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immersion en bourgeoise

Publié par : bianca le 29/01/2022

Peu de temps après cet épisode de dépravation sur le parking, bien qu’ayant été mise à rude épreuve par mes « clients ». Après cet épisode, j’ai rencontrés d’autres hommes, le plus souvent chez eux.
Mes désirs, cependant étant de plus en plus exacerbés, je pris donc contact avec le mâle Alpha. L’entrée en matière est classique avec un rudoiement vocal qui est devenu une habitude à présent. Après avoir échangé un petit peu et notamment sur mes talents de pute de parking, il m’indique sa disponibilité pour me recevoir et m’indique de prendre deux tenues complètes et mes accessoires de beauté, une de mon choix avec laquelle j’arriverai chez lui, et l’autre composée de bottes en vinyle rouge, bas résilles mon ensemble string soutien-gorge et porte jarretelle en vinyle rouge, ma mini-jupe et ma veste vinyle rouge Catanzaro, ma perruque longue de blonde ravageuse. Au vu de la tenue demandée, je me dis que je serais tout sauf discrète s’il me sort.
Pour ma tenue libre, je m’interroge, je suis toujours habillée comme la dernière des trainées. Je décide donc de prendre le contrepied. Je prends de jolies sandales à talons aiguilles avec une légère plateforme j’agrémente ceci avec une paire de bas Nylons couleur Nude et un porte-jarretelles noir Cervin. Un joli string et soutien-gorge en satin et dentelle noir également. Pour la jupe, mon dévolu se porte sur une jupe tailleur fendue rouge vif satinée avec une ceinture épaisse a grosse boucle. En haut, un chemisier classe taupe en satin avec des petites épaulettes et un ruban pour attacher à la taille, je complète avec la veste assortie au tailleur. Pour ma crinière, j’opte pour une longue chevelure rousse avec des anglaises pour parfaire mon côté glamour. J’opte pour un maquillage léger sur les yeux mais que je complète de long faux cils en revanche, ma bouche est peinte avec un rouge vif et outrageux. Me voilà prête en bourgeoise classe et glamour.
Il est temps d’y aller, une fois devant chez lui, je me gare dans la cour, je m’extirpe de ma voiture tant bien que mal, légèrement engoncée dans ma tenue très ajustée. Je prends mes affaires et je sonne à sa porte. J’entends son chier aboyer et lui arriver d’un pas lourd.
La porte s’ouvre et je lis la surprise sur son visage, cette expression laisse vite place à un sourire plutôt moqueur et pervers. Il me dit doucement « alors comme ça on se prend pour une bourgeoise de la haute ? Et bien je vais te montrer ce que je leur réserve à ces petites salopes arrogantes. » Il me prend fermement par le bras et me fait bouscule à l’intérieur. Mes talons hauts me font vaciller il me traine dans la cuisine et me scrute de bas en haut en me demandant si j’ai bien respecté toutes ses demandes. Je lui montre ma deuxième tenue, tous mes accessoires et mon maquillage, il me flatte la croupe à travers ma jupe et me traîne dans le salon.
Il se plante droit devant moi me dit froidement « alors la bourgeoise, on est venue se faire souiller par le bas peuple ? » Sur ce, il se racle la gorge profondément, j’assiste impuissante à la scène perchée sur mes talons, le coup part, je sens le mollard me percuter en pleine face, il est gros et visqueux, il coule le long de ma joue, sur mes lèvres, mon menton et tache mon beau chemisier et ma veste. Il éclate de rire, et se délecte de ma stupéfaction et de mon air outré engoncée dans mon tailleur.
D’un geste, il me saisit par le bras et me fait agenouiller, je m’attends à ce qu’il se dégrafe et me fasse goûter à son chibre comme il en a l’habitude, mais surprise, il enlève son pantalon, se tourne, écarte ses fesses me prends par la tête et me fourre littéralement le visage dans son cul. Je m’agite, j’essaye de garder mon équilibre et j’entends « C’est bien ma bourgeoise, on va inverser les rôles, c’est toi qui va me lécher le cul à présent, lèche bien partout et va bien au fond » Je me retrouve donc avec le visage écrasé par son cul avec ma langue au fond de son cul, je me dis que la bourgeoise, ça va être un choix de tenue très humiliant pour moi.
Je continue mon office, je lèche, je suce j’aspire, selon ses ordres. Pendant un long moment, je m’applique à être une bonne lèche cul pour ne pas m’attirer ses foudres. Une fois le supplice terminé, il me félicite pour mon œuvre, il se relève, je suis encore à ses pieds, j’entends le deuxième coup de semonce. Le raclement est plus profond, je vais pour détourner mon visage, il me tire par les cheveux, mets agenouillée dans sa trajectoire, je me débat, j’ai les yeux et la bouche ouverte. Le crachat s’écrase sur mon visage, un peu dans ma bouche, mes cheveux et mes habits. Il ne m’a pas loupé sur ce coup là.
Je saisis mon sac à main, pour prendre un mouchoir et me nettoyer, mais le temps de l’action, en un éclair, il me repousse contre l’accoudoir du canapé, il a sorti son chibre qui est bandé très dur, manifestement, ça l’excite les bourgeoises guindées. Il me fourre d’un grand coup sa bite dans la bouche au plus profond qu’il lui est permis d’aller, il grommelle de manière sévère « Moi les bourgeoises je leur encule la bouche, je les souille et je me torche avec ».
Son chibre est au fond de ma gorge, je hoquète et tousse sous la pression de celui-ci, ce qui me fait saliver plus que la normale. Il se met alors à faire de grands allez retour entre mes lèvres, à chaque coup de boutoir, ma tête se cogne et se bloque contre l’accoudoir ce qui lui permet de forcer correctement ma gorge, il cogne contre ma luette et montre le bout de son gland à l’orée de mon œsophage. Je déglutis tant bien que mal, sans pouvoir avaler ce trop-plein de salive. D’un côté cela me permet de lubrifier ma gorge et d’encaisser la pénétration dévastatrice de sa queue.
Je sens maintenant à chaque aller et retour la bave qui coule l long de a veste et de mon chemisier, je regarde mon burineur, il continue ses mouvements en me tançant « Voilà poufiasse, ça sers à ça la bouche d’une bourgeoise, d’habitude vous passez votre temps à baver sur les autres, je vais te le faire mettre en pratique ». Il sort sa bite de mon fourreau buccal, se retire. Deux énormes filets de bave épaisse relient ma bouche à son chibre, j’en profite pour reprendre profondément ma respiration, bien ml m’en pris, la troisième salve arrive au niveau de l’arcade. Je sens un glaviot épais qui coule très lentement le long de l’arcade puis de mon nez jusqu’à mes lèvres, mon menton puis sur ma poitrine couverte de satin. Une immondice verte et jaune est incrustée dans mon chemisier et se mélange avec les grands filets de bave reliant ma bouche et sa bite qui se dépose partout sur mon haut, ma jupe, mes bas. Ma tenue serrée ne me permettant pas de me mouvoir aisément, je reste à sa merci.
Il s’assoit sur le canapé, me met dos à lui et me saisit en me faisant m’asseoir sur lui et par la même sur son chibre luisant, la pénétration est rude, heureusement, je m’étais ultra lubrifiée avant. Ma jupe est belle et classe, mais je suis coincée, je ne peux faire de grands mouvements avec mes jambes. Je subis donc, encore une fois, des coups de bites violents qui forcent mon cul et encourage mon oppresseur qui commente les situations dont il s’amuse « alors la bourge de caniveau, tu voulais une assise financière, je vais t’en offrir une autre d’assise, bien au fond de ton cul ».
Il me secoue comme une poupée désarticulée, à chaque mouvement, je m’empale sur son pieu qui écarte mes chairs. La douleur laisse place, à la chaleur dans mon ventre. Je sens sa bite qui palpite. Il va à chaque coup de piston un peu plus loin dans mon fondement, je sens un plaisir et une sensation douce qui envahit tout mon buste. Le bougre en prend alors plaisir à me titiller. « Alors la bourgeoise, elle aime ça la bite du peuple dans son cul, d’ailleurs tu vas venir le gouter ». Il s’arrête alors, me fait bien asseoir sur son mandrin afin que celui-ci s’enfonce le plus profondément possible dans ma boite de Pandore. Il se retire alors en me faisant agenouiller comme à l’église, il me fait mettre les mains dans le dos, et me signale « Les bourgeoises comme toi, ça aime bien aller à la messe, et bien voici ton Ostie, profites, il a été lustré et a bon goût ».
J’approche tout doucement ma tête, pour une fois il ne force rien et me laisse faire. Mes mains étant dans mon dos, je laisse aller ma bouche sur sa verge, n’étant freinée que par son pubis. Je redouble d’ardeur sur cette bite pour contenter la classe prolétaire Classe, je ne le suis plus du tout, les différentes sécrétions sur mon chemisier et sur ma jupe continuent à couler le long de mes bas, jusqu’à mes escarpins, je me sens sale, mais aussi excitée, par ces diverses souillures. Pendant que je suis vissée au bout de son sexe, il me saisit la tête par l’arrière et m’enfonce la bouche sur son pieu jusqu’à la garde, d’un regard pervers, il sourit et laisse échapper de la salive de sa bouche qui vient lentement couler sur mon visage et mes seins.
Il desserre ensuite son étreinte et me laisse à 4 pattes, et me fait sucer sa bite alors qu’il s’assoit dans le canapé. Quelque chose me surprend, je sens quelque chose d’humide sur mon cul, d’un bref coup d’œil, je vois son chien qui m’entreprend l’anus avec sa langue, son maître me glisse » et pourquoi les bourgeoises ça ne serait pas fait pour les chiens » ? Sur ce, il m’enfourne sa bite et son chien me refait complètement le cul avec sa lang ...

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