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Bienvenu au club !

Publié par : oscar29 le 07/06/2022

Fidèles lecteurs, voici la suite du Blé en herbe.

Dans la voiture, sur le chemin du retour, Henri me dit qu’il était content de moi et qu’il craignait que je jouisse trop vite sans avoir pu donner de plaisir à Maud mais que pour une première fois je m’en étais bien sorti, d’autant qu’il avait tenté des choses auxquelles sans doute je ne m’attendais pas. Je confirmai. Il m’annonça cependant que je n’en étais pas au bout de mes surprises et qu’il n’en avait pas fini avec moi. En rentrant chez moi, je craignais que ma mère remarque quelque chose, comme si mon nouveau statut de baiseur s’était affiché sur mon front. Elle ne posa aucune question.
Le soir, dans mon lit, je ne pus qu’avoir recours à ma main pour me soulager encore de l’excitation qui me tenaillait toujours ; en fermant les yeux, je revoyais les seins de Maud, le cul de Maud, la chatte de Maud, mais aussi … le torse viril d’Henri et son sexe. Ce sexe que je connaissais pourtant bien me semblait différent aujourd’hui et comme il semblait avoir pris plaisir à me sucer, l’envie de lui rendre la pareille soudain m’habitait. Je jouis en imaginant son outil imposant au creux de ma main.
Le samedi suivant, Michel était là et il ne fut nullement question de la visite chez Maud mais ensuite arrivèrent des vacances. Pour m’occuper, Henri me proposa de l’accompagner sur ses chantiers ; il me ferait passer pour son apprenti. J’acceptai ignorant alors que mon apprentissage ne se bornerait pas qu’au travail du bois.
Les deux premiers jours, nous avons travaillé chez un couple d’une soixantaine d’années. Il s’agissait d’installer des étagères sur tout un pan de mur du salon et comme le monsieur restait dans la pièce en permanence, nous n’avions aucune liberté de parole … ou d’action.
Le troisième jour, Henri m’apprit que nous n’avions rendez-vous que le matin et je passai alors l’après-midi chez Maud à parfaire mon savoir-faire.
Enfin, le quatrième jour, nous n’avions rendez-vous que l’après-midi chez un ami d’Henri à qui il devait rendre service. Lorsque nous arrivâmes chez cet ami, Jean-Pierre que tout le monde appelait JP, il y avait déjà deux autres hommes.
- Salut, les gars, lança Henri.
Max, un type chauve et très musclé, en débardeur et pantalon de jogging, nous serra la main en souriant. Eduardo, espagnol viril et râblé, garda un air plus sombre.
- Voilà donc ce fameux apprenti, murmura Max en me parcourant de la tête aux pieds d’un œil mi-amusé, mi-interrogateur. Pas mal.
Comment interpréter cette dernière remarque ? Je pensais que nous allions rapidement nous mettre à l’œuvre, même si je ne savais pas exactement rn quoi consistait notre travail du jour, mais il n’en fut rien. Henri s’installa dans un fauteuil du salon comme les deux autres et m’invita à m’asseoir également. JP nous servit des bières et très vite, je devins l’objet de la conversation. J’expliquai que je n’étais pas vraiment un apprenti mais que j’occupais mes week-ends avec Henri au travail du bois et que, cette fois, il m’avait proposé de passer les vacances avec lui mais que je retournerais au lycée dans une dizaine de jours.
- Je lui ai présenté Maud, lança soudain Henri de façon abrupte.
Cette révélation me surpris et fut accueillie par des Aaaah ! entendus.
- Putain petit, tu es veinard, me dit Max, c’était ta première fois ?
- Oui, répondis-je timidement.
- Quel pied tu as dû prendre, ajoutât-il, puis à l’adresse d’Henri : il faut dire, commencer avec une telle cochonne, on ne peut pas rêver mieux.
- Oui, une belle salope, renchérit Eduardo sans lever les yeux de son verre de bière.
A seize ans, on n’aime pas qu’on dénigre les gens que l’on admire et j’admirai Maud, sans doute plus par reconnaissance que par véritable amour mais mon cœur tendre d’adolescent avait succombé aux charmes de la diablesse et ces paroles crues me choquaient. Je ne fis cependant aucun commentaire.
- Bon, on se le regarde ce film JP ? lança Max
- Oui. Vous allez rire, le sous-titre du film c’est « embrochez-moi par les deux trous » mais le vrai titre c’est … Maud !
Tous éclatèrent de rire.
JP glissa la cassette VHS dans le magnétoscope (c’était il y a bien longtemps !) et le film débuta. Dès la première scène, une femme réveillait son mari en lui prodiguant une superbe fellation puis il la baisait tandis que la bonne les espionnait par la porte entre-ouverte tout en se caressant.
Henri le premier défit sa ceinture et baissa jean et slip à ses chevilles bientôt suivi par Max et JP qui les enlevèrent totalement. En les imitant, Eduardo me dit :
- Vas-y niño, fais comme nous, mets-toi à l’aise.
J’hésitais mais ne voulant pas me distinguer, je fis comme mes compagnons et je me trouvai aussitôt queue à l’air
- Tu vas voir, une bonne branle entre potes, c’est presque aussi bon qu’une partie de baise
- On le fait souvent tous les deux à l’atelier, précisa Henri
JP s’était assis sur le canapé près d’Eduardo et tout en fixant l’écran où la maîtresse et la bonne du film se gouinaient dans la cuisine, je vis sa main s’approcher de la cuisse de l’espagnol. Quand elle se posa sur jambe poilue, Eduardo en fit de même avec son hôte et ensemble ils se saisirent mutuellement la bite qu’ils commencèrent à masturber doucement.
Décidément, j’allais de surprise en surprise.
- Regardez cette chatte ! disais Max, je boufferai bien une tarte aux poils, moi.
- Oui, et regardez ces nibards ! renchérissait Henri.
Eduardo et JP ne disaient rien, le second s’étant penché sur le premier et ayant gobé son membre dressé.
- Tu as vu ces deux cochons, me dit Max, ils me donnent bien envie de faire pareil. Viens un peu me sucer.
Désemparé, je lançais un regard interrogateur à Henri qui, en souriant, opina de la tête en signe d’assentiment.
- Non, j’ai pas envie de sucer, dis-je au bord de la panique, j’suis pas pédé
- Allez, rétorqua Henri, ça fait bizarre la première fois mais t’inquiète pas, on s’y fait vite
- Non, je ne veux pas !
Henri bondit alors de son fauteuil et me saisissant par le cou, m’obligea à me mettre à quatre pattes entre les jambes de Max.
- Putain, petit connard, tu vas faire ce qu’on te dit ! Si Max veut que tu le suces, tu le suces !
Et de force, il m’approcha le visage con ...

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Mots-clés : Pur fantasme, Gay, Jeunes, Quadra, A plusieurs