Départ de vacances avec Tante Françoise et son mari.


C’est les vacances, j’avais trouvé un petit boulot pour Juillet, mais je me retrouve sans rien pour le reste. A 19 ans, mes copains sont partis ou travaillent !
Heureusement, il y a quelques jours, ma tante Françoise a demandé à ma mère si elle voulait bien que je parte avec eux dans le midi. Forcément moi je suis chaud patate à l’idée d’aller me faire dorer la pilule au soleil. Ma mère ayant accepté, il a fallut que j’écoute les consignes de l’oncle Jean Claude. Lui est plus âgé que ma tante, à cinquante six ans, il en fait 65, un peu bedonnant et aimant la bouteille. Françoise, elle pour ses cinquante ans est plus dans les normes, avec un léger embonpoint qui lui donne un certain charme et une belle paire de seins !
C’est le jour du départ, nous partons tranquillement vers 9 H 00. Jean Claude a réservé une chambre dans le secteur de Lyon, ils préfère faire la route en deux étapes.
Il fait chaud, je suis derrière tonton alors que Françoise est côté passager. Elle a bien reculé son siège et baissé un peu son dossier. Elle porte un robe à fleurs, bien décolletée sur le devant. Nous faisons la conversation, chaque fois que je le peux, je me rapproche vers elle pour parler et surtout mater sa poitrine ( à mon avis du 90/100 B )
Moi, pour la route j’ai mis un polo et un short large, ça me permet quant je le peux de me caresser le sexe, le pauvre, il est excité !
Nous nous arrêtons vers 13 H 00 pour casser une petite croûte. Un petit café, quelques blagues débiles de l’oncle, et nous reprenons la route. L’oncle est prudent, il ne roule pas trop vite. Françoise c’est endormie, les jambes écartées. Je fais semblant de dormir, mais je mate la tante. Jean Claude a mis la musique, et de temps en temps, me croyant assoupit, passe sa main sous la robe de la tante et lui caresse son entrejambe. Elle ne dit rien ou dort réellement !
Moi je trique !
Nous sommes arrivés au parking de l’Hôtel, la route c’est bien passée. Tonton et moi déchargeons des bagages alors que la tante Françoise va chercher les clefs de la chambre.
Nous arrivons dans le halle et nous trouvons la tante en discussion avec le réceptionniste.
Celui-ci déclare qu’une chambre a bien été réservée mais sans option pour un deuxième lit, il n’y a donc qu’un grand lit deux personnes.
Mon oncle veut s’en mêler, mais la réponse est qu’il n’y a pas d’autres chambres ou solutions, l’hôtel est complet. Je rassure mon oncle et ma tante en leur disant que je peux dormir sur la moquette avec une couverture.
Nous optons donc pour garder la chambre, vu l’heure et réservons 3 places pour dîner.
Après avoir monté nos bagages et s’être rafraîchit rapidement, nous descendons dans la salle du restaurant.
Jean Claude annonce : « On peut prendre l’apéritif, on se couche après !»
Il se commande un double Whisky glace, alors que tante et moi prenons un Kir.
Le plateau des entrées est copieux. Tonton a commandé une bouteille de Bourgogne. Le plat est classique et digne d’un bon routier, un bon steak frites. Le tonton nous sert un verre de vin, mais bien sûr n’oublie pas de se servir. Le deuxième verre est servi
Une bonne salade avant de prendre une île flottante, puis un café. Tonton finit la bouteille de vin avant de commander un Calva !
« Hé oui, on est normand ! Il faut honorer notre région ! « dit il.
Le repas terminé, nous regagnons notre chambre. Dans la chambre, Françoise déclare :
« Il n’est pas question que tu dormes au sol, tu es de la famille ! «
Jean Claude confirme.
« Je dormirai au milieu et vous chacun d’un côté, le lit est assez grand, et c’est pour une nuit ! «
« Ok tonton, ça va le faire, pas de problème ! «
Après avoir vidé les bagages nécessaires, Jean Claude détermine le tour pour la salle de bain.
Françoise passe en première, puis Jean Claude et moi pour terminer.
Je me couche donc à la droite de tonton et sa femme à sa gauche. J’ai eu le temps de voir sans la salle de bain ses affaires, elle a du retirer sa culotte, je l’ai senti, elle était humide.
Avant de me mettre au lit, j’ai remarqué qu’elle a mise une petite nuisette transparente rose.
Tonton est torse nu, sa peau est lisse et imberbe.
Nous nous couchons et éteignons rapidement la lumière.
Je suis torse nu également, avec un caleçon avec des dessins de BD. Le contact de la peau de l’oncle m’électrise. Je suis sur le dos, et je me perds dans mes pensées. Jean Claude ronfle déjà, normal, avec ce qu’il a bu !
A un moment, je sens sa main contre ma cuisse, puis, il commence a me caresser doucement mon ventre, il baragouine dans son ivresse, je ne sais quoi faire.
Je décide de me lever pour aller aux WC.
Dans la salle de bain, je trouve une petite lampe ( celle de Françoise ) Je pisse, mais ne tire pas la chasse d’eau.
De retour vers le lit, j’ai la surprise de voir que mon oncle a roulé dans le lit et occupe ma place, du coup, ma tante Françoise est au milieu du lit maintenant et ronfle également! Je ...

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