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Alain a sonné à la porte

Publié par : thimau le 25/01/2024


[Ses sphincters sont en spasmes et ils massent ma tige et mon gland avec une telle vigueur que ma jouissance est devenue inéluctable. J’étais demeuré muet afin de mieux profiter des vocalises de plaisir d’Alain mais là, là, c’est moi qui inonde la maison de mes râles puissants ! Et je me vide les couilles au fond du rectum d’Alain qui s’effondre de plaisir et de fatigue. Nos bouches se retrouvent et nos mains entourent le visage de l’autre en toute plénitude.]
Alain n’a plus froid mais il a tant sué dans ses efforts lors de notre coït, qu’il est trempé de sueur. J’ai peur qu’il ne prenne froid et je l’emmitoufle dans le plaid tandis que je réajuste les bûches dans l’âtre. Alain m’ouvre alors le plaid pour que je vienne me coller à lui et je ne boude pas un tel plaisir. Mes bras l’enlacent et nos bouches se dévorent de nouveau. Il sait si bien embrasser que ma queue en redeviendrait presque raide aussi sec ! Ma main parcourt ce corps à la peau si douce. Mes doigts sentent bien que sa rosette est encore complètement ouverte et on pourrait presque croire qu’il respire par là ! Faut pas exagérer ! Même s’il respire le sexe. Il inspire, expire et aspire le sexe ! Mes mains profitent de l’onctuosité de cette peau juvénile, surtout au niveau de ses fesses mais aussi sous ses deux petites couilles siamoises.
Notre baiser est langoureux et tous deux nous caressons mutuellement. Il aime me caresser les cheveux et prendre ma bite à pleine main pour me branler même quand toute raideur a disparu. Il aime caresser mes épaules. Avec les lèvres, il aime m’adresser de doux baisers dans le cou et sur mes tétons. Là où il me donne le plus de frissons de tendresse, c’est quand sa langue s’insère dans mon oreille. Il l’a compris dès nos premiers ébats et il en joue à merveille. Sa main se promène aussi sur mes fesses où ses doigts aiment bien jouer les thermomètres. Il est doux de peau mais aussi de caractère, de respect de l’autre. Je le lui rends bien. Mes mains se repaissent de son torse et de ses hanches, de ses jolies petites fesses si bien rebondies et je reviens vers ses siamoises quand je sens que sa verge se débarrasse de sa mollesse passagère. Il ne m’en fallait pas plus pour commencer à le branler avec toute la volupté du monde. Je lui mordille le cou, le lobe de l’oreille dont je comble l’entrée avec le bout de ma langue. C’en est assez pour lui induire un merveilleux frisson de sensibilité dans tout le corps, surtout dans le bas du dos. Sa pine se raidit davantage encore et je ne peux résister à la prendre en bouche.
Elle sent encore un peu le sperme issu de sa dernière éjaculation et je ne m’en adresse aucun reproche. J’adore prendre en bouche cette queue qui n’est pas trop épaisse. Elle est assez longue sans l’être trop : je parviens à la prendre en gorge profonde et aux réactions d’Alain, je sais qu’il apprécie la chose. Son gland a une couleur qui me fait saliver ; j’aime le ton de cette douce vigueur ! Son gland se distingue surtout de la hampe par sa jolie silhouette de champignon juvénile dont le chapeau en début de développement surplombe le pied en ne lui faisant que peu d’ombre.
Je me délecte de cette bite prometteuse dont j’ai bien l’intention qu’elle me pénètre pour la première fois ; je suis persuadé qu’après avoir éjaculé auparavant, mon jeune athlète sera vigoureux assez longtemps pour me faire jouir du cul comme rarement j’ai pu connaître un tel plaisir. Je change de position pour me placer au-dessus de lui, tête bêche et je lui susurre de s’occuper de ma rondelle (déjà très détendue par toute mon excitation) pendant que je reprends son bâton en sucette. La texture de cette promesse de jouissance est ferme mais pas extrême : il n’est pas sur le point d’exploser en jets de foutre. Je jubile par avance de me faire enculer profondément et vaillamment pendant un temps suffisant pour jouir de mon cul.
Alain est encore assez novice pour l’anulingus mais le plaisir y est. Ma rondelle se rapproche du paroxysme de son relâchement et de sa faim d’être transpercée. Alain s’évertue à alterner entre caresses de sa langue en mode mollesse et intrusion en mode fermeté comme la pointe d’une lance qui transperce. Il alterne aussi avec ses doigts. Il me masse la rosette tant et si bien que mes gémissements de moins en moins étouffés se transforment en jappements incontrôlés. Je devine qu’il s’en amuse et il amplifie ses mouvements de langue et des doigts. Il insiste au point que mon excitation devient difficile à soutenir : il faut qu’il me libère, qu’il me délivre de cette irrépressible envie, besoin, de me faire sodomiser. Ce sont désormais des cris qui s’échappent de ma bouche : « prends-moi, prends-moi ! ». Ce petit salaud continue et tout mon corps se tord de désir. Mes supplications semblent le conforter dans son rôle d’excitateur mais pas de faiseur ! Je suis si excité que cette fois, ce ne sont plus deux, ni trois mais quatre doigts qui m’élargissent la rondelle.
Ayant lâché sa queue de ma bouche alors que de ...

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