Par l'intermédiaire d'une amie travestie, j'ai fait la connaissance d'un couple dominateur qui habite à quelques kilomètres de chez moi.
Après pas mal de discussions sur le net, puis au téléphone, ils ont accepté de me recevoir un soir il y a quelques semaines.
Seule condition, je devais arriver chez eux en fille et ne pas dire un mot.
Le soir venu, je me prépare soigneusement : douche, lavement, crème sur tout mon corps, maquillage. Je choisis un collant noir ouvert que je venais d'acheter pour l'occasion, un soutien gorge mettant en valeur mes petits seins, pas de culotte puisqu'ils l'avaient précisé et par dessus, une jupe noire très courte qui moule bien mes fesses et un chemisier blanc. Après avoir enfilé mes talons, je quitte mon appartement discrètement en évitant de rencontrer des voisins. Ma voiture était garée pas très loin et je traverse la ville déjà très excitée. Je me suis même faite draguer à un feu rouge par deux jeunes arrêtés sur la file voisine ...
Impossible de me garer devant leur maison et c'est à pied que je parcours les deux cent mètres jusqu'à leur maison, sans rencontrer personne.
Je les avais prévenu de mon arrivée et la porte d'entrée était ouverte ; je pénètre dans l'entrée très sombre et j'attends comme convenu, excitée mais inquiète. Une porte s'ouvre derrière moi et immédiatement on me met un bandeau sur les yeux puis des bracelets aux poignets et aux chevilles.
On me guide dans un escalier et des mans m'attachent dos à un mur sur ce que je pense être une croix après m'avoir retiré ma jupe.
Je reste là de longues minutes sans pouvoir bouger, sans un bruit. Enfin, des mains de femme vu leur douceur me défont les boutons de mon chemisier et me caressent les seins puis commencent à me pincer les tétons que je sens durcir. J'entends un bruit métallique et je sens des pinces qui me serrent les tétons. Je lâche un petit cri et du coup, on me met un baillon avec une boule dans la bouche. Heureusement car immédiatement je reçois un premier coup de martinet sur la poitrine suivi d'une dizaine d'autres, de plus en plus fort. Pendant ce temps, des mains me fixent des pinces sur les couilles et je sens qu'on y rajoute des poids.
Une cravache remplace le martinet et ...

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