tu es un travesti, mais cela me plais, j’aime beaucoup. »
- « Je n’ai jamais fait cela, je ne sais pas si j’aimerais. »
- « Sensible comme tu l’es cela m’étonnerais que tu n’aime pas, je serais très doux, tu verras tu n’auras pas mal, juste du plaisir. »
Il continu a me caresser partout, ses mains sont douces, il m’affole, tout mon corps est comme électrisé, je n’en peux plus, c’est trop bon.
Je ne sais plus quoi faire, finalement je m’abandonne.
- « D’accord, je te fais confiance, je suis à toi, prend-moi. »
- « Ne t’inquiète pas, je n’ai pas envie de te décevoir. Monte sur la couchette et couche toi sur le dos, j’arrive.»
Je monte sur la couchette et je l’attends. Il se déshabille complètement et ferme les rideaux du camion. Il me rejoint et se met au dessus de moi. Son sexe bien raide est devant ma bouche. Je le prends en bouche pour le sucer. Il commence à me sucer la queue, en même temps il me caresse et me pétri ...

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