Ma saison d’été terminée, j’étais en vacances et je commençais à penser à mon itinéraire puisque j’avais un peu de temps .Comme nous avions échangé nos téléphones j’appelais Henri pour prendre des nouvelles. Avait-il repris son travail, comment allait-il A vrai dire je l’appelais avant tout parce que j’avais une folle envie de le revoir et qui sait peut être aussi son ami Hervé. Nous avions passé un si bon moment ensemble que j’avais envie que nous reprenions les choses là où nous les avions laissé la dernière.fois
J’avais repensé à cet après midi et cette nuit que nous avions partagés et chaque fois tous mes sens étaient en éveil et l’envie de recommencer était là bien présente.
Lorsque qu’il décrocha, il fut surpris mais il me dit être ravi de m’entendre et me demandait déjà quand je viendrai, ça lui ferait tellement plaisir.
Très vite nous avons convenu d’une date et nul doute que nous avions choisi le tout 1er week end qui suivait.
C’est ainsi que j’arrivais chez Henri le samedi suivant avec mon petit baluchon qu’il m’avait demandé d’amener. (quelques vêtements un peu sexy et un assortiment que je savais à son goût)
Il avait lui-même énumérer ce qu’il souhaitait que je porte et m’avait dit qu’il s’occupait du reste. Le reste ? Je me demandais ce dont il s’agissait mais qu’importe je verrai bien sur place.
A peine je frappais, il était derrière la porte et m’ouvrit. Un large sourire aux lèvres, il m’embrassa tout en me prenant par la taille en me souhaitant la bienvenue. Bienvenue je l’étais et surtout moi-même heureuse d’être là de nouveau avec lui. J’entrais dans un appartement plutôt bien tenu et il m’expliqua qu’il avait cette grande pièce et 2 chambres. C’était assez lumineux et assez agréable. Il me demanda si je voulais boire quelque chose. Tout en me mettant à l’aise, je quittais surtout mes habits masculins pour montrer la tenue que je portais dessous ; mini short et débardeur ample qui ne cachait pas grand-chose de mon bronzage que j’avais soigné avant mon arrivée pendant les quelques derniers jours que j’avais passés au Lavandou.
Il s’approcha et me serra dans ses bras, glissant sa main sous mon débardeur et m’attira à lui. Je lui répondais en le prenant par le cou et en me collant à son corps. C’était bon de se retrouver
Il ne nous fallut pas beaucoup de temps pour que nous nous retrouvions dans sa chambre, il m’attira sur son lit, je m’allongeai et il vint sur moi et m’embrassa à pleine bouche. Ce long baiser me rappela ceux de l’été toujours aussi chauds et passionnés. Chaud il l’était, je le sentais déjà s’exciter sur ma jambe son bassin allant et venant. A travers son pantalon, je sentais déjà son sexe durcir et d’une main il m’enleva mon short et se glissa dans ma culotte déjà très tendue d’excitation. Ses doigts déjà se glissaient dans ma chatte et je soupirais de plaisir de retrouver cet amant si prompt et décidé.
Il me fit lécher ses doigts ; je savais la raison et ma salive fut abondante quand il s’engouffra à nouveau entre mes jambes. Il me palpa à nouveau et me préparait à son assaut qui je le savais n’allait pas tarder tant son souffle s’accélérait et ces gestes de plus en plus fermes.
Ainsi il me leva les jambes en les écartant et vint pointer son sexe sur ma chatte. Là déjà la tête de son sexe me pénétrait et il s’enfonça doucement mais très régulièrement en moi. Je me pinçais les lèvres pour ne pas crier J’avais mal mais je ne le freinais pas tant j’avais attendu ce moment.
Quelques va et vient plus tard j’avais de nouveau beaucoup de plaisir et maintenant c’était moi qui le tirais à moi pour qu’il me prenne bien à fond. Je gémissais de plaisir à chaque fois qu’il venait buter au fond de mon ventre.
Ce ne fut pas très long avant qu’il ne vienne et je le sentis se contracter, il cria et je sentis des jets puissants en moi. Il venait de jouir si intensément qu’après cela il s’affala sur moi encore essoufflés de l’effort qu’il avait produit et du plaisir qu’il avait ressenti.
Nous restâmes un long moment comme cela nous embrassant longuement, je sentais son sexe qui petit à petit me quittait mais je veillais à bien serrer les fesses pour garder sa semence qui était abondante, je le sentais. Cet homme n’avait pas joui depuis bien longtemps.
Nous sommes restés ainsi l’un contre l’autre un moment nous délassant et tout en se caressant nous parlions de choses et d’autres tranquillement contents de nous retrouver . Il me caressait doucement le ventre, je lui caressais le dos.
Quelle était la suite du programme ? Je lui demandais mais il resta muet à ma demande souriant simplement et restant très mystérieux. Cela m’importait peu si ce n’est que j’étais curieuse de savoir. C’était certain qu’il ferait tout pour me rendre ma venue agréable.
Passé ce moment nous nous sommes relevés, rhabillés légèrement ; pour ma part, un petit top noir assez moulant, une mini mini jupe au ras des fesses et un tanga noir dessous un peu mouillé du jus d’Henri qui coulait de ma chatte. Je n’avais pas joui mais j’étais dans un état second très titillée par ce moment passé et impatiente de connaître la suite.
Nous primes un verre, attendant Hervé c’est ce que m’avait dit Henri en nous relevant. Il arriverait très vite impatient qu’il était lui aussi de venir s’amuser avec nous.
Je me souvenais de sa masculinité et je me réjouissais à l’idée de le revoir
Une sonnerie et je le vis entrer dans la pièce ; il était comme je me souvenais mais la surprise fut qu’il était accompagné d’un autre homme. Celui là me fit quelque peu tressaillir. Lui la cinquantaine peut être soixante mais je dirais physiquement un peu repoussant ; un visage bouffi, des yeux tombants mal rasé il semblait ne pas beaucoup s’entretenir, une chemise très serrée à faire sauter les boutons c’était du à un ventre très rond, débordant sur un pantalon dont la ceinture passait en dessous du ventre. Il n’était pas grand peut être 1m65 mais devait peser plus de 100kgs et ce regard quand il me vit ; je dus baisser les yeux. Je n’étais pas très habillée mais lui m’avait totalement déshabillé du regard et sa bouche semblait baver de désir.
J’étais très gênée. Henri dut le voir et vint derrière moi en m’enserrant le ventre et me dit que ce copain était très en manque n’avait eu personne depuis longtemps (je n’en étais pas étonnée) et que ce serait bien d’être gentille avec lui. Ils étaient visiblement bons amis .
Hervé servit un verre à tout le monde et nous trinquions à nos retrouvailles. L’ambiance se détendit quelque peu en plaisantant sur ceci ou cela, mais toujours à la limite de blagues un peu salaces. Mon dieu, quel rire avait cet homme ; tout du pervers !!!
Le temps passait, les verres se vidaient et je commençais à être un peu ivre. Ma timidité s’était donc envolée et j’étais plus à l’aise avec ces hommes ; 2 que je connaissais et qui me donnaient envie et un 3ème pour lequel j’avais toujours un recul et un certain dégoût.
Quelle surprise quand Henri et Hervé vinrent chacun à côté de moi m’embrassant me caressant, des caresses qui se faisaient plus insistantes, je sentais des mains sous mon top l’une dans mon dos l’autre palpant mes seins et une autre entre mes cuisses. J’embrassais l’un, puis me tournais et embrassait l’autre. Puis vint l’instant où les choses ont évolué et où j’ai lâché prise.
Chacun me tenait un bras fermement quand Giron s’approcha, ses mains remontant sur mes cuisses et m’arrachant mon tanga sans beaucoup de ménagement. J’étais hébétée et un instant, je le vis face à moi si prés, j’étais en panique et en même temps excitée de la situations que je n’avais jamais imaginé. Les deux autres riaient de me voir ainsi et encourageaient leur pote à faire ce qu’il voulait. Ses mains se posèrent sur moi ,il me caressa le visage je tournais la tête pour ne pas me laisser faire mais sa m ...

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