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Georges, un ami de Yann

Publié par : nicolas50 le 06/06/2023

Un jour, Yann me proposa un scénario un peu différent. Il me dit qu’il avait un ami qui venait passer quelques jours chez lui. Il lui avait parlé de moi. Son ami savait que Yann adorait que je le suce. Yann me demanda si j’acceptais de me faire enculer par son pote pendant qu’il me donnerait son engin à téter. Je ne pouvais qu’accepter ce programme réjouissant.
Comme convenu, j’arrivais en début de soirée. Yann vint m’ouvrir la porte, tandis que son ami, qui se prénommait Georges, était assis autour de la table du salon. Je m’installais avec eux et nous prîmes un verre. On parlait de choses et d’autres. Au bout du deuxième verre, Yann commença à parler cul et ostensiblement passa sa main sur sa queue et ses couilles. Il regarda Georges qui en fit de même. Yann me demanda alors si je pouvais passer sous la table. Ils en profitèrent pour laisser glisser leurs pantalons et branler leurs queues doucement. Je m’approchai de l’engin de Yann et entrepris de le sucer comme il l’aimait. Tous les deux continuaient à parler de leurs expériences de culs. Yann avait la queue dure comme du béton. J’entendis Georges qui souhaitait ressentir la chaleur de ma bouche sur sa queue. Celle-ci était encore plus grosse que celle de Yann, mais heureusement moins longue. Je coulissai sur son membre afin d’en avaler la majeure partie. Elle était déjà légèrement juteuse avec sa mouille qui perlait de son gland. Je travaillais de mon mieux sur cette jolie bite. Georges apprécia et dit à Yann :
« Tu avais raison. C’est une bonne suceuse qui aime la queue. Si son cul est aussi accueillant que sa bouche, on va s’éclater ».
« On va vérifier cela tout de suite ».
Nous allâmes dans la chambre où nous nous déshabillâmes rapidement. Yann se plaça en haut du lit en position assise, prit sa grosse pine dans la main et me demanda de venir le satisfaire. Je léchais alors sa sucette épaisse, tout en lui malaxant les couilles et lui titillant son anus. Placé ainsi en levrette, Georges ne resta pas longtemps inactif. Deux doigts enduits de gel s’introduisirent dans mon trou afin de préparer l’intromission de son bel outil. Il s’enfonça doucement jusqu’aux couilles. Que c’est bon d’être pris par les deux trous ! Le large mandrin de Georges commençait ses va-et-vient.
« Alors, est-ce que tu aimes ? », demanda Yann.
« Quel cul il a ce salaud ! Je vais te le ramoner. Nico, tu vas couiner salope ».
La sarabande était lancée. Yann me tenait la tête afin que ma bouche s’active sur son gros gland. Le rythme de Georges qui me défonçait littéralement le cul faisait que j’avais besoin d’être à quatre pattes pour résister à la violence de son assaut. Georges me traitait de sale pute qui aimait la bite. Il commença à me caresser la queue et mon excitation me fit exploser très rapidement. Georges accéléra la cadence voulant jouir à son tour. Yann me fit alors m’allonger sur le dos. Georges comprit ce qu’il attendait. Tous les deux commencèrent à astiquer leur queue devant mon visage.
« Ouvre ta bouche Nico », dit Yann.
Ils poussèrent rapidement des râles de jouissance en crachant leur foutre gluant dans ma direction. Yann vint se finir dans ma bouche et je me délectai de son nectar.
On avait tous bien joui et une petite pause s’imposait. Nous retournâmes vers le salon et Yann me demanda de venir l’aider pour chercher un plat dans la cuisine.
« Tu as aimé te faire prendre par Georges ? ».
« Oui, il est très actif ! ».
« Si tu as apprécié, je vais le lui dire car lui aussi a adoré te prendre le cul. Et ce que je ne t’avais pas dit, c’est qu’il récupère très vite et qu’il a toujours besoin de baiser. De mon côté, je ne suis qu’actif. Donc si tu n’es pas contre, tu pourrais profiter plusieurs fois de ses assauts ce soir ».
Il n’est pas courant de rencontrer un mec qui bande quasiment sur commande. Je donnai donc mon accord à Yann. Je retournai à table et pris une cigarette pour aller fumer en bas de l’appartement. Yann me proposa alors d’ouvrir la fenêtre dans la deuxième chambre et d’y aller fumer. Ce que je fis. Rien de tel qu’une bonne cigarette après des ébats sexuels. J’entendis la porte de la chambre s’ouvrir. Je vis Georges entrer et lui demanda s’il fumait aussi. Il me répondit que non, tout en me défaisant la ceinture et en descendant mon pantalon sur les chevilles.
« Yann m’a dit que tu avais aimé. Ce qui est normal car tu es une salope. Et moi, j’aime ton trou et j’ai encore envie de te limer ».
Le pantalon enlevé, Georges me dit de rester à la fenêtre pour fumer ma cigarette. Il sortit sa queue, la frotta sur mes fesses, mouilla mon cul et, sans crier gare, m’enfonça son large manche jusqu’à la garde.
« Nico, j’adore baiser les culs poilus comme le tien ».
Sa barre à mine plus dure que jamais, je sentais par son manche brûlant qu’il aimait bien mon cul. J’essayais de fumer ma cigarette tout en étant ramoné par son gros cigare.
« Tu aimes, espèce de pute ? Tu sens ma grosse teub ? Tu es vraiment une chiennasse. Dis-le ».
Ces mots m’excitaient. Et ses deux mains sur mes hanches qui me maintenaient fermement pendant que son manche me fourrait. Mon cul était en feu.
« Baise-moi comme une chienne ! J’aime que ta grosse bite me remplisse et me défonce le cul ».
« Je vais t’élargir ton trou ce soir traînée ».
Il entrait et sortait entièrement sa queue. D’un seul coup, je le sentis enfoncer des doigts, deux, puis trois. Il les faisait tourner dans mon anus. Il remit alors sa queue et accéléra le baisage. Cela m’a semblé durer une éternité. Je m’accrochai au rebord de la fenêtre pendant que mon cul subissait les assauts de cet étalon. Il s’agrippa alors à moi pour jouir dans mon cul qui n’en pouvait plus. Il continua encore de bouger en moi doucement, quand Yann ouvrit la porte et nous demanda si nous étions prêts. Georges lui répondit que nous arrivions.
Je retournai alors à table avec Georges. Yann avec un sourire aux lèvres nous dit : « Je vois que vous n’avez pas perdu de temps ». Georges lui fit un clin d’œil et lui répondit qu’il adorait me bourrer le cul. Le repas continua dans une très bonne ambiance agrémentée d’histoires de culs en tous genres. Le dessert terminé, je me levai pour débarrasser la table. A mon retour, Georges ne semblait plus là. Je vis Yann qui semblait parler tout seul : « Pompe-la moi Georges ». Celui-ci avait pris la place que j’occupais tout à l’heure et s’activait comme un mort de faim sur le chibre hors norme de Yann. Après quelques minutes où je suis resté debout les observer en action, Yann nous fit aller dans sa chambre. Georges bandait encore comme un âne. Il me fit m’allonger sur le côté et, placé derrière mon dos, m’enfonça de nouveau son manche chaud jusqu’aux couilles. Yann prit la même position derrière Georges et l’encula sans ménagement. C’est Yann qui donnait la cadence. Les coups de queue qu’il administrait à Georges se répercutaient sur le membre qui emplissait mon cul. Je n’avais jamais connu cette expérience. Que c’était fabuleux de sentir par l’intermédiaire de la queue de Georges les assauts que Yann lui faisait subir. Georges était si excité que je sentais sa grosse queue gonfler de plaisir. Il s’accrochait à moi en me caressant les tétons. Pendant plus de quinze minutes, nous étions imbriqués tous les trois. J’entendis alors le souffle de Yann s’accélérer et d’un coup il cria en se raidissant dans le cul de Georges qui, lui-même, tendit sa pine et jouit en moi. Nous ...

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