Je bénéficie de deux semaines de vacances et je décide de profiter des réductions pour réservation au dernier moment.
Dans l’avion, je me retrouve à côté d’un homme aux allures plutôt patibulaires : grosses chaîne et gourmette en or, pas souriant et des mains à l’inverse de celles d’un pianiste ! S’il déploie ses doigts, sa main a l’envergure d’une raquette de tennis avec des phalanges si épaisses que son petit doigt est aussi large que mon pouce. Je ne voudrais vraiment pas qu’il me colle une baffe car je serais assommé sur le coup !
Il fait nuit et je somnole car le vol dure de longues heures et je veux être en forme une fois arrivé à destination. De temps en temps je rouvre les yeux et cette fois, je constate que mon voisin est en train de regarder un film porno mais pas avec des nanas : un quinqua est en train de sodomiser un petit jeune asiatique. Le jeune crie son plaisir (je devine à l’image car je n’ai pas le son) et la caméra fixe en gros plan le fil de sperme qui coule de sa bite molle. Son visage est marqué par le plaisir et son regard irradie. Ils changent de position et leurs regards se posent l’un dans l’autre. Je trouve la scène très excitante et je sens que mon sexe se tend dans mon slip. J’ai les yeux rivés sur la tablette du voisin et je ne m’aperçois pas qu’il se rend compte de mon intérêt pour le film qu’il regarde.
Et là, je vois sa grosse main qui vient se poser sur mon paquet ; il me regarde avec un sourire vicieux et commence à me caresser avec une certaine ardeur. Il défait ma braguette (je n’ose pas lui résister) et il entre dans mon slip pour en dégager mon sexe qui ne demandait qu’à se déployer. Il me branle tout en continuant à me regarder avec son air presque sadique. Tout le monde dort autour de nous et même si ce n’était pas le cas, je crois qu’il n’agirait pas différemment.
Il retire ses écouteurs et éteint sa tablette. Il me lâche le sexe mais il sort sa queue de la main gauche et me tire par la nuque pour placer mes lèvres contre son gland. Vous vous doutez que sa bite est proportionnée à ses mains et me voilà face à un chibre impressionnant tant en longueur qu’en circonférence. Il sent bon et même si j’agis sous le coup d’une soumission par peur, j’ai envie de sucer ce mec et de lui procurer du plaisir. Son film l’avait déjà bien chauffé et je peux rapidement goûter son précum, élixir succulent au possible. Quel dommage qu’il ne soit pas sécrété en plus forte quantité !
Même si cette bite est des plus larges, j’apprécie la mise en bouche. Je lèche ce tendre gland et je l’enfonce au plus profond vers ma gorge pour savourer la texture de ce pieu sur toute sa longueur. J’effectue des va et vient au rythme qu’il m’impose avec sa main droite jusqu’à ce qu’il me laisse la liberté d’agir sans son contrôle. Il ne semble pas s’en plaindre puisque je perçois ses mouvements de bassin qui avance et recule et j’entends aussi son souffle qui s’accélère. Il commence même à gémir et je sens sa main qui se dirige vers mes fesses en ayant préalablement traverser l’élastique de mon slip.
Son gros doigt s’insinue le long de ma raie et appuie sur mon œillet. Il l’a recouvert de salive et je suis si excité par la situation que je m’ouvre à lui : une première phalange me pénètre et me procure une douce sensation de plaisir. Alors que je poursuis ma fellation, il enfonce davantage son doigt en moi et le tourne dans un sens puis dans l’autre. Il me procure une telle excitation que mon bassin connait des mouvements incontrôlés et j’en demande plus ...

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