Donc début mars, elle me téléphone. Je suis dans mon nouveau bureau que je partage avec deux collègues et elle passe l'appel sur mon poste fixe. A cette époque, pas d'identification de l'appelant, je décroche sans savoir. Je me présente toujours quand je décroche un appel pro, une vieille habitude.
- Bonjour M G.
- Bonjour ex-chef c'est Chantal.
Je dois dire que cet appel me surprend. Je suis un peu désarçonné et bafouille un "comment vas-tu ?" plutôt banal.
-Comme ci comme ça et comment va mon ex-chef ?
Deux fois qu'elle dit ex-chef, je commence à gamberger à toute vitesse. Serait-ce un lourd appel de phares, après l'avoir éconduite alors qu'elles avaient les cuisses ouvertes ?
- Ca va pas trop mal, beaucoup de déplacements pro sur la région, je découche pas mal, et je bosse parfois en nuit. Et toi ? Comment ça se passe avec ton nouveau chef ?
- Moyen, il n'est pas comme toi.
- Aussi beau gosse, dis-je en riant ?
- Oui, et pas aussi gentil et mignon avec les femmes.
Je ne me considère pas laid mais pas beau non plus. Ce compliment me fait rougir de désir.
- Comment ça ?
- Tu considères les femmes comme tes égales, tu n'es pas un macho et tu sais nous parler avec tact, délicatesse. Et tu me faisais rire. Tu sais ce que dit le dicton...
- Non je ne sais pas, mentis-je.
- Femme qui rit, à moitié...
- Ah celui-là. Je l'avais oublié ! (oui je sais, j'ai beaucoup d'humour).
Elle rit franchement et commence à minauder, de sa voix douce et sensuelle qui donne une érection.
- Arrête de me faire rire, tu vas me donner des rides. Alors comme ça tu découches ?
- Oui, assez régulièrement. Et je bosse parfois en nuit aussi.
- Ah et tu ne t'ennuies pas tout seul à l'hôtel ?
- Oui ça m'arrive. Tu peux me rappeler sur mon portable, je ne suis pas seul ? je chuchote. J'ai un portable maintenant.
- Oui mais demain alors. Là on part en réunion et après on déjeune tous ensemble.
- OK appelle-moi demain vers 12h." Et je lui donne mon numéro.
Je suis très étonné qu'elle m'ait appelé. Une femme éconduite qui appelle c'est surprenant. JE commence à me faire des idées très érotiques sur les suites de son appel.
Le lendemain, elle m'appelle vers 12h15, comme promis.
On est en mars mais il fait beau comme souvent chez nous, je suis en terrasse d'un café, un peu tendu.
- Coucou ex-chef.
- Coucou Chantal.
Je décide de ne pas y aller par quatre chemins. Elle aime bien jouer au chat et à la souris et moi-aussi avec elle (j'aime bien ses réparties et son esprit), mais là j'attaque frontalement.
- Pourquoi ex-chef ? C'est ce que je suis devenu ?
- Non, tu seras toujours mon chef préféré. Mais ton statut a changé et peut-être que ton état d'esprit aussi.
- Il n'a pas changé, j'ai toujours une énorme envie de toi. Te résister dans la piscine a été le moment le plus douloureux de ma vie. Sexuelle s'entend.
Elle rit.
- Oui, pour moi aussi un peu. J'avais envie de toi ce soir-là. Je me suis sentie très mal que tu m'aies dit non.
- Pourquoi tu n'as plus envie maintenant ?
- Tu plaisantes ? Je t'appelle...
- Oui je plaisante. Mon statut a changé, on peut envisager une autre relation si tu le veux.
- Et toi ?
- Je viens de te le proposer. Bon écoute, on peut se voir mardi prochain si tu le veux, en soirée. je dis à ma femme que je dois bosser en nuit pour des tests.
- Toute la nuit ? ronronne-t-elle. Tu vas tenir le coup ?
- Non, pas toute la nuit. Je n'ai jamais bossé toute la nuit, je rentre vers 3h généralement.
- Bien. Tu peux passer me prendre vers 20h chez moi ? Il faudra aller à l'hôtel, j'ai ma fille.
- OK, je réserve un hôtel près de chez toi.
Elle me sussure un "bisou à mardi" et raccroche.
Mardi suivant, 20h pétantes, je suis devant chez elle et l'appelle. Elle répond essouflée, "je descends tu es où ?"
- 100 mètres parès chez toi, sur la droite.
- J'arrive.
Je la vois arriver dans le rétroviseur. Elle a mis l'ensemble jupe-veste rose à liserés noirs que j'adore. Jolie attention et clin d'oeil. Elle est divine.
Elle entre dans la voiture et m'embrasse à pleine bouche avant que j'ai pu dire quoi que ce soit. Elle embrasse très bien, j'aime les femmes qui aiment embrasser. Elle passe sa main dans mes cheveux et les tirent. Je lui rends son baiser et effleure ses seins magnifiques. Purée, c'est la première fois que je touche du 100E. Malgré leur taille et son âge, ils sont fermes. J'adore. Elle commence à se chauffer sérieusement et halète.
- Bonsoir, je lui dis. Merci pour l'attention.
- Je me suis rappelée que tu aimes cet ensemble.
- J'aime encore plus ce qu'il y a au-dessous.
Elle sourit, elle a vraiment un très beau sourire.
- Où va-t-on ?
- L'IBIS qui est à cinq minutes. Ca te va ?
- Oui très bien.
On arrive à l'IBIS, impatients d'avoir notre chambre. Le réceptionniste nous demande si l'on a des bagages. Non. Il ne dit rien mais je suis sûr qu'il pense : ces deux-là ne vont pas s'ennuyer.
On monte dans l'ascenseur, direction le 8è. On s'embrasse goulûment, je pétris ses fesses et ses seins, elle rejette sa tête en arrière pour que je lèche son cou. L'ascenseur s'arrête dans un hoquet, on est chauds comme la braise. On a tant attendu !
Direction la chambre que j'ouvre fébrilement. Je la laisse entrer, elle en fait le tour et jette son sac sur un fauteuil. Elle enlève ses escarpins et commence à dégrafer sa jupe. Je me dirige vers elle et l'arrête.
- J'aime déshabiller une femme.
Elle sourit et me laisse faire. Elle se tend en arrière pour que je gobe ses seins. Purée, ils sont vraiment gros, fermes, tendus, appétissants, incroyables. Je les embrasse à travers le tissu du bustier, elle feule. Cette femme aime réellement le cul, ...
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