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De brèves retrouvailles (2ème partie)

Publié par : loveuse89 le 30/12/2019

Quelques jours passent durant lesquels nous renouvelons l'expérience dès que nous en avons la possibilité. Quel plaisir ! L'envie de le retrouver s'accroît considérablement à force de se masturber ensemble. Finalement, nous trouvons un moyen de nous revoir, il faudra seulement que nous nous rejoignons dans une ville à mi-chemin. Pas chez l'un ou l'autre, il est difficile d'envisager de satisfaire nos pulsions. Tant pis, nous résisterons...tant que nous pourrons.

Une dizaine de jours plus tard, nous avons rendez-vous dans une grande ville à égale distance des nôtres. Lui en car, moi en train, nous n'arrivons pas au même endroit. J'entreprends alors de le rejoindre malgré ma méconnaissance de cette commune. C'est la première fois que j'y viens seule mais les indications sont assez claires, par conséquent je parviens sans tracas à son lieu d'arrivée. Je lui signale et l'attends patiemment.

Je patiente une quinzaine de minutes puis j'aperçois un car se garer et reçois simultanément un message de Guillaume m'indiquant qu'il arrive. Visiblement c’est le sien. Nous ne sommes plus qu'à quelques instants de nous retrouver physiquement, l’excitation est à son comble.

Il descend, vient me rejoindre en même temps que je m'avance. Lorsque nous sommes assez proches, je lui saute au cou et l'enlace sensuellement, sauvagement, je ne sais pas trop mais peu importe, nous sommes enfin réunis, c’est l’essentiel. Dans ses bras, nous ornons nos retrouvailles de fougueux baisers semblant nous exciter fortement. Ma cyprine humidifie mes parois tandis que je sens son sexe durcir contre moi. Nous nous étreignons fortement, certainement à la hauteur du manque ressenti ces derniers jours. Je savoure cet instant tant attendu et comme les fois dernières, je n’ai pas envie de me retirer de ses bras que j’affectionne tant. Pourtant il le faut.

Les premières émotions passées, nous partons main dans la main, en direction d'un parc situé à proximité. En chemin, nous échangeons sur notre relation. Doucement il avance le problème de la rentrée scolaire approchante et des difficultés pour nous retrouver qui vont être accrues. Il me demande mon avis : tentons-nous au risque de souffrir de la distance ou mettons-nous un terme à notre relation ? Prise au dépourvu, je ne m’attendais pas à ce qu’il s’interroge là-dessus. Pour moi la question ne se pose même pas : je suis si éprise de lui que je n’envisage pas de rompre. Sa réflexion me jette donc un froid mais calmement ou presque, je lui annonce ma position et lui explique que je suis consciente des problèmes que nous allons rencontrer mais que « difficile » ne signifie pas « impossible ». Je lui assure ma volonté d’essayer s'il le souhaite également. Il se laisse facilement convaincre puisqu'il ne désire pas non plus mettre un terme à notre relation. Pourquoi ne pas tenter ? Après tout, nous ne risquons rien et nous verrons bien si l'essai est concluant.

Arrivés au parc, nous nous installons tranquillement dans un coin. Il n'est pas très grand, situé en plein centre-ville, très fréquenté, pas moyen d'être tranquilles, isolés. Nous constatons tous les deux cette triste réalité et savons que nous ne pourrons pas nous adonner au plaisir de la chair. Tant bien que mal, nous cherchons une solution mais nous ne connaissons pas assez bien les lieux. Frustrés et résignés, nous renonçons à une activité sexuelle en profondeur mais nos mains profitent chacune du corps de l'autre. Je suis faible, il est trop difficile pour moi de résister à cette belle bosse sous son pantalon. Si je ne peux l'utiliser, au moins que j’effleure cette douce colline qui se présente sous mes yeux. Il en fait de même avec mes seins. La sensation est agréable mais loin d'être aussi bonne que nus. J’apprécie tout de même le sentir me caresser ainsi, c’est très plaisant et d’autant plus lorsqu’il s’agit de l’homme aimé. Je lui cède mon corps avec joie, il peut se faire plaisir et l’explorer entièrement s’il le souhaite mais malheureusement ici c’est impossible. Quelle frustration ! Nous essayons de profiter au mieux tous les deux et passons ainsi la fin de notre matinée.

Vers midi nous allons déjeuner. Idem, beaucoup de monde donc excepté quelques regards fougueux, baisers furtifs, mains sous la table et pieds se rencontrant, nous nous restaurons uniquement à notre plus grand regret et malgré l’excitation qui s’accroît. Je ne sais pas comment nous allons faire pour résister jusqu’à ce soir. J’ai véritablement envie de lui, de le sentir me pénétrer comme il a su si bien le faire lors de notre dernier rencart. Malgré que nous ayons pratiqué qu’une seule fois j’ai pris goût au sexe et l’envie de recommencer me hante depuis. J’aimerais tant que nous puissions nous adonner de nouveau à ce plaisir !

En sortant, nous passons derrière ce qui nous semble être la gare routière. Endroit un peu désert comparé à l'agitation que nous avons vue depuis notre arrivée. C'est un parking peut-être, il y a trois voitures stationnées, espacées d'une vingtaine de mètres chacune. Un muret longe le tour, le toit lui fait de l'ombre, ça a l'air plutôt calme. Nous nous regardons en esquissant un sourire et avons vraisemblablement la même idée : poursuivre notre journée ici. C'est loin d'être romantique, c'est vrai, mais au moins nous y serons tranquilles.

Nous suivons notre idée et nous nous arrêtons là. Il s'assied, je dépose mon sac à ses côtés et m'installe à califourchon sur ses jambes, face à lui. Nous pouvons enfin nous étreindre, nous embrasser fougueusement. La frustration accumulée peut être enfin évacuée. Nos langues se retrouvent, se caressent et se roulent des pelles tout à fait exquises. Je déguste la sienne, la lèche et la poursuit jusque dans sa bouche ; je ne parviens plus à m’en détacher et l’embrasse ardemment Ses baisers m’ensorcellent et me rendent folle. Je me cramponne à lui, mes bras entourant son cou le serrent aussi fortement que les siens autour de moi. Nos sexes au plus proche depuis le début de la journée sont en fusion. Je le sens bander et ça m’excite encore plus. J’imagine sa queue dressée, dure, envieuse de ma chatte, cachée sous ses vêtements, je n’en peux plus et me précipite pour la toucher. C’est si bon ! Les lieux ne semblent pas fréquentés, je suis sur lui alors je laisse la raison de côté et je le déshabille afin d’accéder à l’objet de mes désirs. Je déboutonne son jean et ouvre sa braguette avec plus d'aisance q ...

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