Passant quelques jours dans cette ville du sud que je ne connaissais pas, je voulais profiter de tous ses distractions des plus intellectuelles comme les musées, aux plus secrètes comme le sexshop, et le sauna.

Après avoir découvert le sexshop, le lendemain j’alla au musée. Par expérience je savais que dans chaque musée il y avait une pépite à découvrir et pour une fois ce fut un trésor inattendu.

Je décidais de débuter le matin par le musée des tapisseries où j’étais sûr à l’ouverture ne pas être dérangé par la foule.
La première salle, en haut des escaliers était dans la pénombre et tellement surpris par cela que je commençais à discuter avec le tout jeune gardien, qui était si aimable que je me demandais s’il était vraiment le gardien.

Autant ses collègues sont revêches, autant lui était mignon et attirant. Nous avons commencé à parler de choses et d’autres et il émanait de lui un charme indéfinissable qui me titillait dans le slip.
C’est l’avantage de l’âge, on envisage, on imagine et on se lance si une ouverture est possible.
Il me plaisait bien et je voulais en découvrir plus, alors je passais d’une salle à l’autre donnant des coups d’œil vers l’objet de mon désir.

Il parla avec un de ses collègues et lorsque je retournais vers sa pièce, je me disais qu’il fallait oser tenter une approche. Il me demanda ce que je pensais de l’expo et je ne pus m’empêcher de faire des compliments, disant que les pièces étaient mises en valeur mais auraient gagnés à être mis plus en valeur dans toute leur nudité. Tout en disant cela je me touchais, pour qu’il comprenne le double sens de mon propos.
Puis je lui demandais où était les toilettes et s’il pouvait me les indiquer. Il me dit que c’est en bas et je crois qu’il comprit ce que je voulais puisqu’il me lança un « à très bientôt » alors que je le quittais.
Me retournant dans l’escalier je vis qu’il appelait son collègue.

J’alla donc aux toilettes choisis la toilette la plus éloignée de la porte d’entrée, baissa le capot, m’assis tout en veillant à laisser la porte entre ouverte, et commençais à m’astiquer le manche en m’imaginant qu’il arrivait tout naturellement.
Cela ne pouvait qu’être nature ...

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