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Auprès de mon arbre - Episode 1 - 2ème partie complète

Publié par : discret46 le 12/07/2023

C'est l'achat d'un récupérateur d'eaux pluviales qui m'avait emmené à Fumel ce jour-là et j'ai eu droit à une double chance : L'objet ne contenait pas dans le coffre de ma voiture. Donc , le lendemain, avec une remorque, je suis...à Bourlens en fin d'après-midi, plus tard que prévu. Il fait très beau ...et l'aire est déserte. Très déçu, je m'avance vers le passage, longe lentement la bordure du champ sur la partie généralement fréquentée, revois en imagination mon aventure de la veille. Je dégrafe mon pantalon, me caresse le sexe en demi érection, me pince les tétons ce qui le fait durcir un peu. Je me branle doucement et repars à petits pas, pantalon toujours ouvert en continuant ma douce masturbation. Je n'ai pas entendu de véhicule arriver, pourtant, à distance, près de « mon arbre » un homme jeune est campé sur ses jambes, tourné dans ma direction, main sur le sexe ;
Pipi ou drague ? Surtout, ne pas le déstabiliser, éviter des équivoques qui pourraient le faire fuir . Le pantalon encore un peu plus ouvert tenu de la main gauche, me branlant toujours doucement de la droite, j'avance vers lui sans me presser. Et je constate vite qu'il m'attend se masturbant lui aussi ostensiblement. Sans me hâter, je vais droit à lui, tout près, j'avance la main :
- « Je peux ?
-  C'est pour ça !
Je prends son sexe en main, un beau membre déjà bien raide, le bout du gland noyé de jus clair sirupeux. Mon jeune homme est manifestement arrivé sur les lieux tout excité. Je connais très bien la chose. Avant des problèmes assez récents qui ont altéré mon érection, je bandais facilement, très raide, et je mouillais très abondamment. Je caresse la bite d'une main légère ; de la main gauche je soupèse et tripote les testicules. Un échange de regards complices et nous nous engageons sous le couvert de mon arbre. Personne ne viendra nous déranger, ni partager le jeu.
Je recommence à le branler, plus fermement, avec plus d'ampleur, glisse la main sous les couilles entre les cuisses qui s'écartent avec complaisance. Je frotte son sexe contre mon bas ventre rasé, le pétris avec le mien. Ma main gauche en étui monte et descend, serrée sur sa verge, ma main droite remonte jusqu'à ses seins, les caresse, les malaxe, pince les tétons. Le torse sent la sueur. Mon nouvel ami vient sans doute de terminer sa journée de labeur. Mon T shirt relevé, je me serre contre lui, colle la bouche à un téton, suce en ventouse, mordille, lèche à plat. Le goût salé de la sueur emplit ma bouche. Je change de sein, reviens au premier ….Pas de doute, il aime. Et je me penche vers la verge ; le jus clair comme du cristal inonde le bout du gland. Une odeur forte de pine emplit mes narines : pas une odeur aigre de crasse ou de mauvaise hygiène, mais l'odeur puissante d'un mâle qui vient de terminer sa journée de labeur. Jeune, je trouvais cette odeur dérangeante, et là, au contraire, le sentiment de servir au repos du guerrier me stimule. Mes lèvres humides gobent le gland, se resserrent sur la verge, glissent jusqu'aux couilles et entament une longue série d'aller-retour, savourant la saveur salé-sucré du jus cristallin. ...

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Mots-clés : Bisexuel, Branle, Fellation, Sodomie, Mûrs, Odeurs