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Il me fait faire le trottoir et j'ai de la chance

Publié par : alinelle le 29/11/2021


Mon déménageur est en train d’alourdir son emprise. Alors que je continue de mener une existence tout à fait normale de travailleur de bureau, il exige, sans que je puisse lui résister, de faire vivre Aline dès que le domicile reprend ses droits.

Je pourrais facilement mentir, mais je ne peux pas. Sitôt rentrée, je ne suis plus qu’elle. L’armoire d’Aline s’ouvre, avec ses tiroirs de dessous et ses jupes et robes alignées, ses hauts bien pendus. Dans la salle de bains, une autre petite armoirette est réservée à la beauté. Environ une heure après mon arrivée, je suis, en général, prête. Comme si je devais sortir, mais bien sûr, je ne sors pas, en tout cas jamais près de chez moi.

Lui ne vient jamais, prenant le risque de voir mes besoins sexuels me diriger vers un autre. Comme mon récent voyage vers Paris et la Bretagne (voir l’histoire précédente) l’a montré, il n’est pas jaloux, et d’ailleurs il le dit : « baise avec qui tu veux ! » Tout juste un soir, est-il passé en vitesse, histoire de me basculer sur le canapé, m’ouvrir les cuisses en relevant ma jupe, m’introduire sans ménagement sa trique et finir par libérer sa semence au plus profond de moi. Trente minutes, apéritif à suivre compris, que je lui ai servi en bonne femelle soumise, son sperme coulant encore le long de mes cuisses. J’ai l’impression d’être la maîtresse toujours prête d’un homme qui n’est jamais là, mais c’est si bon !

Je ne peux pas changer de genre publiquement. Il le regrette mais comprend. Du coup, il veut que je sois très femelle lorsque nous sommes ailleurs. Il y a quelques jours, pour voir, il a voulu faire de moi « la femelle ultime » selon lui, celle qui offre son corps. Enfin, offre…

A la faveur d’un nouveau déménagement, il m’emmène dans son camion vers Lyon, habillée très sexy comme il me l’avait demandé. Pas loin donc. Son point de chute est à Saint-Priest, il me largue près d’un arrêt de bus, non sans m’avoir ordonné de lui remettre ma carte de crédit. Pas pour s’en servir, mais pour être sûr que je ne contournerai pas ses ordres en passant au distributeur. Car la consigne est claire : « Va sur les quais, ou où tu voudras, fais la pute, je veux que tu reviennes avec 200 € minimum. Ils seront pour toi bien sûr. Tu as quatre heures, histoire que je termine ce que j’ai à faire ».

Je suis terrifiée. Je connais très peu Lyon, j’ai peur de me retrouver dans un sac d’embrouilles avec des « proxos ». Alors, ni une ni deux, dans le tram, je pianote et je trouve assez facilement, sur un site, un homme qui fait comprendre qu’il serait prêt à rémunérer une trav. Coup de chance, il est en direct, il répond, donne un point de rendez-vous dans le Vieux-Lyon. Pour y arriver, je dois, sur la fin, marcher sur au moins 300 mètres, il y a du monde. J’ai honte, j’ai l’impression qu’on me regarde pour ce que je suis, une prostituée.

Arrivée au point de rendez-vous, personne. Je suis presque rassurée lorsque mon portable vibre. C’est lui, toujours sur le site. En fait, il m’observe depuis une fenêtre, au troisième étage à deux maisons de là. Il me donne le digicode et je prends l’escalier, de plus en plus stressée. Lorsqu’il m’ouvre, je vois un mec plutôt mignon, la quarantaine, bien bâti. Il m’accueille poliment et me fait entrer. « Bonjour, Aline, bonjour, Jacques, si vous voulez vous asseoir… » Puis, tout de suite : « avant toute chose, laissez-moi vous donner ceci », une enveloppe qu’il pose sur mon sac. Je la range. « Vous ne vérifiez pas ? » Horriblement gênée, je lui avoue que c’est une première pour moi, que j’ai reçu des ordres, que je n’ai pas l’habitude…

Son sourire s’élargit, son regard s’allume… « Tout ce que j’aime, une débutante… » IL prend ma main et la pose directement sur son pantalon. « Tu dois le sentir que j’aime ça, les débutantes, non ? » Effectivement, il grossit vite dans sa prison de tissu et je ne peux m’empêcher de crisper mes doigts sur sa virilité, mais ses mains pèsent sur mes épaules et me forcent à m’agenouiller. Les miennes ne peuvent que s’attaquer à sa ceinture que je défais avant de baisser le zip. Il n’a pas de slip ! Sa queue jaillit, déjà dressée, devant mon visage ! Et à partir de là, c’est un décalage complet entre les paroles et les actes…

« Montre-moi que tu es une bonne pouffe ! », ordonne-t-il. Je m’attends à ce que les prochaines heures soient difficiles, mais alors que je commence à m’exécuter et à promener ma langue sur sa bite, il se montre d’une extraordinaire douceur, caressant ma nuque, mes épaules maintenant nues pendant que je l’engoule. Croyant que tout va se gâter, je le suce avec application, pour vite le faire jouir et qu’il me renvoie avant que ça tourne mal.

Mais non, il reste agréable dans ses gestes, attentionné presque, alors que de sa bouche sortent des horreurs : « mais quelle traînée tu fais, saloooope, tu dois en bouffer des kilomètres de bite ». Lorsqu’il me relève et me pousse vers le canapé-lit, je crois ma dernière heure arrivée lorsqu’il brandit une cravache, mais il se borne à m’en caresser la poitrine, ce qui a le don de me faire frémir… « Prends ça poufiasse ! » s’écrie-t-il comme s’il me frappait, tout en me titillant le ...

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