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Initiation et dépucelage de mon apprentie - partie 2

Publié par : kimedose le 18/02/2023

Des petites larmes coulait au bord de ses yeux, je les ai séchées à l'aide de ma langue et lui ai demandé de me pardonner pour ce que je venais de lui faire subir. Je l'avais sûrement blessé dans sa dignité d'homme en construction, il devait surement me prendre pour un salop, un profiteur, etc, etc... La dessus il s'est mis à pleurer franchement et m'a dit que j'étais bien long à comprendre et que bien au contraire, c'est lui qui m'a chauffé au maximum et qu'il avait pris un énorme plaisir ce matin.

Son désir le plus cher serait que l'on «s'amuse encore souvent ensemble comme ce matin» mais qu'il ne pensait pas que ce soit possible que j'accepte maintenant l'on continue ensemble. Il avait commencé à s'ouvrir en me faisant part de ses désirs les plus intimes et maintenant il n'arrêtait ses confidences. Il m'apprit ainsi qu'il ne s'intéressait pas beaucoup aux filles et préférait surtout les garçons. Sa seule expérience s'est déroulée avec un ce ses copain de collège, Mathieu, que j'avais déjà croisé quelques fois avec lui. Ils s'étaient plusieurs fois isolés de leurs famille pour se retrouver dans leur chambres, nus tous les deux à se caresser, se masturber et se sucer en 69 afin de jouir et se soulager mutuellement.

Il me dit aussi qu'ils n'avaient pas osé pousser plus loin leur relation et que maintenant il voulait impérativement que ce soit moi qui lui dépucelle le cul. Moi assommé mais aussi amusé par cette demande incongrue, j'ai essayé de sortir gentiment du piège ou je m'était mis tous seul (avec plaisir) en lui expliquant que ce n'était peut être pas idéal de faire ça avec un homme de plus de 30 ans son aîné, et que la dernière fois que j'ai baisé avec des hommes, il n'était même pas né, de plus je suis quand même censé exercer une responsabilité morale vis à vis de lui et de ses parents et que de plus, je suis bien avec tout un tas d'autres arguments, plus raisonnables les uns que les autres.

Il se remit à pleurer et me dit que c'est moi qui lui à tout appris, les bases de son métier, tous les repères pour se comporter correctement en société, moi encore qui lui ai fait aimer l'enseignement des fondamentaux, mahts et Français où il était nul auparavant et encore beaucoup d'autres choses du quotidien. Il voyait la suite de notre relation amoureuse (ou seulement sexuelle selon mon bon désir) en remerciement de tout ce que j'avais fait pour lui.

Je devais prendre comme une offrande qu'il me réservait, ce qu'il avait aujourd'hui de plus cher au monde après ses parents, son pucelage. Lui désirait cet acte amoureux comme un enseignement, car il était persuadé que j'avais suffisamment d'expérience pour que cela se réalise dans les meilleurs conditions possible et sans trop souffrance pour lui. C'est bête à dire, mais ces paroles m'ont vraiment émue et j'ai été flatté de cette grande confiance qu'il m'accordait. Pendant ce temps, tout le sperme étalé sur nos ventres avait séché et devenait maintenant désagréable au touché.

Pour suspendre cette conversation, je lui dis que j'avais besoin de réfléchir à tout cela et que je lui ferais part rapidement de ma décision. Nous nous sommes levés et sommes allé prendre notre douche ensemble. Cette douche de caravane n'était pas bien large et nous nous sommes retrouvés bien collé l'un à l'autre. Bien entendu ce contact nous a fait rebander immédiatement. Nous nous sommes savonnés mutuellement et nous sommes masturbé l'un l'autre jusqu'à la jouissance. Inutile de dire que le chantier n'a pas beaucoup avancé ce jour là.

Nous avons passé la journée sur le lit à nous embrasser, nous caresser et encore nous faire jouir un fois pour moi, mais deux ou trois pour lui. Sa jeunesse lui donnait des ressources inimaginables et une récupération exceptionnelle. Vivre d'amour et d'eau fraîche est une belle chose, mais nos ventres commençaient à crier famine. J'ai pris la voiture pour me rendre à la ville voisine faire des courses, en refusant qu'il ne m'accompagne. J'avais besoin de faire le point seul et tranquillement.

Tout ce que nous venions de vivre était si fou et si fort, qu'il fallait absolument que je réfléchisse à cette situation, avant de prendre la bonne décision pour le proche avenir. Pendant au moins une heure, assis à la terrasse d'un café, j'ai pesé le pour et le contre, les risques pour mon avenir et également pour le sien. Mais dès que mon raisonnement devenait un tant soit peu censé, ce que l'on est en droit d'attendre d'un homme de mon âge et de mon expérience, mon esprit revenait systématiquement aux plaisirs que m'avait procurés le contact de sa peau juvénile, son sexe glabre, de son petit cul rebondi qui n'attendait que ma grosse bite pour s'ouvrir sur des plaisirs encore inconnus par lui. Toutes ces pensées commençaient à me faire perdre de nouveau la raison et malgré la débauche d'énergie de cette journée, je commençais à rebander dans mon short.

Comment réfléchir sereinement dans cet état permanent d'excitation? Je me suis vite fait une raison et j'ai décidé de vivre à fond le moment présent, sans tenir compte des suites à venir, puisque c'était mon plus fort désir et je savais que c'était aussi celui de Farid. J'ai rapidement fait mes courses et suis rentré à la caravane. En arrivant, mon petit amant se promenait simplement vêtu d'un tee-short qui lui arrivait à mi-fesses. Cette tenue était encore plus indécente que s'il s'était baladé complètement à poil. Je me suis précipité sur lui comme un mort de faim pour l'embrasser, le caresser, le sentir. J'avais l'impression que mon absence avait durée un siècle. Après nous êtes calmés un peu, j'ai disposé mes courses sur la table à manger.

Une bouteille de champagne, une de bon vin de bourgogne, une boite de préservatifs et un flacon de lubrifiant corporel. Je n'ai pas eu besoin de parler pour que Farid comprenne que ma décision était prise et qu'elle était conforme à son désir le plus cher. Je lui ai expliqué que si j'accédais à sa demande de dépucelage annal, j'y mettais quelques conditions. Premièrement il ne fallait pas qu'il s'imagine que notre relation puisse perdurer au delà de la fin du chantier et que je lui conseillais de reprendre contact rapidement avec le jeune amant de son âge, afin de vivre une relation plus conforme à la norme. Deuxièmement je désirais que cette initiation se fasse de façon très douce et amoureuse afin qu'il profite au maximum et ce dès le début, de toute la jouissance que peut procurer une sodomie bien faite. C'est ma troisième condition qui l'a le plus surpris, je voulais que lui aussi me sodomise avant que l'on mette fin à notre relation amoureuse et sexuelle.

Il m'a dit OK pour les deux premières mais qu'il ne se sentait pas capable, par respect, de «baiser» son patron, son modèle, presque son père du moins son idole, mais que pour me faire plaisir, si j'insistais, il essaierait quand même. Avant de réaliser nos projets, nous nous sommes restaurés à l'aide des petits plats fins achetés chez le meilleur traiteur de la ville. Durant le repas, il est resté sur mes genoux et je n'ai pas cessé de frotter ma queue sur son joli petit cul, de lui caresser le torse, les tétons et mélanger nos mets dans nos bouches à l'aide de nos langues. Après ce repas rapidement expédié, j'ai bue le champagne, après l'avoir versé directement sur son sexe tendue, directement à la source, comme s'il me pissait le divin breuvage directement dans la bouche. Ensuite, c'est son sillon fessier qui à eu droit à ce régime et j'ai visé le plus possible son pe ...

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