J’avais 18 ans, j’étais étudiant à Lyon. Enfin libre de me rendre chez le coiffeur de mon choix après avoir subi pendant des années la coupe vieillotte du coiffeur le plus proche de chez mes parents dans notre petit ville de l’Ardèche. J’avais envie d’avoir une coupe adaptée à mon âge et à ma personnalité avec le secret espoir que le coiffeur saurait y traduire ma féminité.

Pourquoi avoir choisi ce salon là plutôt qu’un autre ? Sans doute en raison de son aspect clair, bien aéré, des fauteuils modernes et bien séparés les uns des autres, à l’inverse de ce que j’avais connu jusqu’alors.
Le personnel était jeune. Chacun allait et venait. A peine entré, la patronne (c’est du moins ce que je supposais), une femme forte vêtue de noir et beaucoup trop maquillée et parfumée à mon goût me dit bonjour et me dirigea vers les bacs pour le lavage des cheveux. Elle m’a littéralement arraché le cuir chevelu avec ses grosses bagues . « L’eau n’est pas trop chaude? » Sorcière ! Je commençais à regretter d’être entré… « Fabien va s’occuper de vous ! ». Ouf ! Ses minaudages, son parfum, son maquillage, sa personne, m’insupportaient !

Après en avoir terminé avec son client et balayé les cheveux tombés au sol, « Fabien » se dirigea vers moi. La trentaine, bel homme mince… Je remarquais tout de suite sa bouche, bien dessinée et...attirante et ses vêtements très près du corps. Avec un grand sourire il me fit signe de me diriger vers le fauteuil, prit une blouse propre sur une pile et m’aida à l’enfiler…
Je lui expliquai ce que j’aurais aimé comme coupe, il se pencha vers moi pour me montrer différentes coupes sur un catalogue, son eau de toilette était délicate et agréable, j’appréciais son timbre de voix, grave et profond.
Je m’étais laissé pousser les cheveux pendant les vacances au grand dam de mes parents. Fabien me dit que j’avais eu raison, ce serait plus facile de trouver la coupe adaptée à la forme de mon visage. Il me dit doucement « Vous avez un visage assez féminin… La coupe peut accentuer cette féminité ou au contraire... » Il laissa sa phrase en suspens tout en me regardant droit dans les yeux. Je lui dis « Je vous fais confiance !».

Lorsqu’il passa du côté gauche du fauteuil, il s’appuya un peu trop sur mon bras et je sentis son sexe dressé sous l’étoffe de son pantalon. Je ne retirai pas mon bras mais au contraire j’accentuai la pression. Je soulevais et abaissais doucement le bras en caressant sa verge. Il eut du mal à continuer la coupe et ses ciseaux claquaient souvent dans le vide mais il ne se retira pas. Sournoisement je glissai ma main droite sous la blouse et me mis à le masturber doucement de haut en bas sans que personne s’en aperçoive.
Il haleta légèrement et je le sentis jouir à travers l’étoffe. Je continuais à le masturber doucement puis il recula. Il dit à haute voix « Je vous prie de m’excuser une seconde ! » « Pas de souci ! »… La patronne haussa un peu les sourcils en le voyant prendre la direction des toilettes mais ne dit rien.
Quand il revint il continua la c ...

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