Bien que j'ai toujours été attiré par le sexe, il m'a fallu bordailler la quarantaine avant de découvrir le monde du libertinage. L'envie m'en avait parfois tenté, mais le manque de connaissances allié à une certaine timidité m'avait empêché de sauter le pas. Et ce jusqu'à découvrir que dans les petites annonces, on trouve parois la porte ouverte à de belles aventures. C'était l'époque où un journal gratuit ouvrait ses annonces aux libertins. Des dérives lui ont fait fermer cette section, dommage!
J'avais répondu à plusieurs annonces de maris candaulistes ou dominateurs, car cette situation me titillait. Je n'avais que peu de réponses, ce qui m'a étonné qu'à moitié une fois que j'ai su le nombre de réponses qu'avait ce genre d'annonce. Une, cependant, fut positive. Nous discutâmes avec le mari par mail, pour bien comprendre le contexte, établir le scénario, et discuter du déroulement des actions. Nous nous donnâmes rendez-vous le week-end suivant sur le parking d'un hôtel d'une zone commerciale.
Il m'accueillit en toute simplicité, et m'expliqua que tout se déroulait comme prévu, et qu'il allait m'emmener dans la chambre qu'il avait réservé.
"La salope est là, à ta disposition" dit-il en entrant. La vision qui s'offrait me fit une vague de chaleur entre les jambes. Sur le lit, à quatre pattes, sa femme était nue, les yeux bandés, les mains attachées au montant du lit. Quelle cul elle avait! Elle aurait pu donner des complexes à une brésilienne. Je m'approchai, et posai une main sur sa fesse. Elle frémit légèrement. Je commençai alors à caresser les deux collines charnues, et suivant les conseils du mari, j'appliquai de tant en tant une claque sèche. Chacune faisait soupirer la soumise, qui semblait en tirer beaucoup de plaisir. Je continuai jusqu'à ce que ses deux fesses soient bien écarlates.
J'ouvris alors le sac que j'avais emmené. "La salope est bientôt prête à servir de vide-couilles, mais j'aime bien un cul un peu lâche, je vais la préparer". Je sortis du lubrifiant, et lui en tartinait la rondelle, en pénétrant sa petite porte éto ...

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