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Découverte et dépucelage de mon apprentis

Publié par : kimedose le 18/02/2023

Bonjour,

Je suis un petit artisan en électricité et plomberie et divers autres corps de métier, quand la demande s'en fait sentir. Suite à la crise et à bon nombre de chantiers qui se sont décommandés, je ne travaille plus que tout seul avec un apprenti qui est en contrat d'alternance et dont je suis le tuteur. Ce jeune homme s'appelle Farid et on à signé son contrat l'année dernière alors qu'il avait tout juste 16 ans.

A cette époque, j'ai du avoir recours à ses papiers d'identité pour pouvoir certifier que son âge était bien celui qu'il annonçait et non celui qu'on lui aurait donné au premier abord. En effet, il avait un aspect tellement juvénile et était tout en retenu en raison sa grande timidité, qu'on lui aurait accordé deux ans de moins au minimum. J'ai eu plus de dix apprentis depuis que je suis à mon compte, mais Farid à été, dès le début, celui que j'ai préféré. C'est un gamin qui est très sympathique et attachant, qui à beaucoup d'humour pour son jeune âge et malgré sa réserve naturelle, une bonne volonté à apprendre le métier, beaucoup d'écoute en règle générale pour tout ce qui est conseils et connaissance de la vie. De plus il est beau comme un coeur si j'en croie les dires de ma femme et surtout ceux de ma dernière fille qui n'a qu'un an de plus que lui et je suis personnellement d'accord avec leurs avis.

L'histoire que je vais vous raconter s'est déroulée au début de cet été. Les parents de Farid possèdent un terrain dans l'Hérault sur lequel ils font construire une petite maison pour leur retraite. N'étant pas très fortunés, Farid m'a demandé de pouvoir réaliser l'électricité, la plomberie, la pose des menuiseries et divers autres travaux de maçonnerie par lui même. Mon carnet de commande étant désespérément vide, j'ai accepté et même mieux, décidé de partir avec lui pour l'aider, dès que ses cours seraient terminés cet été. Pour limiter les frais, ses parent nous ont déposé leur caravane sur le terrain de la construction afin de nous loger. La première semaine tout s'est bien passé, nous travaillions énormément et étions heureux de retrouver notre lit après nous êtes douché et restauré.

La promiscuité imposé par la caravane m'avait déjà permis de constater que mon apprenti était sur le chemin de la maturité et que le gamin embauché il y a deux ans, bien que conservant son aspect juvénile, se transformait de jour en jour en un charmant jeune homme, un petit apollon à la peau joliment ambrée par les longues journées passées sur le chantier torse nu. Toute la journée j'appréciais son joli torse imberbe, légèrement musclé tout comme il faut par les travaux du bâtiment, ses jambes longue et bien modelées et surtout son joli petit cul. Ce qui commençait surtout à me troubler, c'était de le voir en permanence avec des shorts au moins deux tailles en dessous de la sienne.

Ces shorts lui moulaient ses petites fesses à merveille et ça en devenait presque indécent. Quand je lui ais fait part de cela, il me dit qu'il avait changé morphologiquement et qu'il utilisait ses vieux shorts, afin de les finir en travaillant, bien qu'ils soient trop petits. En plaisant, je lui ai conseillé de ne pas sortir en ville comme cela car c'était un appel au viol. Il m'a répondu que «ça ne le dérangerait pas de se faire violer à condition que ce soit par une belle fille», puis après un petit temps d'attente «ou même un beau garçon» me dit-il en rougissant jusqu'au bout des oreilles. Le temps de bien comprendre le sens de ses paroles, il avait disparu en courant de l'autre côté du chantier. Moi qui était déjà tout excité, tout en refusant de me l'avouer, par son joli corps à peine sortie de l'adolescence et par son petit cul bien rebondi dans ses mini shorts, cet aveux d'homosexualité de sa part n'allait pas calmer ma libido ni les fantasmes que j'essayais bien inutilement d'enterrer au plus profond de mon esprit. Je me suis dit que c'est bien à cette période, située entre l'adolescence et l'homme mur, que la beauté du corps d'un hommes est à son apogée, plus tout a fait un enfant, mais pas encore véritablement un adulte.

Une nuit je me suis réveillé en me retournant dans mon lit et j'ai été surpris d'entendre des petits gémissements venant du côté ou dors Farid. J'ai attendu quelques secondes pour être sur qu'il n'était pas malade, et me suis vite rendu compte que ces gémissements n'avaient rien à voir avec une quelconque douleur mais plutôt provoqués par la recherche du plaisir solitaire. Tout simplement Farid était en train de se branler vigoureusement, se croyant invisible d'où il était et me pensant endormi. Seulement je venais de me réveiller et la lune diffusait suffisamment de clarté pour que je puisse assister à la scène comme voyeur contraint, grâce à l'ombre de son lit et de son corps projetée sur la cloison de séparation des 2 chambres.

Je pouvais distinguer son corps étendu sur sa couche et surtout son mat dressé au bas de son ventre, qu'il caressait en alternant l'amplitude et la vitesse de ses allés et retours; Même si c'était la première fois que j'assistais à ce genre de spectacle, à ma grande surprise il ne me choqua pas du tout, et au contraire, bien qu'en ombre chinoise, il commençait à m'exciter bougrement. Mon boxer commençait à manquer de place pour y loger ma tige gonflée. Quand je l'ai vue s'achever et s'assécher à l'aide d'un mouchoir papier, le pensant reparti dans les bras de morphée, je me suis administré le même remède que lui pour enfin évacuer la pression à mon tour. N'ayant plus eue depuis plus de trente ans de pulsions, ni de relations homosexuelles, c'est en essayant de penser à des aventures féminines que j'essayais de me faire venir. Mais rien à faire, mon esprit me ramenait systématiquement à la scène à laquelle je venais d'assister et c'est comme cela que j'ai joui pour la première fois depuis longtemps en pensant à un homme, son corps, son cul, son sexe.

Le lendemain matin Farid s'est réveillé avant moi, ce qui n'arrivait pratiquement jamais. Il est venu me voir et eut un large sourire aux lèvres en découvrant le klineex au pied de mon lit. Je pensait m'en débarrasser avant son levé. Le petit vicieux me dit en souriant: "bien dormi patron? j'espère que je ne vous ai pas trop dérangé cette nuit, j'ai eu un sommeil super agité"

Son sourire ne laissait aucun doute sur le double sens de ses propos. Je lui répondis, pour rester dans le même esprit, qu'il ne m'avait pas dérangé du tout, que moi aussi à son âge, j'avais régulièrement des nuits agitées et que même encore aujourd'hui, éloigné de ma femme, cela m'arrivait occasionnellement. Cet échange verbal nous fit partir tous les deux dans un grand éclat de rire et la situation qui aurait put être très embarrassante s'est immédiatement transformée en connivence, chacun connaissant l'activité nocturne de l'autre. A partir de ce moment, Farid toujours très réservé et pudique jusqu'alors, n'hésita plus à se changer ou s'habiller, sans trop tirer la cloison accordéon pour s'isoler et c'est comme cela que, mine de rien, je me suis mis à lui mater de plus en plus souvent son petit cul tout nu bien offert à ma vue.

J'ai compris que le petit salop cherchait bien à m'allumer, car il mettait toujours plus de temps pour enfiler son short à même la peau sans rien dessous. Le tableau qu'il m'offrait était magnifique, surtout qu'il oubliait de plier ses genoux pour enfiler son short et que c'est quand il était courbé en deux, cuisse bien écartées, que je pouvais admirer, rapidement hélas, son petit anneau brun, ses petites couilles pendantes et au dessous une partie de son sexe.

Au cours de la deuxième semaine, une journée nous avons subie un violent orage. Sur le chantier, j'ai demandé à Farid si toutes les fenêtres de la caravane avaient bien été fermées, il m'a affirmé que oui. Hélas, ce n'était pas le cas et la fenêtre restée ouverte avait détrempée son lit. Après avoir mis toute sa literie à sècher, il fut évident que nous devions coucher tous les deux dans le grand lit. Le soir venu, il est venu se coucher dans mon lit avec comme tout vêtement son shorty. Je me suis de nouveau fait la réflexion qu'il était vraiment très beau et ce que laissait deviner la forme de son shorty était de belle proportion. Je me suis couché après lui en boxer et après avoir un peu lu, j'ai essayé de trouver le sommeil. Ce dernier ayant du mal à venir, je me suis tourné et retourné plusieurs fois dans le lit et quelques fois nos corps se sont touchés sans aucune arrière pensée. Je me suis fait la réflexion que sa peau était douce comme celle d'une jeune fille.

Ces contacts involontaires et les idées qui s'en sont suivie me firent bander rapidement sans que je puisse me contrôler. La cause de mon état? sa peau douce, sa jeunesse, son odeur de petit mâle, son sexe deviné magnifiquement blotti dans sa cache, la masturbation surprise l'autre jour, les images de son intimité qui me tournaient en boucle dans la tête, également le manque de ma femme, ou peut être une grande fatigue physique qui finie par me mettre les nerfs à fleur de peau? Certainement un peu de tout cela. J'ai réuss ...

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