Jules est hospitalisé depuis plusieurs semaines et il est en manque de ma bite dans son cul. Je vais le voir tous les jours. Je m’assois sur son lit et je passe ma main sous les draps pour le branler (plus la rosette que la quéquette) mais le compte n’y est pas.
Il a changé de service et il m’indique que le nouveau chef de service lui fait du gringue : alors que Jules a été opéré au niveau du thorax, le chef de service lui a effectué un examen très poussé au niveau de l’anus. Dans ce nouveau service, il n’y a pratiquement que des infirmiers et très peu de personnel féminin. Je suis forcément très intrigué et excité.
Alors que je viens rendre visite à Jules, le médecin arrive accompagné de son interne. Il m’indique : « Monsieur, le mal de votre mari pourrait provenir de vous. Puis-je vous ausculter ? » « Bien sûr, docteur ! » (un vieux rêve de me faire ausculter).
« Déshabillez-vous ». Je m’exécute et l’interne s’approche de moi et précise : « Le boxer aussi, s’il vous plaît. »
Me voilà nu comme un ver et l’interne « me palpe » les bijoux de famille. Il se tourne vers le médecin et lui dit : « C’est bien ce que nous pensions, dois-je approfondir l’examen ? »
« Oui, et je vais vous aider », répond le médecin à son interne. Il me fait m’allonger sur le lit aux pieds de Jules, sur le côté. J’ai un début d’érection et l’interne me décalotte avant de me prendre en bouche. Le médecin se positionne en bout de lit et écarte mes fesses avant d’y introduire un doigt le long de ma raie puis rapidement dans mon œillet. Jules me regarde avec un grand sourire et il m’indique qu’il vient de passer le même examen.
La médecine a vraiment du bon et les deux acolytes sont très doués. Le médecin en est déjà à m’introduire un deuxième doigt et je commence déjà à gémir de plaisir. Jules me fait signe de son doigt sur ses lèvres d’être silencieux mais je n’y parviens pas. Du coup, il s’approche de moi et m’embrasse ardemment. Nos langues retrouvent leur complicité : me voilà pris entre trois hommes et mes vocalises sont étouffées dans la bouche de Jules.
L’interne me prodigue une fellation de damné ! Sa bouche me semble un puits sans fond tant il avale mon pieu avec facilité jusqu’en butée de mes couilles. Il a des moments de succions torrides qui font migrer tout mon sang vers mon gland, au point que j’ai l’impression que ce dernier augmente son volume et devient deux fois plus gros. Lorsqu’il laisse ressortir ma verge de cette voluptueuse caverne, il l’enrobe de sa langue qui me paraît alors si large, sensuelle et douce.
Jules qui m’embrasse avec fougue, ma bite aux anges dans une cavité buccale avide et accueillante plus mon trou du cul investi par un troisième doigt maintenant : je crois que je ne vais pas tenir bien longtemps encore avant d’expulser toute ma liqueur. Jules me connait bien et il s’en amuse.
A son ...

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