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Alex baise en relais château 1/3

Publié par : alexis69 le 18/08/2022

Commencée avec Fabien (« Alex fait jouir le coiffeur ») dans les premiers mois de la rentrée, l’année s’est poursuivie par une rencontre torride avec une équipe de water polo du LOU (« Alex joue sous les douches avec une équipe de water polo ») avant que je ne découvre les ressources cachées de la Brasserie Georges.

Léo m’avait parlé des « ressources secrètes » de la Brasserie Georges. « Quand tu rentres par le cours de Verdun, dirige toi à gauche sur les banquettes. Tu t’installes là. Tu vas voir arriver au pas de course Angelo le serveur . Tu vas lui commander une bière, il va revenir et commencer à te poser des questions...’Tu es déjà venu ici ? ‘ ‘Tu es étudiant ? Qu’est-ce que tu étudies ? Ah l’histoire… Et c’est intéressant ?… Qu’est-ce que tu fais le week-end ? Moi je suis souvent libre le dimanche après-midi, tu ne veux pas venir passer un moment avec moi ?’... ». Et Léo se mit à rire. « Puis tu vas voir des messieurs qui vont se rapprocher de ta table, engager la conversation...Tu dis oui tu dis non, à toi de voir... Vas y de préférence un vendredi après-midi quand ils sont en chasse...»

Le vendredi suivant vers 16h j’étais à la Brasserie Georges. Le scénario indiqué par Léo s’est déroulé sous mes yeux à la perfection. Angelo est arrivé, j’ai commandé une bière pression, il est revenu avec et a commencé à me poser des questions. Je l’écoutais et répondais machinalement. Je coupai court en lui disant « Merci » et en me plongeant dans un livre. Il repartit déçu. J’avais les yeux braqués sur mon livre mais en réalité je voyais parfaitement les mouvements qui s’opéraient autour de moi. Au bout d’un moment, deux hommes, la soixantaine bien tassée, s’assirent à deux tables de la mienne et commandèrent chacun un café. Ils jetaient des coups d’œil furtifs vers moi. Angelo leur apporta leur café et, croyant ne pas être vu, me désigna du menton. Il revint vers moi. « Tu veux autre chose ? ». « Non ça va merci... ». « Qu’est-ce que tu lis ? » « L’Esprit des Lois… Montesquieu ». Il eut un hochement de tête et repartit. L’un des deux hommes assis à proximité m’interpella « Vous êtes étudiant en lettres ? ». « Non en deuxième année d’histoire ».
« Vous venez souvent ici ? ». « Non, seulement le vendredi après-midi ». Un glissement se fit en ma direction et les deux hommes se retrouvèrent à la table la plus proche de la mienne.
L’un d’eux prit la parole « Voilà nous venons ici pour chercher un compagnon pour le week-end... » . Au moins ça avait le mérite d’être direct. Le deuxième, qui était de fait le plus proche de moi me dit « Tu es libre ce week-end ? ». Nous en étions déjà au tutoiement… « Oui… pourquoi ? ». « Ça te dirais de venir passer le week-end avec nous à Sainte-Foy ?.. ». « Pourquoi pas !... ». Le premier, petit et rondouillard, me dit sur le ton de la confidence « Mon ami et moi cherchons plutôt quelqu’un de passif... ». « Je suis femelle mais peut être actif aussi ». « Parfait ! ». Le second, assez grand et massif, me dit « Voici notre adresse » et il me tendit une carte de visite. « A demain donc… 13h ? « . « Très bien. A demain !».

Je passais un nouveau cap. Jusqu’à présent je n’avais couché qu’avec Paulo, la cinquantaine.
Le lendemain j’arrivai assez tôt en bus à proximité de chez eux. Je regardai le numéro à deux fois… Bluffé… Habiter une telle maison prouvait l’aisance financière de ses occupants… A 13h précises je sonnai. Bruno (le premier) vint m’ouvrir. « C’est bien d’être à l’heure ! C’est une qualité la ponctualité ! ». Le second, Louis, m’attendait au rez de chaussée dans la salle à manger. « Nous allons passer à table ! ».
« Veux-tu un apéritif ? ». Je déclinai la proposition. « Non merci... ». Le repas fut simple et excellent. Il ne m’en mettait pas plein la vue. C’était spontané et sympathique. Pas d’arrière pensée du type « On va le faire boire pour en faire ce qu’on voudra ».
Après le repas, ils m’emmenèrent à l’arrière de la maison. Cachée par de hauts murs et de grands arbres trônait une petite piscine. Quelques transats accentuaient la sérénité du lieu. « Voici notre petit paradis » me dit Louis. « Ah oui je comprends… En pleine ville un tel bijou... ». Un fauteuil était à ma portée, je me mis nu rapidement. Ils apprécièrent le spectacle du regard. Je descendis dans l’eau. Bruno et Louis disparurent quelques minutes et réapparurent en peignoir de bain qu’ils abandonnèrent sur un fauteuil à proximité du mien. Bien conservés tous les deux ! Bruno un peu ventripotent mais Louis respirait la virilité triomphante. Grand, svelte, encore bien musclé, il avait de sérieux arguments entre les jambes. Ils me rejoignirent rapidement. Après tout j’étais là pour leur vider les couilles…
Bruno me prit aussitôt le visage entre ses mains et m’embrassa tendrement. Louis attrapa un téton dans chaque main et fit monter mon excitation. Je gémissais et me laissais porter par le plaisir. Je me mis à caresser la queue et les grosses couilles de Louis. Encore un fois je me trouvais dans un état second, porté par ces deux hommes expérimentés qui savaient si bien donner du plaisir.
Louis monta quelques marches à l’échelle qui permettait de sortir du bassin, sa magnifique queue à portée de ma bouche. Je lui léchais les couilles avec application avant d’enfourner dans ma bouche son sexe long et d’une si parfaite rigidité. Bruno derrière moi me caressait, me léchait, m’embrassait dans le cou et ayant passé ses bras sous les miens poursuivit le travail de Louis sur mes tétons. Je gémissais à n’en plus finir, à la limite du malaise.
Puis Louis me prit par la main et me fit sortir de la piscine suivi de Bruno. Il me sécha avec une serviette de bain tandis que Bruno se séchait de son côté. Toujours me tenant par la main, il me désigna un endroit à l’abri en bout de piscine. Un immense lit rond occupait une grande partie de l’abri…
Dire que ces deux là savaient faire l’amour à un homme, prendre et donner du plaisir, serait dévaloriser leurs performances… C’était au-delà… Le dimanche soir je repartis comblé, Louis m’avait bien rempli et Bruno maître ès fellation m’avait vidé les couilles plusieurs fois. Je l’avais aussi sodomisé, il était ravi.
Je suis revenu plusieurs fois passer le week-end avec eux. Ce n’était pas un relais-château mais une magnifique maison bourgeoise blottie dans la verdure et protégée par de hauts murs.

La deuxième année demandait plus d’investissement au travail. Beaucoup de lectures et des recherches à faire en plus grand nombre. Je sautais un certain nombre de vendredis à la brasserie Georges pour bien me mettre à niveau.
Lorsque je m’y rendis à nouveau, après les vacances de Noël, un homme était assis à une table à proximité de celle où je m’asseyais d’habitude. Angelo, sorti de je ne sais où, apparut devant moi à peine assis. « Ça fait un bail qu’on ne t’a pas vu ! « . Puis à voix basse « Tu m’as manqué... ». « Angelo j’ai de plus en plus de travail cette année ! L’histoire ça va mais la géographie m’emmerde... ». Angelo se pencha vers moi « Je crois qu’il y a un monsieur pour toi... » puis s’éloignant « Je t’apporte ta bière ! ». Angelo revint posa délicatement le carton « Bière Rinck » sous le verre puis repartit toujours de son pas rapide.

L’homme en question, la quarantaine bien mûre, mais de très beaux traits. Il était assez grand et massif. Bel homme, un charme certain, un tantinet animal. Ça me plaisait.
Il leva son verre quand je pris le mien « Santé ! ». « Santé ! ». Il glissa sur la banquette et se rapprocha de moi. « J’ai entendu que vous étiez étudiant en histoire... ». « En effet... ». « Je suppose que vous avez visité Lyon ? » « Oui » répondis-je, « mais il y a tant à voir ! ». Il appouva . «  Connaissez-vous le monastère royal de Brou  dans l’Ain ? ». « De nom » lui répondis-je. « Je m’y rends demain matin… Voulez-vous m’y accompagner..? ». « Pourquoi pas ? ». C’était devenu mon expression favorite.
Il me proposa de me prendre en voiture à l’angle du cours Jean Jaurès et de la rue de l’Université le lendemain à 8h du matin. Avant de nous séparer il ajouta « Prenez quelques vêtements de rechange et votre trousse de toilettes… On ne sait jamais ». Je répondis simplement « Ok ».

Le lendemain j’arrivai avec un peu d’avance. Il était déjà là… Grosse voiture aux vitres teintées, il baissa la vitre à moitié pour se faire reconnaître. Je posai mon sac à l’arrière et montait à côté de lui.
On parla peu durant le trajet. J’appréciais la douceur des sièges en cuir, le moteur silencieux. C’était une voiture confortable et puissante.
Nous arrivâmes au monastère vers 9h30. Il gara la voiture le long du trottoir, juste en face. « Nous avons le temps d’aller boire un café. Le rendez-vous est à 10h ». « Le rendez-vous ? » . « Avec le conservateur, c’est un ami ... ». J’ai imaginé bêtement une partie à trois avec le conservateur...Trop porté sur le cul j’étais, comme dirait Maître Yoda …

A 10h précises nous étions sur le parvis du monastère. Un homme de l’âge de mon guide arriva. Très souriant, il se saluèrent, se firent l’accolade, se tenant longuement la main. Puis mon guide se tourna vers moi « Je te présente Alex, étudiant en histoire à Lyon. Il s’intéresse au monastère de Brou ». Le conservateur me serra la main « Bien… » dit-il en insistant sur le mot.
Il prit son trousseau de clef et nous fit entrer. Je restai bouche bée devant la beauté des lieux. « C’est un pur chef d’oeuvre du gothique flamboyant flamand... » La visite dura une heure et demie. Le conservateur était intarissable. Je posai quelques questions auxquelles il répondit avec beaucoup de précisions. Je le remerciai de cette visite privée inattendue et passion ...

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Mots-clés : Histoire 100% vécue, Gay, Fellation, Sodomie