Lors d'un déplacement professionnel, j'ai rencontré un homme marié qui assume ses fantasmes de temps à autre avec un gars. Nous avons sympathisé à l’hôtel et même plus. Je n'ai pas l'habitude de conserver ce type de contact mais j'avoue que ce garçon me plaît beaucoup.

Pendant mon temps libre, je rénove une petite bâtisse de la fin du XVIIIe. La pièce de vie est désormais accueillante avec coin cuisine, poêle à bois... Alors que je réalise des joints de chaux sur des pierres à vue, je reçois un texto de mon camarade belge. Il s'enquiert de savoir si je fréquente un hôtel sur sa route. Non, en ce moment, pas d'hôtel en vue mais je lui propose de s'arrêter dans cette maisonnette, au coin du feu en raison des températures hivernales. L'accord est scellé, il me prévient lorsqu'il arrivera dans le village et je viendrai à sa rencontre.

Une douche pour me débarrasser des traces de chaux sur les mains et même le visage, un peu de ménage pour retirer la poussière et un bon feu de bois pour une température propice à se dévêtir. Un thé et un en-cas pour l'hospitalité.

Le téléphone vibre, mon amant d'un jour est sur la place du village à une centaine de mètres. Je le rejoins et nous revenons sur la bâtisse en cours de rénovation.

C'est un garçon d'une quarantaine d'années, marié et père de famille, itinérant par son métier de consultant juridique et fiscal. De taille moyenne, il est plutôt blond, sportif et très bien fait. Sa voix est douce, tout comme sa peau d'une jolie couleur ambrée comme s'il faisait des séances d'UV. Une casquette de gavroche régulièrement vissée sur sa tête, lui donne l'air d'un jeune homme espiègle et un peu suranné.

Un thé, des gâteaux à grignoter, nous voilà installés sur une couverture juste devant le poêle à bois qui nous sert aussi d'éclairage en cette fin d'après-midi hivernale. A quelques mètres du foyer, la radiation des flammes réchauffe franchement. Le thé et les gâteaux écartés, nous commençons à avoir très envie de consommer nos désirs. Baisers, caresses et sa chemise est minutieusement déboutonnée pour libérer son beau torse orné d'une pilosité modérée et plutôt claire. Nous nous appliquons à nous dévêtir tout en craignant un peu le froid. Non, les flammes dardent des rayons chaleureux qui donnent à nos corps nus un éclat singulier et particulièrement érotique. La couverture est confortable et mon amant sourit en assurant qu'il est très bien. Je vois à son sexe dressé que cette ambiance stimule avidement sa libido... et la mienne.

J'aime l'embrasser goulûment, caresser s ...

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