Voilà un pur fantasme, que je ne demande qu'à assouvir ...pourquoi pas avec vous ou un autre du même genre .... on peut aussi imaginer un roman photo ...:)) Alors vite à vos claviers


Lorsque je sonnais chez Stéphane, j’étais quelque peu anxieux. C’était un ami d’un ami, qui pouvait m’héberger pendant quelques jours, le temps de mon entretien à Paris. Un homme d’une cinquantaine d’années au cheveux grisonnants m’ouvrit la porte, vêtu d’un polo bleu et d’un jeans. Il me salua en me souriant.

- Tu dois être Anthony me dit-il ….
- Oui tout à fait bonjour Stéphane dis je en tendant la main
- Oh pas de ça entre nous me dit-il, en me faisant la bise ….Vas y entre me fit-il en me laissant passer.

Je rentrai dans un intérieur bien rangé et le suivis dans le salon, où il m’invita à m’assoir dans le canapé, le temps qu’il fasse couler un café. Il revint donc quelques minutes après, et posa deux tasses fumantes sur la petite table, et il s’assit près de moi. Je sentais sa cuisse contre la mienne.

- Alors comme ça tu dois passer quelques jours à Paris me dit-il
- Oui dis je, je dois passer un entretien sur deux jours pour un travail. Je te remercie de bien vouloir m’héberger car impossible de trouver une chambre d’hôtel à un prix raisonnable ici dis je
- Oh je t’en prie me répondit il en me regardant….

On discuta de tout et de rien pendant plusieurs dizaines de minutes, et il me proposa un nouveau café, que j’accepta. En revenant il s’asseyait à nouveau à côté de moi, et j’eus l’impression qu’il me collait encore davantage. Je sentais sa cuisse contre la mienne et cela me questionna quelque peu sans me gêner pour autant.

- Et tu es marié Anthony me demanda-t-il
- Non, je suis séparé et je n’ai personne en ce moment. J’ai eu une fille avec ma compagne et désormais je l’ai en garde un week-end sur deux. Et toi, Stéphane, tu es marié ? Tu as des enfants ?
- Ah non me répondit-il en souriant. Je suis homosexuel, et je n’ai jamais été en couple me fit-il. Cela ne te choque pas j’espère. Je n’aime pas cacher les choses me fit-il en souriant.
- Pas du tout Stéphane dis je en sentant que la pression de sa cuisse contre la mienne s’accentuait.

- Et tu n’as jamais été tenté par une expérience avec un homme me demanda-t-il. Je te demande cela sans arrière pensée me dit-il
- Non, jamais dis je du tac au tac.
- C’est dommage. Peut-être que l'occasion ne s’est jamais présentée. Cela arrivera peut-être un jour.
- Je ne sais pas, mais je ne crois pas.
- Oh il ne faut jamais dire jamais me dit-il, en me posant, l’air de rien, une main sur mon jean.

Ma cuisse droite était désormais caressée au-dessus du jean par la main de Stéphane qui le faisait sans y prêter attention. Le contact m’électrisa et me troubla, sans que je n’ose me l’avouer.

- Tu sais faire l’amour avec un homme est aussi jouissif qu’avec une femme.

Je sentais mon trouble grandir tant il caressait ma cuisse avec sensualité. Et ses propos m’interrogeaient.

- Je n’en doute pas dis-je mais la douceur, le charme et les …nichons d’une femme sont également source de plaisir osais je dire.

- Bien sûr me fit-il, mais un homme peut t’apporter la même chose tu sais…. Regardes, tu permets me fit-il en portant ses mains à mon torse….

- Oui dis je encore plus troublé ne sachant pas exactement ce qu’il voulait faire ….

il déboutonna deux boutons de ma chemise et glissa ses doigts sur ma peau ….et commença de sa main gauche à me titiller les tétons, alors que sa main droite me caressait toujours la cuisse de manière très sensuelle.

- Regardes, toi aussi tu as des seins me fit-il et tes tétons vont réagir et durcir j’en suis sur me fit il en les roulant entre ses doigts ….

La situation était déroutante, et je sentais pourtant une excitation grandir en moi, avec ma queue qui commençait à gonfler dans mon boxer DIM moulant. Je sentais qu’il prenait plaisir à me titiller les tétons, qui commençaient en effet à durcir sous ses roulés…. Sa main s’aventurait de plus en plus haut sur ma cuisse et ses doigts longs s’approchaient dangereusement de mon entrejambe.

- Tu vois que tu aimes me dit-il en me souriant. Mais il n’y a pas de mal me fit-il…. en continuant son manège. Tu sais tu aurais un soutien-gorge pigeonnant ce serait la même chose, tes mamelles appelleraient au regard et au toucher …Il souria

- Oui dis je mais quand même …Hi… je poussai un petit cri quand il me pinça assez fort le téton

- Et puis tu sais un porte jarretelle et des bas résille et tu serais vite à 4 pattes ….. ria-t-il en reprenant ses caresses sur mes tétons durs de plaisir. J’espère que je ne te choque pas Anthony.

- Non Stéphane dis-je, tu me ….troubles plus que tu ne me choques dis-je d'une voix douce.

- Ca je l’avais deviné me fit Stéphane en passant ma main sur ma bosse qui déformait mon jean Il insista juste quelques secondes sur ma queue qui ne cessait d’enfler de plaisir avant de revenir à ma cuisse. Je ne veux pas te forcer à quoi que ce soit, tu sais.
- Oui j’avais bien compris Stéphane.

En reprenant un peu mon souffle. J’étais excité, mais gêné sans me l’avouer. Et pour m’en sortir, je luis dis :

- il faut appeler Marc

- Oui tu as raison me dit-il en retirant sa main de dessous ma chemise. En revanche, l’autre main restait bien sur ma cuisse qu’il caressait langoureusement, osant parfois glisser sur l’intérieur des cuisses.

Je prenais le téléphone et appelais Marc, notre ami commun. J’avais voulu me lever, mais Stéphane accentua la pression sur ma cuisse m’interdisant de me lever et j’appelais donc ainsi.

- Allo Marc fis-je c’est Anthony.

Alors que je commençais la discussion au téléphone,; je sentis la seconde main de Stéphane me pousser au fond du canapé. Puis sa main passa sous ma cuisse, qu’il souleva pour reposer sur la sienne. J’avais, malgré moi , les cuisses écartées et la main de Stéphane qui me la caressait toujours.

- Oui, j’ai trouvé facilement dis je à Marc, et non merci le voyage n’était pas trop long.

J’avais du mal à me concentrer car Stéphane me caressait désormais la cuisse et à chaque caresse sa main passait, sans vergogne, sur ma queue. Il lui arrivait même de laisser sa main sur ma grosseur virile et de la masser à travers le denim.

- Oui Stéphane est super sympa et super accueillant dis je

A ces mots, la main de Stéphane commença a me branler doucement à travers le tissus

- Non, je n’ai que rendez-vous ...

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