Mon premier cul rempli bareback remonte à un mois de juin il y a 10 ans environ. Enculer un mec n’avait pas été ma priorité tant que je baisais avec capote : il y a plein de trucs jouissifs à faire en dehors de l’enculade. J’étais déjà amateur de jeux avec les fluides de mec, mais c’était toujours avec capote quand un mec avait envie de ma bite dans son cul.
Et puis il y a eu ce soir de juin, sur une aire de repos bien connue sur le plateau de Lannemezan entre Tarbes et Toulouse, l’aire des Bandouliers (bien nommée). Une aire boisée assez grande, bloc des wc au milieu, chemin circulaire tout autour derrière des sapins, avec des places de parking de proche en proche, et surtout des recoins plus loin. À cette époque il y avait au moins deux passages dans le grillage de clôture pour aller encore plus loin dans le bois environnant.
Mais c’est dans les chiottes que ça s’est passé. C’était vers 20 heures 30, je m’étais garé sur le parking principal devant le bâtiment des sanitaires. Presque personne, 4 ou 5 camions sur le parking PL plus loin, mais pas de routier visible. J’étais cho, couilles pleines, en short et sandales. Je m’étais assis sur une table de picnic à gauche du bâtiment, visible du parking. Je fume. Attente. Une bagnole arrive, le mec se gare à deux places de la mienne. Il sort de sa caisse et entre dans les chiottes. La soixantaine, costo, dégarni, tifs ras grisonnant, barbe de 4 jours, gueule virile, nez bien masculin, en bermuda (grosses cuisses) et t-shirt. Tout à fait ma came… mais je ne bouge pas. Il ressort assez vite, mais s’arrête devant le lavabo extérieur, allume une clope… et contourne le bâtiment par l’autre côté. Je ne bouge toujours pas, j’attends.
Et comme je m’y attendais, il réapparaît lentement de derrière le bâtiment, il se tient là où je peux le voir mais sans être visible du parking. Il a baissé son bermuda, il bande, il est poilu régulièrement sans être hirsute, mais bonnes cuisses bien poilues, le ventre aussi, broussaille autour du zob, kif. Je n’ai pas bougé mais on se regarde. Lentement, il se resape, longe le bâtiment et entre de nouveau dans les chiottes. Toujours pas de routiers en vue, que lui et moi à ce moment-là. Je le suis.
À l’intérieur, quatre pissotières, et deux wc clos (assez grands). Sauf que les deux portes sont ouvertes, le mec est invisible, je m’approche de la deuxième porte, le mec est déjà à poil en adidas, pine dressée (ce bon gros zob poilu et trapu), regard planté dans le mien, je ferme la porte derrière moi, je me fous à poil direct. On se roule des pelles, il sent le mec, comme moi, je lèche les poils de ses aisselles, il me branle, mais c’est moi qui me baisse pour sucer cette putain de queue poilue, en sniffant ses burnes comme deux grosses châtaignes, en même temps je lui caresse cuisses, arrière des genoux, fesses bien charnues, avec du poil aussi dans la vallée. Je lèche depuis les couilles jusqu’au gland, je bave : bon rut, lui aussi.
Assez vite, il se baisse, s’étend par terre, le 69 est au programme. Le chiotte est clean, carrelage froid, mais on est assez cho. Il s’occupe de ma queue, je continue sur la sienne, je m’installe sur le dos, il a deviné et vient poser son cul d’ours sur ma gueule tout en me bouffant la pine. Pour moi, bouffer un cul poilu de costo mûr, c’est le gros gros kif. Le cul du mec n’est pas crade, mais la raie a transpiré, je sniffe, je lèche les poils, je caresse ses gros mollets, ses cuisses, ses flancs, son dos en même temps. Ma langue commence à explorer son trou, pas un goût de merde, mais un goût de mec, juste ce qu’il faut d’épices (les connaisseurs me comprennent).
Ça dure, no speed. Aucun signe d’activité ou de mouvement dehors. Il sait y faire pour lécher ma pine bien épanouie et qui mouille, et moi je me goinfre de cette chair, de ces poils, de ce trou de mec, souple, enivrant, ouvert. Le mec prend son pied, expressif sans surjouer, perfect. Dans le chiotte, la lumière du jour décline, mais heureusement l’éclairage électrique ne prend pas encore le relais. Je kiffe cette ambiance, je bave comme un chien en lui bouffant couilles et cul. Tout d’un coup, il se relève.
Il s’appuie contre le mur, paumes à plat, croupe offerte, cuisses de rêve. Sans me regarder il me dit : Baise-moi. Voix grave, bandante, le ton n’est pas surexcité, plutôt calme mais décidé, donc d’autant plus excitant. Je réponds (l’habitude) : T’as une capote ? j’en ...
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