Après notre dîner en ville très excitant où nous avons partagé beaucoup de choses avec une grande complicité et beaucoup de sensualité, nous ne nous somme pas vu de quelques jours. Et cela me manque. Elle s’appelle Geneviève et veux bien que je l’appelle ainsi. Je prends la décision d’aller la voir au magasin. Quand elle me voit, je la sens gênée. Elle m’invite à venir la voir dans son bureau et ferme la porte. Elle se détend quand la porte est fermée.
-« Désolée, je ne voulais pas te fâcher mais tu m’as troublée et je ne voulais pas montrer mon trouble devant ma vendeuse et les clientes. »
-« C’est moi qui suis désolé, j’aurais du te prévenir mais je n’ai as ton numéro de téléphone et j’avais tant envie de te revoir… »
Elle s’approche de moi, prends ma main, la passe sous sa jupe pour que je la caresse. Elle n’a pas de culotte et elle est mouillée. Elle se recule un peu, s’assied sur le bureau et me dis :
-« Lèche moi »
Je passe ma tête sous la jupe et je m’exécute, une fois encore, elle ne met pas longtemps à jouir.
Elle se redresse
-« Merci »me dit-elle en m’embrassant longuement sur la bouche.
- « Tiens, prends cela » elle ajoute en me tendant un petit paquet. « C’est pour toi, tu les mettra pour notre prochain rendez vous, jeudi après midi s’il te plait. Viens à la maison, j’aurais une surprise pour toi. »

Pour me rendre à ce rendez vous, j’ai bien pris soin de porter sous mon costume les sous-vêtements qu’elle m’a donné l’autre jour, une ceinture porte jarretelles en satin imprimé de fleurs vertes et jaunes, un petit bustier assortit au porte jarretelles et des bas de soie beige.
Quand j’arrive, elle m’ouvre la porte et je la sens comme un peu distante. Elle est vêtue très strict, tailleur chanel en laine grise, très classe,, chemisier en soie écrue, comme d‘habitude, hauts talons et bas transparents. Juste une serrement de main et une léger baiser. Elle m’aide à me débarrasser de mon manteau et de mon echarpe et les accroche à une patère dans le vestibule, à coté d’un magnifique manteau de fourrure. Au balancement de sa poitrine dans son chemisier, je comprends qu’elle ne porte pas de soutien gorge. Cela me plait.
Elle me fait directement entrer dans le salon où est déjà installée une dame, un peu plus âgée, confortablement assise dans le canapé, très bien mise. Jupe plissée en taffetas, blouse bouffante en soie mauve avec jabot, chaussures vernies à talons hauts. Je suis un peu surpris et inquiet mais je ne dis rien.
Elle fait des présentations minimales, juste les prénoms et, sans autre transition, elle se tourne vers moi et m’ordonne d’une voix sèche:
-« Enlève ta veste et ton pantalon ».
Je suis impressionné par le ton avec lequel elle donne l’ordre. Mais comme elle a pris complétement l’ascendant sur moi après nos 2 premières rencontres je n’ose rien dire. J’ai un peu honte mais je me déshabille maladroitement comme elle me le demande. Et me voilà debout, au milieu du salon, cravaté et cinglé dans mon gilet de satin pour le haut, et seulement des bas et le porte jarretelles en bas, le cul et la bite à l’air car nien sur jen’avais pas mis de culotte ou de calecon ouisuqe ce n’était pas dans le paquet)…
J’ai une légère bandaison. La dame inconnue, qui s’appele Lucie, n’a toujours rien dit mais à l’air d’apprécier. Geneviève aussi. Lucie ne parle pas mais remonte doucement sa jupe et dévoile un sexe rasé magnifié par un superbe porte-jarretelles, satin mauve comme sa blouse et des bas gris souris.

-« Va lécher mon amie » ordonne encore Geneviève.
Je m’agenouille et me mets à la lécher. D’abord de petits coups de langues, puis je l’introduit entre ses lèvres et remonte jusqu’à son clitoris qui est déjà bombé. J’y vais plus fort, introduisant ma langue dans son con au plus profond que je peux. C’est très agréable. La dame à l’air d’apprécier, elle écarte largement ses cuisses d’abord puis les referme fermement sur ma tête pendant que je continue mes succions et léchouilles. D’une main, je commence à caresser son ventre un peu boudiné dans la soie de sa blouse, ca m’excite et je remonte plus haut vers sa poitrine. Je m’aperçois alors qu’elle a déjà déboutonné sa blouse et qu’elle caresse ses seins a travers le tissus du soutien gorge. J’en profite pour lui pincer les tétons qui sont bien durs et dressés, elle semble apprécier mais repousse ma main :
-« Concentrez vous sur ma chatte, je m’occupe des seins ». Ce sont ses premières paroles dites d’un voix sensuelle et autoritaire qui me font retire a main.
Etant quasiment à quatre pattes, la tête entre les jambes de Lucie, Geneviève à tout le loisir de s’occuper de mon anus. Elle s’y prend comme la dernière fois. D’abord un doigt, puis deux, beaucoup de gel et elle introduit le godemiché. La dame est longue à jouir mais je la sens monter peu à peu, son con bave et j‘aspire tout au fur à mesure, ses jambes m’enserrent la tête avec des spasmes de plus en plus forts et rapproché, j’ai l’impression d’étouffer.
De l’autre côté, par contre, je ne sens plus mon cul, le vibro est à fond et Geneviève l’enfonce au maximum. Quand enfin la Lucie se libère dans de petits cris en serrant encore plus, si c’est possible, ses cuisses autour de ma tête. Son orgasme est long et je l’accompagne de mon mieux avec ma bouche. A ce moment là, Geneviève commence à me branler, elle le fait vigoureusement, en me serrant les couilles de son autre main et tout en gardant le godemichet bien enfoncé en appuyant avec son pubis sur mes fesses, jusqu‘à ce que je jouisse. L’orgasme est fort. Je suis projeté dans les cuisses de Lucie qui s’en amuse. J’éjacule sur ses bas et sur le parquet. Délicieux.
Nous restons immobile un instant dans cette positon.

C’est Geneviève qui rompt le silence la première en se relevant et en me donnant quelques tapes appuyées sur les fesses.
-« Bien, il faut nettoyer maintenant » me chuchote telle à l’oreille
Je m’occupe d’abord de la dame en léchant bien son sexe, son ventre, le haut des cuisses, je prends mon temps. J’ai aussi éjaculé sur ses mollets et salit ses bas, je lèche ses bas sur toute la jambe même les endroits où il n’y pas de sperme. C’est si doux le contact des lèvres et de la langue sur la soie. De plus ses jambes sont chaudes et sentent bon….,
-« Il faut nettoyer le parquet ...

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