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GENEVE A NOUVEAU (QUART)

Publié par : pierre49590 le 13/04/2023

Dès le lendemain matin, à heure pétante, me voilà dans le couloir avec la chienne pour la promenade du matin, puis dans le hall d’entrée.
Mon beau Rahim s’y trouve, astiquant consciencieusement le bloc des boites aux lettres. Je ne fais pas de bruit afin de l’admirer en toute quiétude. C’est vraiment un mec magnifique. Un peu petit peut-être, quoique... Il est dans un bleu de travail bretelles avec un T-shirt blanc immaculé.
« Bonjour Rahim »
Il se relève, son visage s’éclairant toujours du même sourire. Il s’avance tout de suite vers moi le bras bien tendu pour une poignée de main. Je pense en moi-même : il craint que je lui fasse la bise.
« Bonjour Monsieur »
« On ne se tutoie plus Rahim? »
« Chut, pas ici, on ne sait jamais. Faut rester discrets. »
Je m’esclaffe. « Mais on est dans un véritable film d’espionnage, ici ! »
« Ne rigolez pas, faut faire attention. »
« Si vous voulez Rahim. Passée une bonne nuit ? Beaux rêves ? »
« Oui, excellente, merci. »
Tout en parlant, je le détaille de haut en bas. Je découvre avec surprise une protubérance du côté gauche de son pantalon mais cette fois-ci bien longue, tombant le long de sa jambe droite. Je me dis qu’il n’a pas dû mettre son caleçon pour qu’elle apparaisse comme ça ! Il se libère apparemment le gamin…
Je veux lui chopper directement le sexe par un geste en rigolant et en lui disant : « Mais tu n’as pas mis de caleçon ce matin ? »
D’un mouvement reflexe d’une surprenante rapidité, il m’évite en reculant d’un coup de rein en arrière.
« Vous êtes fous ? On peut nous voir ! »
Je pouffe encore en lui lançant : « Mais il n’y a personne à cette heure dans le couloir ! »
« On sait jamais ! Et ma femme peut nous voir ! »
« Mais elle n’est pas là ! »
D’un coup d’œil et d’un signe de tête discret vers l’arrière sans se retourner : « Elle peut nous apercevoir par la fenêtre de la loge ! »
Effectivement, j’avais oublié tout au bout du couloir la loge de concierge avec son rideau se soulevant au moindre bruit ou passage.
Je lui murmure pour me foutre un peu de lui : « Alors, tu n’as pas mis de slip de matin mon beau Rahim? »
Il me répond en rigolant mais sur un ton tout aussi bas : « j’ai voulu essayer pour faire comme toi. »
« Et alors ? »
« Ben alors, c’est pas désagréable comme sensation. Mais ma femme s’est foutue de moi et m’as dit que cela ne se faisait pas. Que des locataires pouvaient être choqués et que ce n’était vraiment pas le moment. »
« J’ai l’impression que chez toi ce qui se fait et ce qui ne se fait pas est une notion importante, non ? »
« Que veux-tu, on est formatés comme ça chez nous. »
« Et ton formatage te laisse un peu de temps libre ce matin pour un petit moment au local poubelles ? »
« Pas beaucoup de temps ce matin, beaucoup de travail. Un moment peut-être vers onze heures. »
« Ok, j’y serai. A plus. » Et je sors faire ma balade.
A heure dite, j’entre dans le local poubelle. Il m’y attend. Dès la porte fermée derrière nous, je le plaque au mur pour avaler sa bouche dans un long baiser mouillé et profond en lui palpant la bosse de son pantalon qui grossit immédiatement. Il me repousse gentiment au bout d’un moment et me dit à voix basse : « Il faut qu’on fasse gaffe. Ma femme peut débarquer ici ce matin. On va attendre que le minuteur s’éteigne. Comme ça on saura si quelqu’un arrive dans les sous-sols. »
J’attends donc calmement en admirant son beau visage. Il continue à me sourire gracieusement. Ce mec a un sourire greffé sur sa face, apparemment ! Puis enfin l’obscurité surgit.
Je me jette derechef immédiatement sur lui pour, à nouveau, l’embrasser voluptueusement. Son sexe est déjà bien dur. Je veux lui faire tomber les bretelles pour dégager son torse.
« Non, non, pas aujourd’hui, c’est trop risqué. »
Je me résous donc à déboutonner sa braguette à l’aveugle car ma langue est mêlée à le sienne. J’extirpe son chibre, tire ses couilles à l’extérieur et entame une douce et lente branlette.
Je cumule là deux jouissances : ce mec embrasse merveilleusement bien et sa bite chaude, je dirai, vibre presque dans mes mains. Quand je la sens vraiment au maximum, je quitte ses lèvres pour venir sur son gland déjà à moitié décalotté, pour le remettre en place et ainsi le faire jouer avec mes lèvres dans des va et vient que mon partenaire semble apprécier au plus au point, à l’écoute de son halètement. Il pose ses mains sur ma tête mais cette-fois-ci sans me la broyer mais plutôt pour me la caresser avec une douceur qui me surprend.
Une rai de lumière apparait sous la porte. Il me repousse violement, se reboutonne en vitesse et sors sa tête par l’entrebâillure.
« Ah, c’est vous Madame X !. Vous avez besoin de quelque chose ? »
J’entends : « Non, je viens déposer cela aux poubelles »
« Je vous en prie, donnez-moi ça, je vais l’y mettre. »
J’entends la femme le remercier et ses pas s’éloigner. Il me fait signe d’un doigt sur la bouche et va déposer le sac dans le container.
On attend comme deux gosses que la lumière s’éteigne à nouveau. Je me rejette alors sur sa braguette pour découvrir un sexe complètement ramolli. Il a dû avoir une ...

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