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Au Bois De Vincennes (3)

Publié par : geri93 le 05/03/2024

Il est minuit, c'est l'été, il fait tellement chaud que j'ai envie de faire un tour au bois de Vincennes. Je gare ma voiture réglementairement sous un lampadaire, derrière d'autres alignées sur la route au bord d'un trottoir.
Le long de ce trottoir, un sentier est caché de la route par une haie de petits arbres et de buissons derrière lesquels j'entrevois certaines ombres humaines. Je ferme ma voiture, direction le sentier.
Plusieurs mecs sont en train de draguer en allant et venant le long de la haie. Je ne trouve rien qui m'attire. Je m'apprête à sortir de l'endroit avec l'intention de changer de lieu et de m'enfoncer plus avant dans le bois. Mais un type sortant de sa voiture se dirige vers moi. Celui-là m'intéresse : type râblé, costaud, l'air viril, cheveux court, visage carré…
Il s'avance dans le chemin, passe à côté de moi avec un regard engageant, me dépasse, s'arrête, se tourne vers moi et enlève carrément tous ces vêtements ! Il est complètement à poil et commence à se masturber en me regardant. La lumière, bien que filtrée, d'un lampadaire proche me permet de découvrir un corps musclé, trapus, pourvu d'une bite épaisse et des couilles assorties. Je m'approche de lui, prends son sexe massif dans une main et caresse ses fesses de l'autre. Du coup, il se retourne, se penche en avant et écarte ses fesses rebondies de ses deux mains. Je baisse mon pantalon me masturbe et enduis ma bite de ma salive. Je commence à frotter mon sexe entre ses fesses, en montant et descendant dans sa fente. Il a une bite d'enfer et des couilles de taureau que je malaxe, super excité. Je commence à planté ma bite dans son cul ouvert, entrant et sortant juste l'extrémité. Il en en redemande par un mouvement du bassin d'avant en arrière alors je vais de plus en plus profond. Je me cramponne fermement à ses hanches de mes deux mains. Plusieurs minutes d'alternances d'entrées sorties et de masturbation mutuelle pour retarder l'éjaculation.
Mais il se redresse, ramasse ses affaires et retourne vers sa voiture en m’entraînant avec lui par la main. Il ouvre le coffre et me dis qu'il a apporté des gadgets, des godes et qu'il aimerait bien que je lui travaille le cul avec. Avec plaisir, mon salaud !
Il prend son matériel et nous nous dirigeons vers un banc placé à l'écart du bosquet d'arbres, le long de la route, en pleine visibilité. Mais comme il fait nuit…
Il monte sur le banc. Ne connaissant pas encore le détail de ses intentions, comme il est debout, son sexe à la hauteur de ma bouche, j'en profite pour empoigner sa grosse bite et la pomper goulûment à m'en étrangler. Ensuite il s'assied sur le dossier du banc, qui ne comporte que la planche étroite du haut, les pieds posés sur le siège, les fesses en arrière dans le vide. Il me demande de rester devant lui. Je m'agenouille sur l'assise du banc. Avec mes ongles, je le griffe à l'intérieur des cuisses musclées, par un mouvement d'aller et venu du genou jusqu'au sexe. Il transpire entre ses cuisses. En approchant ma bouche de sa queue, je respire cette odeur de transpiration de mâle comme un aphrodisiaque. Je prends sa queue dans ma bouche, agace son gland avec ma langue, aspire le jus transparent qui en sort. Je prends un gode dans ses affaires que j'enduis de gel. D'une main passer par dessous l'unique planche du dossier, j'enfonce doucement le jouet dans son anus, serré au début mais de plus en plus ouvert sous mes mouvements de bas en haut, en approchant ma tête entre ses cuisses écartées pour pouvoir lui bouffer le gland en même temps. Je me branle de l'autre main en me gardant bien de jouir trop vite.
Dans cette position improbable, je n'aurais jamais imaginer faire ça comme ça, notre excitation est maximum.

Mais avant que l'un de nous deux arrive à l'éjaculation, en me relevant pour reprendre mon souffle, à travers les arbres de la forêt, j'aperçois les lumières de phares de plusieurs voitures et de gyrophares ! Panique à bord, une descente de police !
Je retire le gode de son cul, je me relève et lui signale l'arrivée de la police qu'il ne pouvait pas voir étant de dos à la forêt.
Vite fait, il se rhabille, récupère son matériel et court vers sa voiture.
Moi je décide de m'enfoncer dans le bois, sachant que la police ne pénètre jamais dans la profondeur.
Estimant être suffisamment loin, je m'arrête, me retourne et surveille les lumières au loin, à travers les arbres. J'entends quelques cris. Ça dure un bon moment. Après environ une heure, les lumières disparaissent par où elles étaient venues et le silence retombe.
Prudemment mais déterminé à retrouver mon lascar, je retourne vers la route où sont garées les voitures. La sienne ne s'y trouve plus. Il est parti à temps car s'il avait été embarqué par la police, je suis bien placé pour savoir qu' ...

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