Après l'épisode de tension sexuelle dans la chambre avec mon père, nous prenions mon oncle mon pere et moi le chemin de la plage.

Vétus simplement de nos maillots de bains et nos serviettes à l'épaule, nous nous dirigions détendus et ravis vers les dunes ensoleillés du Cap d'Agde.

Après 3 minutes de marche, nous arrivons sur une vaste plage de sables blancs. nous étions tellement pressés de poser nos serviettes et courir nous baigner. Mais vision d'horreur: une armée de parasols et des cris d'enfants sur tous les endroits où nos regards se portent. Génial la distanciation sociale...

Nous décidons à l’unanimité de marcher un peu plus et longer la côte à la recherche d'un coin de plage plus calme et surtout moins bondé. Après environ 20 minutes de marche nous arrivons sur une plage plus petite mais bien moins fréquentée. A juste titre d'ailleurs: c'est une plage naturiste. Mon oncle, interloqué mais curieux, nous proposa de nous arrêter ici et de s'y installer.

Mon père, moins enclin à se retrouver nu devant moi, proposa de continuer et s'installer plus loin.

Nous arrivons quelques minutes plus tard sur un bout de plage, plus à l'abri et encore moins fréquenté, uniquement 2 couples installés.

En passant devant l'un des deux couples, mon pere interroge le mari:

Papa:"bonjour, excusez moi de vous déranger, c'est une plage naturiste ici?"

Le mari: "ici non c'est une plage libre, chacun fait ce qu'il lui plait vous pouvez rester en maillot, vous mettre nu ou plus..."

Ne souhaitant pas approfondir le "ou plus" que voulait dire cet homme (même si nous avions tous les 3 compris l’insinuation), mon père entreprit de poser sa serviette à quelques mètres du couple, pensant que le peu de monde et notre présence limiteraient les ardeurs de ces deux couples.

Le soleil tapait fort et nos corps avaient réellement besoin de rafraîchissement. Je posais ma serviette à coté de mon paternel et Thierry vient s'allonger à ma droite. Je me retrouvais entre les deux.

Papa : "depuis le temps que je rêve de piquer une tête, j'y vais tout de suite les gars"
Thierry : "fais toi plaisir, moi je vais me mettre de la crème"
Moi: "ok je vais faire la même" lançais-je, profitant de l'occasion pour me retrouver un peu seul avec mon oncle.
Thierry : "Alors, content d'être enfin en vacances?"
Moi: "oui c'est top, j'en pouvais plus des cours."
Thierry : "tu m'étonnes. Alors profite c'est les vacances! tu peux m'aider pour le dos stp?" me demande t'il en me tendant le spray solaire.
Moi : "pas de soucis", le sourire aux lèvres.

Il me tourna le dos et se retrouva face à la mer. Mon père était déjà très loin, on ne voyait plus qu'une vague silhouette.

J'appliquait le spray sur les larges épaules de mon oncle. Il avait une peau douce et deja bien bronzée. Ses muscles étaient bien dessinés, et je ne doutais meme pas qu'on pouvait avoir un dos aussi musclé.

Moi: "t'es déja bien bronzé tonton"
Thierry : "Oui c'est à cause des entraînements du rugby, on finit souvent torses nus à la fin des matchs".

Je commençais à étaler la crème sur son dos, en partant des épaules et en descendant. Afin de profiter un maximum de ce contact, je commençais un léger massage, prétextant qu'il fallait bien faire pénétrer la crème.

Thierry: "Oh c'est bon ça fait du bien, tu peux appuyer plus fort si tu veux"
Moi : "heu ça va tonton tu veux pas que je te masse non plus? prenant un faux air du mec qu'on utilise.
Thierry : "je sais très bien que ça te fait bien plaisir" me souffla t'il à voix basse, sur un ton provocateur.

Surpris par cette réflexion et surtout le ton utilisé, je baissa ma tete pour voir si la compression ressentie dans mon bas ventre était réelle ou le fruit de mon imagination. Je découvris une bosse qui se dessinait dans mon slip de bain et qui confirma que ce n'était pas mon imagination.

Thierry: "je vous ai bien grillé toi et ton père tout à l'heure dans la chambre" rajouta t'il amusé. "Vous aviez l'air de bien vous amuser".
Chauffé par ces quelques mots, j'entrepris de répondre à sa provocation.
Moi: "on est en vacances, tonton, il faut bien se détendre" lançais-je tout en laissant glisser ma main autour de son bassin pour attraper son entrejambe dans son boxer de bain. Je sentis son lourd paquet remplir ma main, et mon assurance me poussa à serrer légèrement pour sentir ses couilles et sa bite bien plus facilement.

La situation était très excitante : la peur d'être vu, le fait de faire ça à mon oncle, et sa réaction.

Nous étions dans le dos du couple le plus proche de nous donc la peur d'être surpris était faible et mon père nageait trop loin pour identifier quoi que ce soit.

Quand à la réaction de mon oncle, elle fut simple: il écarta un peu plus les jambes et entrepris de retirer son maillot pour me donner libre accès à sa bite.

Une bite qui se mit à grossir à vue d’œil et que je branlais fermement, aider par la crème qui aider à accélérer les mouvements de mes doigts sur son gland bien dur. Je sentais sa respiration s’accélérer et il commença à devenir plus cru:

Thierry : "alors c'est ça que tu voulais ...

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