Suite à l'aventure précédente, le soir venu, ayant revêtu ma tenue de soubrette, mon mentor m'a donné les instructions suivantes.
"Pas un mot, sauf oui, Monsieur, ou bien Monsieur" je veux aussi que tu l'aguiches.
Le voisin est arrivé à l'heure prévue, bien droite, les mains derrière le dos, j'attendais les ordres.

Installe-toi, mets-toi à l'aise, Carole, versez-nous donc l'apéro, répondant à l'ordre reçu, je leur servis donc le pastis.
Jambes tendues, penchée en avant, on apercevait facilement mon string blanc.
En servant le repas, je me collais quelque peu à l'invité.

Passe la main si tu veux, c’est une bonne petite salope, profite, ce qu'il fit timidement.
Au moment du dessert, il me fit un signe du doigt, m'exécutant, je passais sous la table, d'une main douce, je caresse sa braguette, la déboutonne, il n'a pas de slip ! J’empoigne un sexe de taille moyenne, le masturbe, le prenant en bouche pour une lente fellation, malheureusement, c'est un précoce, j'avale donc son jus sans trop de plaisir.

Il est à peine vingt-deux heures, "va te changer en pute" on sort.
Vêtue de bottes à hauts talons, minijupe, chemisier très transparent, nous arrivons au parc naturel de la montagne, pas mal de voitures y stationnent.
Il me retire mon chemisier, baissant son futal, il sort son engin, m'ordonne de mettre à genoux sur mon siège et de le sucer.

Je suis en jupette et bottes, seins nus, Fesses bien relevées, j'obéis, la vitre de mon côté s'abaisse, je sens une main qui me caresse, "écarte les cuisses salope" quelqu'un me masturbe le clito, me doigte, mon chauffeur lance, tu la veux ?

Me sortant de la voiture, il s'installe sur le capot, je reprends ma fellation, derrière moi, un type écarte mon string et me pénètre, très vite d'autres types s'approchent, huit ou dix mains m'explorent.

Mon mentor s'écarte pour laisser ma bouche à d'a ...

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