Aujourd’hui, je vais relater mes aventures sexuelles que j’ai vécues dans sex-shop où j’avais coutume de sévir. Ce lieu est réparti sur un étage avec trois salles égrainées le long d’un couloir sombre où se croisent les chasseurs de sexe.
L’une des salles est dotée d’un grand fauteuil qui permet de s’allonger de tout son long. Elle est presque toujours occupée car elle permet des rapports confortables devant un écran vidéo. Ce jour-là, alors que j’arpentais le couloir à la recherche d’un pineur ou d’un queutard généreux, je vois un quidam entièrement nu allongé sur le canapé, il se caresse mollement la tige en attente d’un masseur de queue pour l’amener à la jouissance. Je m’introduis, il ne manifeste pas d’opposition alors je me mets en tenue d’Eve (et non d’Adam puisque je suis le réceptacle) et je m’agenouille devant l’objet de mon désir que je prends à pleine bouche. Je m’applique à lui donner tout le plaisir dont il est en droit d’attendre dans une telle posture et un tel lieu. Au cours de ma pompe buccale, un autre partenaire pointe son nez ou plutôt son gland et nous observe. Puis il entre, sa quéquette sortie, encore molle et timide. Tout en suçant le premier, je tends la main pour me saisir cet objet plein de promesse afin de lui donner un peu de vigueur. L’effet de la caresse semble efficace et son tuyau de moins en moins timide. Je l’attire au plus près de l’autre pour m’éviter le grand écart et je peux ainsi avec ma bouche passer d’une queue à l’autre, toute deux désireuses d’être aspirées en vue d’un éventuel geyser.
Finalement, je tente une autre position pour signifier, par ma posture, le désir d’une intrusion en moi autre que par la bouche. Je me relève et me penche sur la verge de mon premier partenaire en offrant ma croupe au second qui comprend vite la proposition et glisse une première fois son engin dans ma fente pour recherche le petit trou élastique qui ouvre sur mes entrailles avides. Content de son essai, il se retire pour prendre le même costume que ses partenaire et le voilà lui aussi nu comme un ver pour revenir se planter dans mon cul pendant que je m’affaire sur l’excroissance du premier. J’essaie de goûter en même temps aux deux sensations, la buccale et l’anale, je suis vraiment submergé de plaisir.
À un moment, je change de position, car rester pencher trop longtemps même sur un objet du désir agréable devient à la longue pénible pour mon dos qui doit supporter le poids. Je m’allonge donc sur mon partenaire remontant doucement des couilles à ses lèvres, baiser baveux, le second vient s’allonger sur moi toujours emboîté dans mon cul et me voilà pris en sandwich entre deux bonnes pâtes. Position sexuelle pleine de sensualité. Caresses, succions, pénétrations tout cela en un seul colis !
Je me glisse à nouveau vers le queue car j’aime beaucoup en avoir une dans la bouche, sans doute, les restes enfantins de mon suçage du pouce. Tous ces mouvements ont eu un effet puissant sur l’allongé qui ne peut retenir sa crème et me déverse dans une bouche avide tout son sperme. Satisfait d’avoir atteint ainsi la jouissance et après avoir eu sa queue nettoyée à fond sans aucune goutte de perdue, il se relève et nous laisse la pièce libre. Cet intermède a eu raison de la raideur du pénis de mon enculeur. Il me le met en bouche pour que je le réactive afin qu’il puisse à nouveau pénétrer mon fond intérieur. L’astiquage réussi, il peut reprendre place dans mon anus tout frétillant de retrouver pieu et sensation d’être possédé. Nous avons testé plusieurs positions, le canapé se prêtant allègrement à notre gymnastique sexuelle. Cela s’est terminé par une vidange total des burnes dans mes entrailles affamées. Et voilà une soirée réussie avec seulement deux queues qui sont, toutes les deux, allées à leur terme et m’ont nourri de leur substance généreuse.
Dans ce sexe-shop, j’ai eu de bonnes sensations. J’ai longuement sucer un noir, qui tout en caressant mes fesses me répétait : « si tu avais un préso, je te baiserai volontiers ». Mais comme je n’aime pas le caoutchouc dans mes fesses, j’ai continué à le sucer avec application sans répondre à sa demande regrettant qu’il n’ai pas le courage de m’enfoncer mon bueno suave dans ma chaire. J’avais ma joue qui se frottait avec délice contre son ventre d’une douceur remarquable, j’aime bien la couleur brune de sa queue, j’ai l’impression de déguster une sucette en chocolat. j’ai pris mon temps car même si ma démarche ultime était de récolter son sperme en bouche, je prenais plaisir a saliver sur ce sucre d’orge et caresser da douce peau. Mais il a fini par jouir dans ma bouche, sa crème était d’une saveur extraordinaire, légèrement sucrée, je n’en avait jamais goûté de telle, je l’ai gardé longuement en bouche, tellement elle était douce à mon palais. Finalement, je l’ai laissé glisser lentement au fond de ma gorge essayant de garder le plus longtemps possible cette sensation suave et sensuelle.
Une autre conquête : j’étais dans la salle de vidéo assis à côté d’un voisin qui semblait vo ...
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