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depannage de nuit.

Publié par : sabrina94 le 19/03/2021

La nuit était tombée depuis belle lurette quand j’ai pris ma voiture pour rentrer chez moi. Je roulais à vive allure sur une petite route de campagne quand mes faisceaux de lumières éclairaient une voiture stationnée sur la bas côté, avec ses feux de secours allumés. Je ralentis mon allure en arrivant à sa hauteur. Grâce à la lueur du plafonnier, je découvris une femme derrière le volant qui me fit de grands signes à travers sa vitre. Heureuse sans doute de trouver âme compatissante dans ce coin perdu dans nulle part. J’ai décidé de lui porter secours et pour ça je me suis garé juste devant le capot de son véhicule. J’ai coupé le contact et je suis allé à sa rencontre munie d’une torche.
Elle attendit sagement que j’arrive à la hauteur de sa portière pour entrouvrir sa vitre.
- Bonsoir monsieur, je crois que j’ai crevé…
Je fis le tour de la voiture pour m’apercevoir qu’effectivement le pneu avant droite était déchiqueté. Rassurée sur mon compte, elle était sortie de l’habitacle pour venir aux nouvelles. Debout, je pus me rendre compte que c’était une belle femme, vêtue d‘un tailleur bleu pétrole. Environ 40 ans, Blonde, plutôt petite malgré ses escarpins à hauts talons, dotée de formes généreuses et d’une poitrine opulente. J’admets que c’était loin d’être la tenue appropriée pour changer une roue en rase campagne, et de nuit en surcroit.
- Je ne vous serez toujours reconnaissante monsieur de vous êtes arrêter. J’avoue que je n’en menais pas large avant votre arrivée. Vous êtes mon sauveur. Fit-elle en me faisant une bise sur ma joue.
- Mais c’est tout naturel, madame. Bon ce n’est pas tout, il faut que je me mette au travail.
Je me dirigeais pour ça à l’arrière de la voiture, la femme à mes côtés, me suivant comme mon ombre. Le coffre était verrouillé.
- Vous pouvez l’ouvrir s’il vous plaît ?
- Oui… bien sûr ! Je vais chercher la clé…
Au moment où elle pivota sur ses talons, l’un de ses pans de sa jupe s’écarta. Il me semblait avoir brièvement aperçu l’esquisse d’une partie de bas à l’ancienne. Pour lui permettre de rejoindre l’habitacle sans encombre je pointais le faisceau de ma torche sur ses escarpins. Là pour atteindre la clé sur le contact elle dû poser son fessier sur le siège, laissant une jambe à l’extérieur. Dans le mouvement, la jupe avait glissé très haut sur sa cuisse. J’ai eu le plaisir de faire connaissance avec l’attache d’une jarretelle qui maintenait le bas. À son retour, clé en main, consciente de ce qu’elle m’avait dévoilé, elle s’empressa de se justifier en se présentant comme étant représentante pour une célèbre marque de lingerie fine.
Très émoustillé avec tout ça, comme vous pouvez l‘imaginer, je pris sur moi-même pour effectuer à bien ma mission. Pour ça j’attrapais dans le coffre maintenant grand ouvert, le cric et la manivelle puis la roue. J’ai eu toute les peines du monde à stabiliser le cric sur la terre. Mais alors que je m’apprêtais à retirer la roue j’entendis tout proche comme un jet. Je me suis saisi de la torche et j’ai arrosé les alentours de lumière. Que fus ma surprise de surprendre la représentante accroupie devant moi en équilibre sur la pointe de ses escarpins, la jupe retroussée, les cuisses largement ouvertes, offrant à mes rétines un spectacle des plus affriolant. D’une main elle tirait vers le haut sa vulve épilée, pour maintenir ouvert son méat urinaire, d’où s’échappée à gros bouillon une urine claire.
La force était si intense que les gouttes rebondissaient sur le sol herbeux éclaboussant ses chaussures.
- Je m’excuse ! Se justifiait-elle. Mais je n’ai pas pu me retenir plus longtemps.
Il m’était à cet instant très difficile de dévier le faisceau de lumière de la scène. D’ailleurs cela ne devait pas la gênée. Puisqu’à aucun moment elle c’était offusquée. Le jet de pisse avait laissé la place à un filet, puis à des gouttes avant de se tarir. Pour le plus grand plaisir de mes yeux, elle ôta sa main, m’exhiba quelques secondes encore son minou entièrement rasé qui formait une sorte de cicatrice ourlée de couleur rose.
- J’espère que je ne vous trouble pas trop ? Commenta-t-elle, en s‘essuyant la fente à l‘aide de sa culotte.
- Tout au contraire ma chère…
- Ah oui ! Vous n’allez pas me dire que cela vous fait de l’effet ? Un grand garçon comme toi…
- Et comment ! Que cela me fait de l’effet…
- Au point de bander ? Me questionna-t-elle.
- Justement… j’allais vous le confesser…
Pas le temps de finir ma phrase qu’elle s’était redressée.
- Voyant ça, de plus près vous le voulez bien ?
- A votre guise…
Elle prit l’initiative de poser sa main sur mon sexe.
- Mais c’est vrai, qu’il bande !
- Sachez ma belle que je mens jamais… surtout avec ces choses là !
- Je vois ça ! Fit-elle s’attaquant à ma braguette, passant sa main dans l’ouverture pour atteindre mon gros oiseau, qu‘elle tira hors de son nid.
Elle donna de petits baisers sur toute sa longueur, avant de poser ses lèvres sur mes couilles, leurs prodiguant une caresse douce de succion qui ravissaient mes (jumelles). Puis elle revenait sur le dur. Ses lèvres étaient de velours, ses mains de satin. Elle m’engloutit presque aussitôt dans une bouche très avenante, passionnée. Je fus aussitôt aspiré, léché, enserrée entre deux lèvres gourmandes. On aurait dit deux mâchoires d’étau.
Plus les secondes défilaient, plus j’avais du mal à me contrôler. Quelques mouvements encore, et j’arrivais à l’extase. J’ai joui, avec une immense plénitude. Le sperme gicla dans sa bouche, et elle déglutit, son regard de braise fixé dans mes yeux plissés.
J’ai pensé que c’était une façon bien sympa de me remercier. Sitôt tout ranger, la femme me souffla à l ...

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Mots-clés : Pur fantasme, Hétéro, Fellation, Pénétration vaginale