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Fantasme de femme

Publié par : brigitte68 le 29/04/2024

Brigitte vient d’avoir 60 ans. Elle est avec Franck depuis dix ans maintenant. Elle est retraitée d’EDF et pratique régulièrement du tennis et du Golf
Brigitte est une jolie blonde aux cheveux mi-longs bouclés, elle a des yeux clairs. Elle mesure un mètre soixante avec un poids de cinquante kilos.
Avec un joli quatre-vingt-dix C, elle est fière de sa poitrine bien ferme. Son fessier est aussi bien ferme dû au sport. Elle habite dans un grand appartement situé sur la place de Basse Goulaine.
Ce matin, Franck vient de partir pour trois semaines à la Réunion. Il s’absente régulièrement à cause de son job là-bas.
Nous sommes début mars, en cette enfin d’après midi, elle sort vêtue d’une jupe fleurie a volant, d’un chemisier recouvert d’un petit pull léger très moulant avec un joli décolleté et d’un manteau long. Elle se rend compte dehors, qu’elle est partie ce matin, trop peu vêtue par ce froid hivernal qui la glace. Sous son chemisier, elle sent ses tétons se durcir.
Elle se traite d’idiote, d’être sortie ainsi vêtue.
Elle part en direction de son appartement en pressant le pas. Il n’y a que quinze minutes de marche, mais par ce froid, elles lui paraissent interminables. Elle longe le square qui est éclairé par des lampadaires hors d’âge, avec une faible luminosité. En arrivant devant son immeuble, un homme noir est recroquevillé dans l’encoignure du côté fixe, de la porte d’entrée. Il est vêtu d’un vieux jean déchiré, d’un pull dont on ne distingue plus trop les couleurs d’origines, avec des godasses d’un autre temps et un manteau long qui ne ferme plus. Pour son aspect physique, difficile à identifier, des cheveux crépus sales.
Le SDF relève la tête et regarde Brigitte d’un air accablé par la misère, en tremblant de froid. Dans un mélange de pitié et d’une étrange attirance pour les choses innommables. Brigitte sentant la solitude venir l’accabler dans son grand appartement, convie l’homme des rues à pénétrer dans le halle d’entrée de l’immeuble, pour qu’il soit à l’abri du froid.
– Vous n’auriez pas un petit quelque chose à manger s’il vous plaît ? Madame. Demande le SDF en se levant. Elle le voit se lever péniblement. Brigitte voit devant elle, un homme noir d’un âge difficile a déterminer, pas jeune et il est de sa taille. Elle se dit qu’il n’est pas très vaillant et elle va bien le faire rentrer. Elle tape le code d’entrée et la porte se déverrouille. Elle l’ouvre et invite l’homme à rentrer.
Une fois renté, l’homme reprend :
– Si vous voulez, je monte avec vous, j’attendrai sur le palier de votre porte, ça m’évitera de redescendre et en plus, ça me permettra de me réchauffer un peu. Il fait vraiment froid ce soir, j’ai peur de ne pas réussir à passer la nuit sous ces températures.
Dans la tête de Brigitte, ils se mêlent beaucoup de contradictions, accepter au risque de ne pas réussir à le faire sortir de chez elle. Mais, refuser et le laisser dans ce froid au risque d’y passer la contrarie. A ceci s’ajoute que la belle bourgeoise est un brin raciste.
Elle appelle l’ascenseur. L’homme se tient là, à côté d’elle, un peu voûté. Son état physique lui fait de la peine, il émane de lui une odeur abominable, mélange de transpiration, d’urine. L’ascenseur arrive et s’ouvre. Ils y montent, elle appuie sur le quatre. Les portes se referment et aussitôt, l’odeur envahit la cabine. Dans ce petit espace, l’odeur semble encore plus forte.
Enfin, arrivé à son étage, Muriel sort à la hâte de la cabine pour reprendre une bouffée d’air frais. Elle prend ses clefs et ouvre sa porte. Muriel, invite l’homme à pénétrer chez elle.
– Je vais vous préparer un petit repas chaud, asseyez vous là lui dit Brigitte en désignant un tabouret derrière le comptoir de sa cuisine ouverte. Elle n’arrive franchement pas à réaliser qu’elle a invité un SDF repoussant à rentrer dans son appartement si propre, si bien organisé. Qu’est-ce qu’il lui a pris ? Bon, elle va lui donner à manger et elle le mettra gentiment dehors.
– Tu as quelque chose à boire ? Une bière ou un coup de rouge ?
Brigitte sent que son ton a changé, mais bizarrement, elle ne s’en offusque pas. Elle dépose son manteau dans l’entrée et enlève son pull qu’elle jette sur le canapé du salon au passage. Ensuite, elle revient dans la cuisine et se penche derrière le comptoir pour sortir une bouteille de vin entamée. En la voyant, il remarque que son chemisier a un joli décolleté. – Eh bien, dis donc, je vois que vous êtes vraiment très belle  ? Sans le vouloir, elle rougit, mais ne dit rien. – Dis donc, tu as l’air d’avoir de beaux seins madame. Elle se redresse vite pour qu’il ne puisse plus voir son décolleté.
Elle se retourne dans la cuisine, pour préparer des pâtes à la bolognaise avec la viande hachée qu’il reste dans le frigo. En cuisinant, elle lui propose de laver ses vêtements où de les remplacer par ceux que son mari ne met plus. Effrayée, elle se rend compte de ce qu’elle vient de lui proposer. Ses vêtements ne seront jamais secs pour qu’il parte ce soir. Le repas est préparé, elle se retourne et voit en déposant son assiette sur le comptoir en faisant attention de ne pas lui remontrer son décolleté, qu’il a retiré ces vêtements et qu’il est nu avec juste un vieux slip.
Brigitte pose l’assiette garnie sur le comptoir. L’odeur qu’il dégage est horrible. Elle le regarde engloutir le contenu de l’assiette. Lorsqu’il a fini son repas, elle fait le tour du comptoir pour ramasser ses fringues au sol.
Il se lève à son arrivée devant lui. L’odeur qu’il dégage fait littéralement tourner la tête de la bourgeoise BCBG.
Elle regarde combien son slip est plein à craquer. Elle se dit que même avec trois fois celle de son mari, elle n’égalerait pas ce volume là ...
Au même moment, le SDF descend son vieux slip sale exposant à la vue de la bourgeoise une queue de belle taille tant en largeur qu’en longueur en semi érection
Brigitte a devant les yeux un gros sexe noir, comme elle n’en n’a jamais vu.
Le vieux Black ne lui laisse pas le temps de réfléchir, il appui ses mains sur les épaules de la belle bourgeoise pour la faire mettre à genoux, la bouche en face de sa queue odorante et lui ordonne de le sucer.
Elle tente de le repousser mais reçoit une gifle :
- Suce salope, lui répète-t-il.
Vaincue, elle porte à sa bouche la queue qui se durcit.
Elle est si grosse, qu’elle a du mal à faire pénétrer le gland dans sa bouche. La queue a un goût si déconcertant, qu’elle est sûre, qu’il ne s’est pas lavé depuis plusieurs semaines.
Elle ,la bourgeoise blanche bien propre entrain de sucer un vieux SDF noir dégueulasse. Elle salive beaucoup pour le laver. L’homme râle de plaisir, lui le SDF se fait pomper par une bourgeoise blanche de la haute.
Ça y est Brigitte a réussi à engloutir sa queue au fond de sa gorge, elle a son nez dans ses poils pubiens malodorants.
Il tire les pans de son chemisier vers le haut pour faciliter la mise à nu de ses seins. Il passe sa langue sur les deux tétons tendus.
- Comment t’appelles tu, madame ? Moi ? C’est Sam
- Brigitte.
Il la relève la déshabille prestement et la pousse vers la chambre .
Dans un moment de lucidité, Brigitte refuse d’aller dans la chambre conjugale. Voyant qu’elle résiste, il lui balance une grande claque sur la fesse droite. Son regard a changé. Ses yeux sont devenus noirs, il a un regard méchant et elle se sent prise au piège.
– Écoute-moi bien salope, tu vas faire tout ce que je te dis sinon, tu vas dérouiller.
Et là, il lui balance une autre claque monumentale sur la fesse. Tu as compris ?
Sa fesse est toute rouge, elle sent le feu de cette claque. Brigitte comprend qu’il est inutile de lui résister.
Elle fait un signe de la tête pour lui faire comprendre qu’elle est d’accord. A présent, en ...

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