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En chaleur....

Publié par : larakigt le 14/06/2020

A l’époque je travaillais sur Paris mais j’habitais en province, je prenais donc souvent la route à la fin de ma semaine. C’est toujours très excitant de prendre l’autoroute en fin de semaine, il s’y passe toujours plein de choses. Pour moi c’est aussi l’occasion d’assouvir mes pulsions de chienne travestie en quête de bonnes queues. Donc après avoir pris le temps de bien me préparer, c’est maquillée, parfumée et transformée en jolie travestie que je me suis mise au volant ce vendredi soir, la tête déjà remplie d'idée coquines. Il était 22h, j'avais à peu près 800 kms à faire et je savais qu'il allait forcément se passer quelque chose. Un chemisier bien échancré dévoilait un joli soutien gorge et une minijupe en tulle transparent ne cachait pas grand-chose de mes bas et mon string dessous. En plus j’aime laisser la lumière du plafonnier la nuit et mon allure est toujours calquée sur celle des routiers permettant à ces messieurs de bien me mater. Même s’il ne se passe rien de plus, ces petites exhibitions me procurent déjà un grand plaisir cérébral. Mais ce soir là ça n’a pas tardé, le premier routier, après avoir longtemps roulé à côté de moi, me fit signe de le suivre. C’était un camion hollandais, il s’est garés dans un coin reculé de l'aire de repos et à ouvert la portière côté passager. Je suis montée dans la cabine mais quand il a vu que j'étais travesti et il m’a baragouiné sa déception en anglais. Je lui ai fait comprendre que j’aimerais au moins le sucer en faisant un signe de ma bouche; après avoir un peu hésité il a quand même baissé sa braguette et sorti un joli sexe mou. C'était un grand gaillard, costaud les cheveux gris blond la belle cinquantaine et sa bite encore molle était large avec un joli gland décalotté. Avant qu’il ne change d’avis, je m'empresse d'engloutir l'engin, bien à fond tant que je le pouvais encore et m'appliquait à bien la sucer. Je sais que je suis une excellente suceuse de bites et je ne remercierais jamais assez ma maîtresse de m’avoir formée et entraînée à aimer ça. Ma pipe faisait déjà son effet, son gland avait doublé de volume. C’est un régal à chaque fois, j’adore sentir un sexe grossir dans ma bouche ! Mon bel hollandais s’est détendu très vite, il est monté dans sa cabine dortoir s’est mis en travers les jambes écartées en appui sur les dossiers, moi je suis à genoux sur le fauteuil, la tête entre ses jambes et sa bite dans la bouche, imaginez le tableau que je pouvais offrir à quelque voyeur éventuel sur le parking... De temps en temps il reprend sa queue en main pour se branler énergiquement sur ma langue tirée puis il me la remet dans ma bouche chaude et humide. Visiblement Il veut jouir et reprendre la route rapidement, ça ne me dérange pas au contraire c’est une bonne mise en ambiance et je sais que la nuit n’est pas finie. De plus j’adore quand ma bouche sert de réceptacle à foutre, quand des queues me la baise et viennent y cracher dedans. Ca aussi je le dois à maîtresse qui presque systématiquement me fait recueillir le foutre de ses amants ou de mes baiseurs. Même si au début j’ai eu du mal, même si encore je ne peux pas avaler, maîtresse a tenu bon et aujourd’hui j’arrive à apprécier les différents goûts de ces liqueurs de males chaudes et visqueuses qui remplissent régulièrement ma bouche…
Donc quand j’ai fait comprendre à mon bel hollandais que je voulais qu’il me balance tout dans la gueule il a eu un grand sourire approbateur et ne s’est pas fait prié. Il s’est mis à se branler énergiquement au bout de ma langue puis il a enfoncé sa queue au fond de ma gorge, il commençait à avoir les tremblements significatifs que je connais bien, c’était le signal de sa jouissance imminente, et après un premier jet depuis l’extérieur il m’a expédier tout le restant par saccades au fond de la gorge en râlant comme un bœuf, me tenant bien la tête dans ses mains, sa queue bien enfoncée. Quelle dose il m’a mis, j’ai failli en vomir à chaque giclée ! J'en avais plein la bouche, il n'avait pas dû baiser de quelques jours !
Sans même prendre la peine de me tendre un mouchoir ou me remercier, il m’a ouvert la porte et après avoir baragouiné quelques mots en hollandais il est reparti sans plus se soucier de moi la bouche encore pleine et gonflée par son foutre et ma foi c’est peut être mieux comme ça.
Après avoir tout recraché par terre sur le parking, je me dirige vers les toilettes pour faire partir le gout et me refaire une beauté. J’ai vu sortir un homme de sa voiture qui n’avait rien dû perdre de la scène précédente. Il m’a suivie jusqu’aux toilettes et en faisant mine de se laver les mains à côté de moi il m’a félicitée en me détaillant de la tête aux pieds, il faut dire que ma tenue de salope en disait long sur mes prédispositions tout comme le grand sourire que je lui fis en guise de remerciement…
Quand je suis sortie des toilettes, au lieu de me diriger vers ma voiture je suis allée vers un petit bois que j’avais repéré sur l'aire de repos. Arrivée dans un coin bien sombre je me suis mise les mains en appui contre un arbre les jambes légèrement écartées en attente. Je me disais intérieurement que j’étais vraiment une sacrée salope mais trop tard pour reculer ! Là non plus je n’ai pas attendu bien longtemps et bien que je lui tourne le dos, quand quelques branches ont craquées j’ai compris que mon inconnu était tout près. J’en ai profité alors pour baisser un peu plus mes appuis et écarter d’avantage mes jambes afin que tout soit clair sur mes envies et qu’il n’hésite plus. J’ai alors senti une main fraîche parcourir mes bas et remonter sur mon cul nu car évidemment je n’avais pas remis mon string. Il prend son temps, me caresse aussi la bite et les couilles par dessous, me titille l’anus avec ses doigts. Moi je m'écarte le plus possible pour bien lui faire comprendre que ça me plait et qu'il peut en profiter. Il me pénètre avec 2 doigts, il est sur le coté et a sorti sa bite, encore un bel engin de 20 cm bien dure, décidemment j’ai de la chance ce soir…
Je le branle pendant qu’il me caresse et me sodomise avec ses doigts. Il les ressort de temps en temps pour me les faire sucer et lubrifier par ma salive, il en profite pour en rajouter un à chaque fois. Au bout de quelques minutes je me retrouve avec ses 5 doigts plantés dans ...

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Mots-clés : En partie vraie, Trav