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En descendant la poubelle

Publié par : LDG75 le 09/04/2016

22h30, la fin du film à la télé. Papa et maman vont se coucher. Je décide de rester au salon.
Maman : « Marco il est tard tu devrais aller au lit »
Papa : « Il est majeur à présent, laisse le chérie »
Maman : « Marco, bien, tu es majeur, mais tu promets de descendre la poubelle avant de te coucher. Je ne veux pas la voir demain matin »
Moi : « Promis maman »

Une heure après, je m’apprête à rejoindre ma chambre. « Merde la poubelle ! »
Je suis en short et en tee shirt. J’enfile des tongs. Pour descendre la poubelle pas besoin de m’habiller. Surtout à cette heure.
Je viens juste de refermer la porte de l’apart quand celle des voisins d’en face s’ouvre.
« Bonsoir M. Lamaulle »
« Bonsoir Marco »
Nous avons l’air fin ! Moi en short et tongs portant mon gros sac poubelle et lui grand costaud baraqué, en robe de chambre écossaise avec son caniche dans les bras.
L’ascenseur tarde à arriver. Je donne une caresse au chien. « Il va bien Mysti ? »
« Oui il vat » répond M. Lamaulle en hochant sa grosse tête au crâne dégarni.
Je me rends compte que ses jambes sont nues et terminées par deux grands pieds en chaussettes grises dans des mules de cuir noir. Les pieds d’hommes en chaussettes sont mon péché mignon et donc, mon regard s’y attarde un peu trop.
« Il fait chaud » Dit M. Lamaulle.
L’ascenseur arrive. Nous entrons dans l’étroite cabine. M . Lamaulle vient juste d’appuyer sur le bouton quand Mysti lui échappe des bras. Comme pour se rattraper, le chien s’agrippe à mon sac poubelle, qui se déchire et laisse échapper des ordures.
« Désolé M . Lamaulle, j’ai peut-être sali votre robe de chambre »
« Ce n’est rien » me répond-il en récupérant MystI « Mon épouse réparera cela »
Quand je me baisse avec précaution pour récupérer les saletés tombées à terre, je réalise que la ceinture de la robe de chambre de M. Lamaulle c’est relâchée.
Dans l’ouverture des pans de laine écossaise, j’aperçois les puissantes cuisses de M. Lamaulle, aussi velues que ses mollets, puis plus haut, sa queue. Elle est longue et brune. Elle surplombe une paire de couilles rebondies, couvertes d’une broussaille de poils noirs.
Cette vision, en plus des chaussettes d’où émane un délicieux parfum, m’excite illico. Tout en ramassant les saletés, j’essaie de mieux voir l’entrejambes. Dans la pénombre, j’aperçois la verge qui tremblote mais n’arrive pas à déterminer si elle se finit par un prépuce ou par un gland à découvert.
Là encore, je m’attarde sans doute un peu trop.
M. Lamaulle semble s’impatienter « Marco, arrête de faire ça dans l’ascenseur. Tu auras tout le temps quand il sera arrivé au rez-de-chaussée »
« Oui Monsieur Lamaulle » Mais en me redressant, ne voilà-t-il pas que je heurte ses bijoux de famille. Je sens nettement sous mes doigts la consistance molle des testicules broussailleux.
« Oh ! Pardon M. Lamaulle »
« Je t’en prie mon petit Marco. Cet ascenseur est bien étroit » Il se baisse pour déposer Mysti sur le sol et, tandis qu’il se redresse : « Et ce n’est pas si désagréable »
Je regarde M. Lamaulle d’un air pantois. Il me fait un beau sourire en plongeant ses yeux bleu acier dans les miens. Et il appuie sur le bouton d’arrêt d’urgence.
L’ascenseur s’est immobilisé entre le premier étage et le rez-de-chaussée, Mysti renifle le sac poubelle qui est de nouveau tombé à terre et M Lamaulle écarte les pans de sa robe de chambre.
« Si tu veux en profiter, elle est à toi. A cette heure-ci nous ne serons pas dérangés »
Sans me faire prier, je m’accroupie entre le sac poubelle et Mysti. La queue de M. Lamaulle commence déjà à gonfler. Elle se termine par un prépuce plissé. Quand je le retrousse, un beau gland humide apparait. Je glisse une main sous les lourdes couilles velue. De l’autre, je tire délicatement sur le prépuce et je goute au gland. C’est un fruit délicieux, qui s’épanoui entre mes lèvres.
« Marco, tu as une bonne technique, je m’en doutais bien »
A présent la verge de M. Lamaulle est bien dure.
« Marco, prend la bien toute entière »
J’ouvre bien ma bouche mais cette queue est trop longue. Elle heu ...

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