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Gangbang au pavillon de chasse (1ère suite

Publié par : melody le 05/10/2021

Régis s’adressa à Antoine :
« Vas- y, à toi l’honneur de passer le premier sur cette pute, tu es l’organisateur et c’est normal. Encules la bien et fais toi plaisir. Ne la ménage pas et prends ton pied. C’est du bonheur de se lâcher ainsi sur une salope ! » Sur ces mots d’encouragement, Antoine prit mon cul entre ses grandes mains dont les doigts fouettaient violemment les fesses à les faire rougir pour me mettre en position. Il enduisit copieusement ma raie et ma rondelle de crème chauffante, mes zones érogènes étaient chaudes. J’étais pressée d’en venir aux hostilités. Une fois que la grosse queue d’Antoine réussissait à forcer, les autres passeraient sans problème. Il me prit en levrette en me tenant par les épaules et s’enfonça profondément en m’imposant ses coups de butoirs. Coincée par les liens, je subissais les assauts de ce gros calibre pour me limer vigoureusement.
« Aller bouges ton cul comme ça, oui ! », il resta immobile, je m’activais ainsi en bougeant mes fesses sur son piston. Je commençais à jouir, mon bassin bougeait au rythme régulier de ses coups de bite. Cet homme me mettait des frissons. Emoustillée, je me donnais totalement à lui. Il honorait mon intimité avec vigueur et détermination. Je gémissais en alternance avec des petits cris témoignant de ma jouissance.
Il me faisait renifler à nouveau le poppers et me faisait boire un verre de Whiky pour me chauffer et me mettre en transe ne pensant qu’à me baiser. Les trois compères s’astiquaient la bite devant mes yeux, prêts à me prendre en levrette chacun leur tour, pendant que je sucerai les autres. José arriva.
« Viens te joindre à nous ! » lui proposa Antoine. Il était plus jeune et plus fougueux. José ne se fit pas prier pour venir vers nous, Il se déshabilla, le corps musclé et bien dessiné, type rugbyman à l’allure athlétique, nu comme un ver, la bite à la main. Rien à envier à ses collègues de baise, il est lui aussi bien pourvu par la nature.
Antoine m’enleva les liens qui m’emprisonnaient, Michel et José empoignèrent mes bras et chevilles pour me retourner sur le dos, Je ne sais plus qui a enlevé mon string mais j’en fut vite débarrassé. Michel étala encore du baume chauffant sur mes seins et dans ma raie. José se plaça au niveau de ma tête, sa pine juste au-dessus de ma bouche et retenait mes jambes bien écartées en tenant les talons de mes escarpins, Pliée en deux, mon cul bien ouvert, j’étais dans une position humiliante et inconfortable. La tête en arrière dans le vide, il me baisait ainsi la bouche, ses couilles pendantes et velues me chatouillaient les narines.
Les autres continuaient à me caresser les seins, à jouer avec mes tétons turgescents rendus sensibles par le baume chauffant. Je n’étais plus un être humain, mais j’étais devenue un objet sexuel. Faire sonner le grelot était leur objectif. Je me laissais faire comme une petite cochonne, me faire caresser entre des mains chaudes et expertes. J’en voulais encore, j’étais en extase. Je prenais les sexes de Michel et de José placés sur mon côté pour les masturber. Mes jambes entouraient et serraient maintenant la taille de Régis pour qu’il maintienne sa bite engouffrée au plus profond de mon ventre, mon dos ondulait de plaisir, des spasmes violents envahissaient mon corps. Il savait très bien se servir de sa bite ; c’était bon ! A mon insu, la caméra à la main, Michel prenait un gros plan de la queue de Régis perforant ma chatte.
Antoine était sur le côté, il continua de me pincer et tirer mes tétons d’une main et de se masturber avec l’autre. Mes tétons étaient durs et très sensibles au traitement que leur infligeait Antoine :
« Tu aimes ça hein petite lope ! » J’acquiesçai de la tête avec le sourire. Il précisa :
» Aller, donnes toi généreusement à notre ami, il va te faire ta fête ». Ses mots m’encourageaient. Sous le regard complice des deux autres qui ne perdaient pas une miette de la scène, José s’activa avec dextérité au plus profond de mon intimité. Je vibrais de tout mon corps. J’étais à la limite du délire.
Antoine vint se placer devant ma bouche et me fit sniffer à nouveau une bonne rasette de poppers. Il me força les lèvres :
« Bouffes ma bite pétasse ! » me dit-il. La grosseur de sa bite m’obligea à ouvrir totalement la bouche : sa queue élargissait mes lèvres.
José commençait à me labourer entre les fesses rougies par leurs fessées brutales, je miaulais comme une chatte, mes gémissements devenaient de plus en plus fréquents durant nos ébats. Je couinais de satisfaction, mon corps frémissant de spasmes était très réceptif à leurs assauts, le grelot sonnait, ils s’en aperçurent et continuaient chacun leur tour à me besogner avec des coups de bites plus rapides et plus profonds, ça me rendait fébrile. Leurs couilles cognaient sur mes fesses à chaque coup de reins.
« Elle est vraiment bonne cette pouf, que du bonheur ! » déclara Michel en regardant Antoine. Régis et José confirmèrent avec un signe de tête. J’étais folle et j’en redemandait. Quand une queue sortait de mon cul une autre vint la remplacer immédiatement et se fut la même chose avec ma bouche. Cela devenait très hard. L’idée pour ces pervers était de faire tinter le grelot continuellement, lorsque c’était le cas, ils s’en réjouissaient car c’était signe de performance et d’endurance pour ces mâles en rut. J’étais à tous moment embrochée par mes deux trous. Les deux autres en attendant, me caressaient le corps et me pétrissaient les seins en s’attardant sur les tétons sensibles qu’ils prenaient plaisir à titiller, pincer en les tirant. Heureuse, je me laissais faire. La pine de Michel était en berne,
« Aller ! remets-moi en forme » m’ordonna celui-ci, je l’aidais donc à reprendre toute sa vigueur en la masturbant tout en pelotant et en léchant ses couilles avec dextérité.
« Maintenant viens ici « commanda Régis. Il désigna avec son doigt la direction du canapé sur lequel il était assis. J’étais à genoux sur le sol entre ses jambes, ma bouche à la hauteur de son chibre qu’il plaqua contre son bas ventre et me présenta devant mes lèvres sa paire de couilles que je devais aussitôt lécher et gober en les aspirant avidement. Je remontais cette colonne : la titillant avec le bout de ma langue jusqu’au-dessous du gland.
« Mets-toi là, je vais te prendre en Levrette bien profonde et en douceur tout en matant tes fesses et en te prenant par les hanches, ensuite je te casserai le cul avec ma grosse bite ! « Affirma -t- il en me tirant par le bras. J’obtempérais sans hésiter. Régis se plaçait derrière moi en position, il présenta son bec à l’entrée de ma rondelle en levant ma jambe pour une pénétration plus aisée et s’enfonça en moi avec toute la longueur de sa hampe et recommença à me besogner avec énergie :
« Je vais te démonter ! » me dit-il.
« Tu me fais mal ! » lui répondis-je.
« Oui mais tu me supplieras de continuer tellement tu vas aimer. N’oublie pas que tu es ici pour nous satisfaire petite pute! Allonges-toi maintenant en levrette cuiller » Répliqua-t-il. Sans me demander mon avis, il continua sa besogne et pour me contrarier, il accentua ses vas et vient. Son dos ondulait au rythme de ses puissants coups de bite à la limite de la brutalité, je l’entendais gémir pris par un orgasme.
« Ha, ce cul tout chaud ! Quel bonheur ! » gémit-il, et il ajouta :
« J’aime la cambrure de ton dos quand je te tiens aux épaules ». Il s’allongé sur le dos, je vins m’empaler à califourchon sur ce phallus qui me remplissait la chatte, mon dos face à lui pour mon plus grand plaisir. Michel excité se masturbait et s’impatientait sur le côté du canapé. Finalement Régis lui laissa sa place.
« Agenouilles toi sur le canapé, écartes bien tes jambes ! » me dit-il. Michel présenta son gland à l’entrée de ma chatte annale puis poussa sa bite bien dure d’un coup de rein. Un cri strident s’échappa de ma bouche. A chaque vas-et-viens, ses couilles pesantes cognaient sur le grelot. Il alternait ses cadences de pénétration pour me surprendre à chaque fois qu’il voulait me défoncer vigoureusement. José s’était placé derrière le dossier du canapé, il leva ma tête par le menton, et m’imposa son membre qu’il introduisit entre mes lèvres. Je suçais cette queue avec goût et délectation. Michel était résistant et résigné à me faire jouir, c’était divin. Puis voyant l’extase m’envahir, il accélérait plus régulièrement ses coups de bite. Soudain il changea d’attitude en me niquant toujours avec la même ardeur, il m’administrait de violentes fessées. Ils continuaient de me besogner avec ardeur chacun leur tour.
Antoine décida une courte pause durant laquelle je devais me remaquiller en insistant sur le rouge à lèvres et le far à paupières.
Antoine me rappela et me fit mettre à genoux. Les ...

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