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Dupond et Dupont (suite de Dupont et Dupond)

Publié par : thimau le 21/03/2024

Le médecin me fait accroupir sur le bord du lit en lui présentant mon œillet bien ouvert tandis que l’interne fait asseoir Jules sur le fauteuil en me faisant face. Il plonge un long coton-tige dans une fiole et l’enfonce dans le méat de Jules avec lenteur. Les pupilles de mon homme se dilatent sous l’effet de la sensation de plaisir procuré. L’interne ne s’arrête pas là : en même temps qu’il fait coulisser le coton-tige, il commence à entreprendre la raie de Jules en s’attardant sur sa rosette. Je vois très bien dans le regard de Jules l’instant où le doigt de l’interne le traverse. Jules retient la sonorité de ses gémissements d’excitation et son bassin ondule sous l’excitation simultanée de son méat et de son anus.
Nos regards ne se quittent pas. La bite de Jules est tendue au maximum : elle est plaquée contre son nombril. Pendant ce temps, le médecin (qui ne portait rien d’autre sous sa blouse que son trois-pièces) présente son gland contre mon œillet des plus ouvert et s’engouffre en moi brusquement. Malgré l’effet de surprise et du plaisir ressenti, je parviens à retenir un cri de jouissance naissante. Je n’avais pas eu l’occasion d’estimer la taille du chibre du médecin et maintenant, je l’évalue à l’écartement de mes sphincters et à la profondeur qu’il atteint dans mon rectum. L’homme est bien monté et surtout il sait utiliser ses atouts.
Il me baise vaillamment et je vois aux éclats dans les yeux de Jules qu’il apprécie à sa juste valeur le plaisir que je ressens. Le pieu qui me lime le cul est à la fois long et épais. Il est surtout très raide, légèrement courbé vers la droite et je sais dès lors que si je me positionne en chien de fusil sur le flanc gauche, son gros gland percutera à chaque coulissement mon point G. Je prends l’initiative et lui offre désormais mon cul sous cette nouvelle orientation. Effectivement la position est la bonne pour moi et la jouissance anale s’approche à grands pas. Je sens d’ailleurs une coulée de semence qui dégouline de mon méat alors que ma bite est ramollie suite à sa récente éjaculation.
L’interne positionne désormais Jules sur le lit face à moi et nos langues se retrouvent avec délectation. Au moment où il a retiré le coton-tige, quelques gouttes de précum ont coulé ; il les a récupérées et s’en est délecté avec gourmandise. Jules a les fesses offertes sur le bord du lit et je vois le chibre de l’interne quand ce dernier retire sa blouse sans rien d’autre en-dessous que son trois-pièces. Il est apparemment aussi bien outillé que le médecin. Je ne sais pas si Jules ne s’était pris qu’un ou plusieurs doigts pour lui détendre la rosette mais l’interne le culbute sans coup férir, d’une traite. Je ressens que Jules apprécie la chose à sa juste valeur et sa langue me le confirme en effectuant une sorte de soubresaut dans ma bouche.
Jules et moi prenons rapidement le rythme des assauts que nous subissons avec enthousiasme. Nous devinons que la gente médicale se plante les yeux dans les yeux et arborent ...

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Mots-clés : Pur fantasme, Gay, Fellation, Sodomie, A plusieurs