Après ma première expérience fructueuse, mes visites dans ce lieu de débauche se firent plus fréquent à tel point de délaisser mes lieux de rencontres habituelles, même si cela devait me coûter plus cher. Chaque semaine, je me réservais une après-midi sauna pour m'envoyer en l'air.
Je découvris les délices à bulles du jacuzzi au côté d'un gros monsieur débonnaire assis près de moi qui introduisait ses doigts dans mon postérieur pendant que je le branler sous les remous de l'eau bienfaitrice. Nous nous embrassions à pleine bouche pendant que nous faisions nos cochonneries sous l'écume vaporeuse à l'abri des regards. Le jacuzzi étant le seul endroit où les relations sexuelle sont interdites.
A l'étage, un mec vautré dans un sling, (une sorte de hamac en cuir suspendu au plafond par des chaînes, bien connu des amateurs de bondage) se faisait baisé à tour de rôle par un groupe de queutards surexcités. Jusqu'à ce que je prenne place dans celui d'à côté seulement séparé par un filet. La meute délaissa leur proie pour venir me rejoindre pour s'occuper de mon cas ou plutôt de mon cul!
Une fois le rectum bien rempli, direction le hammam pour faire ma toilette (Oui les douches se trouvent dans le hammam). C'était l'occasion de se faire savonné le dos par de beaux mecs et en profiter pour rendre la pareille. Au travers de l'atmosphère brumeuse, des mains inconnus apparaissaient brisant le voile des gouttelettes suspendues dans l'air, me frôlant ma peau douce et satinée, longeant les courbes de mon corps, s'attardant sur mes fesses rebondies, s'insinuant dans la raie de mon postérieur, tâtant mon entrejambe, enduisant mon corps de mousse parfumée au jasmin. Des mains appartenaient à un des hommes qui avait profité de mes charmes un peu plus tôt. Pour le remercier, je nettoyais son corps moi aussi insistant bien sur les parties les plus sensibles. Et pour finir, je m'agenouillais pour laver ses pieds et ses chevilles. Et comme j'étais à la bonne hauteur il en profita pour introduire sa queue dans ma bouche. D'autres hommes se rapprochèrent sans que je puisse vraiment les distinguer dans l'opacité humide de l'air. Pendant que je suçais la queue offerte devant moi, j'entendis des bruits que je connaissais bien, celui d'hommes en train de se masturber autour de moi. Je sentis des giclées chaudes de sperme venant de toute part sur mon corps. Mon dieu que c'était bon! Une autre giclée se déversa dans ma bouche cette fois achevant ma toilette intime. Après cette douche j'étais encore plus souillé qu'avant. Une autre ombre passa derrière moi, posant ses mains sur mes épaules pour me pencher en avant et m'encula devant les fantômes ruisselant. Une fois bien bourré, il se retira, décapota et gicla sur mes fesses. Exténué, je m'assis sur le banc et aussitôt deux mains écartèrent mes cuisses et une bouche fit disparaître mon sexe. Une autre ombre s’assit à côté de moi et me prit par la nuque pour me guider jusqu'à son sexe. Et de nouveau j'avais une queue dans la bouche pendant que la mienne était dans celle d'un autre. Dégoulinant de sperme et de sueur, je continuais à sucer insatiablement toutes les queues disponibles. Penché sur l'ombre assise à côté de moi, je m'attelais à le pomper le plus goulûment possible pour obtenir son nectar tant désiré. Une nouvelle giclée pulsa dans ma bouche. Bravo, j'ai encore réussi ! Sentant ma jouissance montée, je me dégageais de mon suceur ectoplasmique avant qu'il ne soit trop tard. Hors de question qu'on me vide les couilles! Je voulais repartir d'ici les bourses pleines, prêtes exploser ! Et, j'ai encore plein de bites à butiner !

Voulant retourner à l'étage, j'enlevais ma serviette devenue inutile et montais les marches en dandinant du cul pour attirer le maximum d'amateurs. Installé dans "la zone de tir" (un endroit qui portait bien son nom), soit une banquette au milieu d'un open-space où on peut baiser et se faire baiser devant tout le monde. Couché sur la banquette, les jambes écartées, je n'ai pas à attendre longtemps avant d'être rejoint par des admirateurs. Tout autour de moi, il y a des hommes nus qui ne veulent qu'une chose. Les premières queues entrent dans ma grosse bouche pulpeuse les unes après les autres pendant qu'un mec au bout de la banquette introduit son sexe dans mon derrière. Après quelques coups de langue je tourne la tête de l'autre côté pour changer de bite pendant que je me fais enculé brutalement. Combien sont-ils autour de moi? A ce faire pomper à tour de rôle, à me défoncer le cul ou simplement à contempler ce tableau à la fois excitant et dégradant. Je remarque que le Biker qui m'a parlé de cet endroit est présent, il assiste à ma déchéance en se masturbant, un petit sourire complice aux lèvres. Un mec vient de jouir dans mon cul, un autre prend sa place. Quelqu'un se lâche dans ma bouche, je n'en perd pas une goutte et passe à la suivante. Combien de temps cela a-t-il durée ? Combien de bites ais-je pris dans la bouche et dans le cul? Je ne saurais le dire. Tout ce passait comme dans un rêve orgiaque sans limite de fin ou de raison.
Pantelant, je me remis péniblement debout, courbaturé d'avoir tenu certaines positions trop longtemps. Étourdi et les jambes flagellantes, je tente de marcher un peu avec difficulté mais ce n'est pas facile avec ma rondelle complètement éclaté. Le Biker m'aide et me félicite pour ma performance. Je lui demande si il a eu son compte. Il me répond que oui et s'excuse d'avoir lâcher sa purée sur moi. Je lui pardonne aisément en lui faisant remarquer qu'il n'est pas le seul dans ce cas et que ce n'est vraiment pas un problème pour moi. Je décide de redescendre en m’agrippant à la rampe, une marche à la fois, précautionneusement, ne pouvant faire mieux avec un anus dans un tel état. Passage à la douche obligatoire mais sans distraction cette fois puis direction le bar afin de me désaltérer et de récupérer un peu de cette folie.
Mon attention fût attirée par l'arrivée d'un mec dans cette arène de luxure. Il n'avait même pas eu la décence de porter une serviette pour cacher son intimité et son sexe était monstrueux! Sans doute n'était-il pas peu fier de se trimbaler avec un tel morceau entre les jambes ! Instantanément, il remarqua l'intérêt que je portais à son physique hors du commun.et se s'approcha vers moi avec assurance et détermination.
"_Salut mon mignon, ça te dirait de passer un peu de bon temps avec moi ?"
Devant mon hésitation, il insista pour me convaincre de le suivre :
"_J'ai vu comment tu m'as reluqué quand je suis entré. Allez viens, tu me donnes trop envie!"
Devant un tel empressement, je le suivais malgré mes craintes. Il était grand et costaud et avait le braquemart le plus impressionnant que j'avais jamais vu de ma vie! J'étais à la fois excité et horrifié par de telles dimensions ! Arnaud, c'était son nom, avait deviné par avance mes préférences et me fit goûter son énorme phallus déjà au garde à vous! Face à un tel engin mes craintes redoublèrent :
"_Je veux bien te sucer mais par contre je crois qu'il n'entrera pas, il est beaucoup trop gros !
_Mais si, ne t'en fais pas. Tout ira bien, je te l'assure. J'ai l'habitude crois moi!"
Après lui avoir frénétiquement suçoter le bout du gland comme un petit chiot venant de naître, car il m'était impossible de gober un tel gourdin, pas lorsqu'on à des grosses lèvres comme les miennes. C'était bien la première fois que mes lippes charnues n'étaient pas un atout sensuel pour ce qui est d'octroyer du plaisir à un partenaire. Arnaud me fit arrêté avant de ne plus pouvoir se retenir et m'allongea sur le ventre tout en continuant à me rassurer. Malgré son imposante stature, c'était un vrai gentleman. Me huilant avec un gel froid et gras pour que mon anus se détende de plus en plus au fur et à mesure de sa minutieuse préparation.
"_Mais tu es déjà bien ouvert, dis moi! On dirait bien que c'est une habitude chez toi! Ça ne posera aucun problème!"
...

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