BON ANNIVERSAIRE !
 
Cette fiction décrit ce que la rumeur raconte souvent : qu’il “s’en passait” sur les bateaux... en un autre temps. Il va de soi que le consentement est une obligation.
Le Santa-Fé-Cequilteplait est un bateau de pêche. L’équipage se compose d’un Capitaine, Henri Palto, d’un Second, Éric Lani, de trois autres marins, Jacques Labranche, Georges Lemuir, Emmanuel Delfond et d’un... mousse, Pierre Narette, qui va fêter ses vingt-deux ans.
— Alors ? C’est l’anniversaire du petit, dit rigolard, le Second à l’adresse de son Capitaine.
— Ouaip ! Y va êt’temps qu’il passe à la casserole.
— Mmmmmmh, Éric Latruffe se frotte les mains... il a un p’tit cul affriolant.
— Qui ça, demande étonné l’un des marins.
— Le mousse, Jacques... le mousse !
— Pour sûr... mais moi je vise plutôt sa p’tite gueule. J’y mettrais bien profond mon chibre.
— On se le fait à tour de rôle ou ensemble ? s’enquiert le Second.
— Ensemble ! rétorque d’emblée le Capitaine.
Les deux autres marins rentrent dans la cabine, après s’être occupé des filets à réparer.
— Quoi ensemble, ‘pitaine ?
— La p’tite mousse...
— Chouette !
— Enfin... il était temps, dit Emmanuel en passant sa main sur la bosse déjà formée de son pantalon.
***
Le gâteau est sur la table, au centre, il est tard, la journée de travail est finie... c’est le moment de fêter l’anniversaire.
— Ferme les yeux, petit... ton gâteau arrive... tu vas pouvoir souffler sur les bougies, rit le Capitaine.
— Ça pour sûr, renchérit Georges, l’un des marins.
Le capitaine se lève et lui met un bandeau noir sur les yeux.
— Interdit de le retirer... sinon, on t’fout à la baille ! Compris ?
Le jeune Pierre, bien qu’étonné, se laisse faire. Il trouve même le jeu amusant.
Le Capitaine sort alors sa queue.
— Ouvre la bouche !
Le mousse obéit, pensant qu’on va lui faire goûter le gâteau. Mais au lieu de ça, il reçoit la bite, tandis que le Capitaine lui prend la tête.
— Tiens, goûte-moi ça.
Le jeune mousse, d’abord surpris, essaye de se dégager. Mais voyant qu’il n’est pas de taille... il se laisse faire.
Pendant ce temps, Jacques, l’un des marins, s’est mis derrière la chaise du mousse, qui suce tant bien que mal, et lui ayant ouvert la chemise, commence à lui caresser les tétons.
— Putain ! Il a des tétons de femelle, le petit.
Jacques, allant plus loin, les pince de plus en plus fort, faisant couiner Pierre.
— C’est ça... couine donc !
Le marin, n’y tenant plus, retire sa chaise et baisse le pantalon du mousse.
— Je vais te mettre une bonne bite... tu vas voir c’que c’est un mâle !
Et sans plus de “gentillesse”, Jacques l’encule d’un grand coup sec.
Ne s’attendant pas à cette douleur dans son intimité, il manque de mordre la queue du Capitaine.
Ce dernier, ayant presque senti les dents, lui assène une vigoureuse claque.
— Eh ! M’mords pas.
Prit d’un côté comme de l’autre, il n’en peut mais.
— Sacré bordel de merde, j’vais éjaculer moi, crie le Capitaine, en foutant la gorge de Pierre.
Ce qu’il se passa quelques secondes plus tard.
Il se retire, satisfait.
— Allez, Éric... j’te laisse la place.
Le Second, déjà la bite à la main, enfourne directement la bouche du mousse.
— Et suce-moi bien... la bougie !
La répartie salace les fait tous rire.
Jacques profite toujours du petit trou, désormais déniaisé, en allant et venant à qui mieux-mieux.
— Délicieux ce cul ! J’m’en lasse pas !
— Ouaip, mais faudrait un peu penser aux autres, camarade !
— Okay, okay, Emmanuel... tiens... j’te la laisse, j’me finirai dans sa gueule.
Faisant ce qu’il dit, il sort du trou, et l’inspecte, par curiosité.
— Dis-donc... elle mouille la mousse !
— Tu m’étonnes ! Avec ce que tu lui as mis, rit le Capitaine, en buvant un verre de gnôle.
— Allez ! Laisse-moi la place, Jacques.
Illico, Emmanuel plonge son sexe dans le trou défloré.
— Ooooh qu’c’est bon !
Il en profite pour le fesser un peu.
— Allez la pouliche... remue du cul, que tu m’excites  ...

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