Auprès de mon arbre.

Mon arbre, c'est un petit chêne tors aux abords douteux situé en lisière de champ à l'arrière de l'aire de repos de Bourlens à quelques kilomètres de Fumel, petite ville de mon département voisin.Quelques hautes herbes, des petits buissons et ses maigres branches retombantes masquent à peine une minuscule arène de sol battu et rebattu à peu près fréquentable. J'aimerais avoir ses yeux et sa mémoire car il en a vu des choses, mon arbre! Hélas, à quelques vingt-cinq kilomètres de mon domicile, il se trouve tout à fait à revers des lieux que je fréquente habituellement et j'ai de rares occasions de lui rendre visite.
Ce matin de la fin juin 21 j'étais en quête d'un récupérateur d'eaux pluviales ; heureusement, le magasin de mon village était en rupture de stock ! Je dis bien « heureusement » car l'occasion était trop belle de sortir du carcan familial pour faire mon achat à Fumel.
M'y voilà donc, libre, en fin d'après midi, mais le temps est aux averses, peu propice aux joies champêtres. Un passage rapide aux toilettes de Fumel : le désert des tartares ! Tant pis, je vais pousser un pointe jusqu'à l'aire de Bourlens, mais mes espoirs s'amenuisent.
Sur place : un véhicule, et au ciel une embellie...Vêtu de mon Kway sur une tenue légère, Je prends ma sacoche avec ma trousse d'urgence et me dirige vers le fond de l'aire. ..Et près de « mon » arbre, j'aperçois un homme mûr qui se masturbe discrètement. Surtout, ne pas l'effaroucher...petit, jeune d'esprit mais d'un âge certain, je n'ai pas forcément le physique de l'emploi. Kway ouvert, je descends ma braguette, dégrafe largement mon pantalon et me dirige lentement droit vers lui en branlant doucement ma petite bite en demi érection. Tout près de lui, sans dire un mot, ma main change de bite et continue de branler doucement. La sienne est douce, de taille moyenne, bandaison un peu molle. Je varie l'ampleur du geste, décalotte son gland de temps en temps. Ma main gauche vient à la rescousse, caresse les couilles , se glisse entre les cuisses un peu serrées . Pantalon à mi cuisses je pousse mon ventre contre le sien, mélange nos queues, les glisse sous les testicules dans l'entrecuisse ...collé à lui, ma main droite remonte sous sa chemise, caresse puis martyrise légèrement un téton puis l'autre. Je me colle contre son corps, l'enlace , pétris fermement ses fesses, passe la main dans sa raie du cul....D'un geste brusque je retrousse sa chemise, colle ma bouche à un téton, alterne suçons et coups de langue à plat, passe d'un côté à l'autre...
J'étais en manque, je me lâche ! Lui, se laisse faire ; manifestement il aime mais il reste silencieux, me touche à peine et bande toujours un peu mou.
Et puis je me laisse glisser, reprends sa queue en main, approche ma bouche de son gland, me fais désirer... Un souffle chaud, quelques coups de langue brefs un petit temps et brusquement j'engloutis d'un coup la tige entière et la garde un peu immobile … et je me mets à sucer avec délice.
Comme avec la main, je varie du mieux possible. Mes lèvres glissent sur sa hampe tantôt vite, tantôt lentement avec de courts arrêts . Ma bouche gobe juste le gland, l'effleure, le réchauffe de mon souffle, puis d'un mouvement goulu, l'avale à m'étouffer, le presse, l'aspire puis repars en amples va-et-vient . Mes mains se baladent, tripotent, se glissent dans tous les coins intimes, accompagnent de temps en temps ma bouche vont faire quelques tours dans mon pantalon ouvert pour caresser mes propres parties intimes et ma bandaison timide et fragile avant de revenir sur mon partenaire... Je redresse sa bite, la presse fort contre son ventre, suce et lèche ses couilles... Bouche fermée, mes lèvres humides remplacent la main, s'écrasent sur le gland, glissent en appuyant le long du pénis, puis je le reprends en bouche et le jeu recommence... Le partenaire savoure sans aucun effort, et sa bandaison reste « trop juste » comme dit la dame de la météo en parlant d'autre chose. Moi, pris par ce jeu, je lui laisse le soin de surveiller les alentours. Du temps passe, je m'active...et je vois à deux mètres à peine un deuxième homme, grand, qui approche pantalon dégrafé libérant une belle queue, de bonne taille, visiblement raide comme un barreau. Nos regards se croisent, se comprennent, je reprends ma fellation de plus belle, le baume au cœur. L'arrivant s'avance tout près, approche le sexe de mon visage. Je tourne la tête et l'engloutis aussitôt avidement, laissant une main s'activer distraitement sur l'ancien chantier.
Deux mecs ! J'en rêvais depuis longtemps. Mon excitation monte d'un cran. Le cœur à l'ouvrage je redouble d'activité ; je branle, suce, lèche, explore. Je lève un bras, remontant la main sous sa chemise jusqu'au sein :
- « Non, je n'aime pas ça ! »
Un peu macho, ça me plaît bien aussi. Manifestement, ce qu'il aime, c'est que je le suce. Alors je le suce, avec plaisir et avidité. La raideur de son sexe m'excite. De temps à autre, je laisse une main l'enserrer, me détourne, suce l'autre un instant et reviens au nouveau mâle. Ses reins se mettent à onduler, Il baise ma bouche comme une chatte, m'étouffe un peu. Je tousse, reprends mon souffle et offre de nouveau ma gorge.
« Tu aimes ça, sucer !
-Oui, j'adore ! Vous êtes sur un site?
- Non "
Et nous continuons, Il est endurant le bougre , toujours aussi raide, moi aussi avide. Le temps passe, je m'attends à recevoir une giclée de sperme au fond de la gorge, mais non, sa bite reste dure et vaillante et moi j'ai une grosse envie depuis mon arrivée sur l'aire, qui n'a cessé de croître. Alors Je lance, plus une demande qu'une question :
-«Vous voulez me baiser , ? 
Et là, surprise ! Je ne me souviens pas exactement des termes, mais en substance :
- « Baiser ? Non ! pas ici, pas maintenant !
Déception ! moi qui comptais sur lui pour exciter mon premier partenaire qui bien sûr emboîte le pas:
-"Baiser? Non!
Lui, je comprends, mais son compagnon nouvel arrivé ?
Je continue donc de plus belle me demandant vaguement comment ils termineraient leur affaire. Pour mon deuxième, je m'attends à recevoir et avaler une grosse giclée de sperme. Il y a un bon bout de temps que je n'ai pas fait ça, après tout ce serait quand même une belle fin .En attendant, je donne à tout va, des mains, de la bouche, de la langue sur les sexes tendus en m'interrogeant un peu.
Mon belle bite ne fait peut-être que des rencontres nature furtives et n'a jamais eu de rapport dans ces circonstances ? Sodomiser, ça le dégoûte peut être ? Il nous a rejoints alors que j'étais en pleine action ce qui l'a excité ; sans ça, moi, au premier regard, un petit homme âgé respectable, soixante kilos, il ne m'aurait jamais regardé comme un objet sexuel? et je le comprends ; sur le site il y a une demande pour "hommes mûrs" , mais dans le public tout-venant ? Je pense aux parties vieillies de mon corps... et puis à d'autres (mes photos sur site par exemple) où, la position, le cadrage, l'angle aidant , j'ai des retours positifs : "noté 10" "Tu as un beau cul" "Quelles belles couilles"... alors, si je tentais ...
Encore une belle séance d'attentions et pompages appliqués sur la belle queue tendue,orgueilleuse et le gland gonflé... je me redresse, me retourne jambes tendues demi écartées , remonte promptement Kway et T Shirt au dessus des reins et plonge le buste vers le sol . Là offert le plus impudiquement possible :
-"Il est pas beau, mon cul ?"
Et le charme opère !
-"Bon, mets-moi un préservatif ; mais après ne viens pas te plaindre !"
« ?? » un éclair d'interrogation ; serait-il violent? Sous-estime-t-il mes capacités ? On verra !
Je plonge la main dans ma sacoche, sors le préservatif, le déroule sur sa verge ; quelques sucées profondes pour maintenir la forme. Puis deux copieuse giclées de gel intime: l'une sur le préservatif, l'autre à l'entrée de mon anneau, on ne sait jamais...Vite je me remets en position, corps penché, croupe tendue. Son gland titille mon anus impatient, trouve vite son chemin ; Un coup de rein ample et puissant le propulse d'un coup au plus profond de moi, la grosse verge me remplit bien, que du plaisir! Deux secondes et mon bienfaiteur commence son ample mouvement de va-et -vient. Buste couché à l'horizontale je m'accroche aux hanches de "mon premier homme" et reprends ma fellation interrompue, un peu distraitement je l'avoue.
A l'arrière, s'il a été long à se décider, l'ami ne tergiverse plus. un pilonnage rapide claque; J'adore ce bruit de clapotis mat quand le coup de butoir aplatit mes fesses, que ses couilles viennent battre contre les miennes, que sa verge remplit mon rectum jusqu'au tréfonds.Des instants brefs d'immobilité viennent couper l'alternance de séances profondes et d'autres moins appuyées. Mais la place est prise, bien prise, et l'occupant n'est pas près de la lâcher. Devant, rien de nouveau, La bite un peu molle le reste, aucune initiative.
Trois bruits brefs de claques retentissent, une douleur me brûle un instant les fesses. Surpris, je jette un regard en arrière :
-"Doucement les tapes !"
Il ne recommencera pas. Quelques instants plus tard je regretterai ces mots. J'avais dit "doucement" je n'avais pas dit "Pas de tape ...

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