Dès mes 16 ans, lors de mon périple de job d’été au ramassage des fruits dans le sud, j’ai été dépucelé par une super cougar de 40 ans qui aime baiser et se faire baiser. Elle a vite compris que j’étais puceau. J’ai beaucoup appris avec elle sur les points sensibles du corps féminin et masculin Comment donner du plaisir et en prendre. Je ne sais combien de fois elle a joui, moi trois fois. , Une nuit que je n’ai toujours pas oubliée. Je ne vous dis pas le lendemain matin !!!!!
Deux jours plus tard, j’ai été dépucelé du cul par mon bel arboriculteur. Je vous l’ai peut-être raconté sinon ce sera pour une autre fois. Encore une fois une des aventures que l’on n’oublie pas.
Avant ces deux premières aventures, des besoins comme tout ado bien sur des branlettes en solitaire, ou collective dans les vestiaires après les matchs ou entre copain lors de nos sorties.
Je ne suis ni un mannequin, ni un monstre mais à force de me l’entendre dire je sais que je suis bien cambré, une queue de 14/5. J’ai de tout temps était porté sur le sexe, j’aime et ne suis jamais rassasié et j’assume ma bi sexualité, toute les sexualités depuis longtemps.
Je vais vous citer une de mes aventures qui s’est passé lorsque j’avais vingt ans.
Je faisais un apprentissage dans la maintenance de machine-outil. Pour mon premier déplacement ; je pars avec Gilbert, un gars très réputé pour ces compétences. Gaillard, la cinquantaine bien bâti, bien entretenu sûr de lui.
Nous sommes partir le dimanche soir vers 17 heures pour rejoindre une auberge. Les entretiens devaient commencer à 5h30 pour éviter de trop interrompre les chaines d’usinage. Cette usine était à quatre heures de route du siège. Gilbert m’avait proposé de prendre une chambre à deux pour se faire un peu de sous. Sur le trajet, j’ai bien sommeillé car la veille j’avais fait la bringue jusqu’au matin. Gilbert s’est arrêté plusieurs fois pour pisser et téléphoner (il n’y avait pas de portable à l’époque). Il souhaitait que nous parlions de temps en temps pour ne pas s’endormir bien sur les sujets de conversation sur le sport lui très rugby et de cul.
On arrive à l’auberge assez tardivement et la patronne que connaissait bien Gilbert, nous demande de manger avant de prendre notre chambre. Une fois fini le repas on monte. Une chambre deux lits simple, très propre une petite salle de bain, toilette, très exigu. Je dépose mon sac et dit à Gilbert « je prends une douche et je me mets au pieu » Il acquiesce « J’en prendrai une quand tu as fini ». La douche était en face des lits. Je prends ma douche et comme chez moi je ne ferme pas la porte à clef Gilbert en profite pour déposer ces affaires de toilettes. Je sors, m’essuie, enfile un slip et un tee shirt et me met sur le lit avec un journal « l’équipe ». Gilbert prends ma place, laisse la porte entièrement ouverte et sort pour s’essuyer. Il m’adresse la parole pour me dire de bien mettre le réveil ce qui me fait plier le journal et la face à moi : je vois mon Gilbert complètement à poils avec une bite et des couilles comme je n’ai jamais vu. Mon regard reste figé sur tous ces attributs Pour la première fois, je vois un sourire sur son visage et il me dit tout en prenant son sexe en main
« Tu n’en a jamais vu d’aussi grosse hein ? » je lui réponds que
- « non, comment tu fais pour baiser ? »
« Pas de problème certaine femme se laisse faire ou alors je passe souvent dans de beaux culs comme le tien. Je rougis et lui dit
« Oh faut pas rêver mec ». Puis il s’approche de moi et me dit
- « j’ai reluqué ton cul depuis un bon moment et sous la douche, tu l’as bien massé avec le gant, ne fait pas semblant tu m’as excité »
Le salaud il m’avait bien reluqué sous la douche et j’avais rien vu. Tout en parlant, il s’approchait de moi puis passa sa main pourtant bien rugueuse avec tendresse sur mon torse et comme je ne résistais pas il descendit jusqu’à ma bite caché sous les draps elle était en érection. Il me massa la queue et me dit
- tu aimes çà mon gars moi aussi
Sur ces mots, je retirais mes draps et j’attrapai cette queue énorme d’une main et de l’autre je massais ces couilles. Je découvrais ce que c’était qu’une vraie paire de couilles. Petit à petit, il me travaillait les miennes puis tout doucement avec une douceur, il descend un doigt vers ma rondelle en fait le tour pour me masser
- Je vois que tu réagis bien, allez tournes-toi sur le dos tu vas avoir droit à un bon cuni
J’étais dans un tel état que ces demandes étaient tous ce que j’aspirais. Il me tire vers le bout du lit je me retourne et cabre bien mon cul. A genou il commence à me lécher la rosette avec une langue d’enfer ; c’est là que j’ai commencé à gémir, lui ajoutait des pressions des doigts.
Je me suis retenu car je sentais une montée de sève. Il le comprit, il stoppa à mon grand regret puis revenant vers mon visage, il me présenta sa queue à sucer. (Je serai plus tard qu’il faisant 23-24 cm de long sur 6 cm de large. Beaucoup de gars vous disent qu’ils font plus mais moi à part deux bites en même temps, des gods, des mains, je n’ai pas pris plus gros dans ma carrière de baiseur). Je commençais par faire le tour de ce gland bien ouvert avec ma langue puis ma bouche entière Il commença à gémir et me parler un peu cru lorsque bien prise dans ma bouche je travaillais avec ma bouche son frein. J’ai essayé de lui faire une gorge profonde mais peine perdu ca queue était trop longue Il bandait dur et moi je m’étouffais, Je m’arrêtai pour respirer mais je ne lâcher pas ce sexe et ces couilles de mes mains, je le branlai doucement il était de plus en plus hard dans ces propos, je me suis aventurer sur sa rondelle avec un doigt ce qui me value qu’il prenne position pour se faire bouffer le cul un vrai régal de le voir aussi existait, lui en profité pour me branler doucement mais avec vigueur. Losque je lui enfilé un deuxièmes doigt il me dit stop je vais te préparer retourne toi. Aucune résistance, j’étais chaud bien que quelque peu effrayé par cette d ...

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