Nous nous installons sur la couverture et nous dégustons ces délicieux plats préparés. Nous nous sommes mis en short torse nu tout simplement. Il fait bon dehors le soleil commence à se coucher, une fois le café pris nous allumons la lampe de camping gaz que j’avais amenée et nous passons un coup de fil à nos femmes respectives. Une fois fait nous nous rejoignons sur la couverture et discutons de chose et d’autre. Nous profitons du calme qui règne autour de nous. Cela fait un bien fou. Fred rompt le silence par une flatulence a faire tomber un martien. Nous partons dans un fou rire tous les deux et nous nous remémorons le film de la soupe aux choux avec DE FUNES. On a du mal à s ‘arrêter de rire, et cela nous fait mal aux abdos à force de rire. Le calme revient au bout d’une dizaine de minute. La nuit est tombée à présent, les moustiques font leur apparition et commencent à nous sucer quelques millilitres de sang. Heureusement j’ai tout prévu et je sors mon produit anti moustique de mon sac, j’en asperge Fred et il fait de même avec moi. Je lui étale le produit sur son dos, je descends sur ses hanches et je passe sous son short, je lui dit qu’il ne faudrait pas qu’il se fasse sucer par un moustique à cet endroit, C’est moi, le seul moustique qui peut le pomper à cet endroit, Fred se laisse faire et sourit. Il confirme mon exclusivité, j’en profite pour lui caresser ses fesses et je viens lui caresser son sexe, il n’a pas mis de slip non plus. A son tour il m’étale le produit anti moustique et comme moi il en profite pour me caresser, il va plus loin que moi et fait tomber mon short à terre. Après tout, ça ou rien c’est pareil. Fred enlève le sien aussi, nous nous enlaçons tendrement et nous nous caressons nos dos, nos fesses pendant que nos sexes s’entrecroisent. Je lui caresse ses pectoraux, je lui lèche les tétons, je les pince doucement, je les roule entre mes doigts, je l’embrasse dans le cou, sur chaque centimètre carré de sa peau, Fred s’abandonne doucement, il bande comme un âne, je le sens contre ma cuisse. Je fais comprendre a Fred de s’allonger. Je viens sur lui à mon tour, je descends sur son sexe tendu comme un string et je le gobe sans attendre. Faire une pipe sous la lune avec les grillons c’est du pur bonheur.
Je lui caresse ses bourses et je descends vers son petit trou. Aucune réaction de recul de la part de Fred, je récupère mon gel et je glisse une noisette avec mon doigt à l’intérieur de sa grotte. Fred écarte les cuisses pour me faciliter le passage. Je le prépare avec mes doigts et quand je le sens pret, détendu, je mets une capote et je me présente à l’entrée de sa grotte. Je force un peu au début et je sens Fred qui pousse dans l’autre sens pour que je m’enfonce en lui. Voilà j’y suis à présent, je vois Fred qui ferme les yeux à la lueur de la lampe à gaz. Je le sens bien, je commence à aller et venir en lui, il me prend les fesses pour que je m’enfonce à fond dans son cul. Il aime ça le bougre, il relève ses jambes et les pose sur mes épaules. Je le lime lentement et puis j’accélère, je vais jusqu’à faire claquer mes couilles sur ses fesses. Fred n’arrête pas de gémir de plaisir, je sors de Fred et je le fais se mettre à 4 pattes, je me repositionne et je le prends en levrette, je m’enfonce de nouveau en lui et je reprends mes va et vient. Il est bien ouvert à présent et je rentre et sors très facilement. Je sens que je vais jouir et je m’arrête, je me retire et j’enlève ma capote, à peine enlevée je jouis sur ses fesses. Fred se retourne et vient prendre ma queue dans sa bouche. Il me suce jusqu’à la dernière goutte et me fait mettre sur le ventre. Il vient s’allonger sur moi et se frotte son sexe contre ma raie. J’écarte les cuisses et Fred vient se placer sur la place offerte, il met une capote à son tour et un peu de gel et il me pénètre sans préparation. C’est un peu serré mais il arrive à rentrer et commence à me limer avec fougue, il vient m’embrasser dans le cou et me murmure qu’il a trop envie de moi, il me met des petits coups de bassin. Je n’avais jamais encore été pris allongé sur le ventre mais j’avoue que c’est trop bon. Il me mordille le cou, les épaules, il passe ses mains sous moi et me pelote mes pectoraux en me pinçant mes tétons. Il s’agrippe à moi comme un chien à une jambe et il accélère ses coups de bassin. Il est endurant le bougre c’est un amant exceptionnel, il me donne un dernier coup de rein et cette fois ne recule pas pour en balancer un deuxième, il pousse un cri rauque de plaisir et me dit qu’il a joui. Ah oui je ne l’aurai pas deviné dis donc. Comme à l’accoutumé il reste dans moi jusqu’à ce que son sexe dégonfle. Il se retire et vient s’allonger à coté de moi. Je me remets sur le dos à mon tour et nous contemplons les étoiles dans le ciel en repensant à ce que nous venons de faire.
Fred me dit que c’était trop bon, qu’il avait l’impression de flotter sur un nuage de bonheur. OuaouHH c’est gentil ça.
Nous nous essuyons avec mes lingettes fétiches et je me lève pour aller uriner parce qu’il a bien secoué ma vessie mon petit Fred. Nous rentrons sous la tente et nous nous allongeons sur nos matelas pneumatiques nous n’utilisons qu’un duvet et nous tombons tous les deux dans les bras de Morphée heureux.
Le jour se lève et les premiers rayons du soleil viennent nous réveiller. Je viens poser ma tete sur le torse de Fred, il me caresses mes cheveux enfin le peu qu’il me reste vu mon âge LOLL il soulève le duvet et me montre sa belle erection matinale. Il me dit « tu vois dans quel état tu me mets »je lui prends son sexe dans ma main et je le masturbe doucement, son sexe est encore un peu moite de sommeil mais dur comme du bois. Après ce quelques gestes masturbatoires Fred me dit «allez vient prendre ton petit dej » je comprends ce qu’il veut et je ne me fais pas prier pour lui sucer sa belle queue. Il me demande de lui approcher la mienne, je me place au dessus de lui et nous entamons un 69 endiablé. On se suce goulûment tous les deux jusqu’à la jouissance. Je lui jouis dans la bouche tout comme lui et nous avalons tous les deux notre jus bien chaud. je m’extirpe de cette tente de débauche et je m’étire en disant que cela allait etre une bonne journée vu comment elle avait commencé. Fred acquiesce ma remarque sans contestations.
Nous prenons notre petit déjeuner café, gâteaux et jus d’orange. Nous nous habillons, rangeons la tente, le matelas et tout le matos et nous voila reparti pour une deuxième randonnée. Au passage nous nous délestons de nos sacs dans ma voiture et n’emportons que le m ...

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