De mon autre main, j’attrapais son sein droit, un de ces seins qui m’avaient tellement fait fantasmer lors de mes parties de branle. Et voilà qu’ils étaient là, à l’ombre de la terrasse, et que la fraîcheur de l’un des deux calmait mon trouble, et mon sexe ne vibrait pas des soubresauts de mon branlage frénétique mais de la douce moiteur de sa bouche. Elle tétait mon gland, l’aspirait, léchait ma hampe tout en caressant mes couilles de ses ongles parfaits, j’étais aux anges. Elle prit ma main droite et la guida vers son sexe.
Bon ça, je savais à peu près ce qu’il fallait faire. De mon majeur, je massais ses lèvres lentement tout en l’introduisant parfois dans son sexe qui mouillait de plus en plus. Nous commencions à haleter. L’eau salée avait donné une texture particulière à sa peau qui m’intriguait. Je me penchais et lécher son sein. Elle m’attrapa par le cou, lâcha ma bite et me galocha comme une reine. Purée, cette femme savait embrasser avec passion ! Son autre main me branlait, mince ce n’était plus moi qui le faisais pour mon plus grand bonheur.
Elle me repoussa doucement, se leva, prit ma main, attrapa une serviette de bain et m’entraina à sa suite vers le canapé du salon. Elle s’y écroula sur la serviette, écarta ses cuisses et me regarda lubrique :
- Tu as déjà léché tes copines ?
- Oui, chaque fois, J’aime beaucoup ça.
Elle sourit et me tira vers elle. A genoux entre ses jambes, j’essayais de lui donner du plaisir de ma bouche et de ma langue, titillant, léchant, gobant son clito bien visible, fouillant son con de ma langue et de mon doigt. Je n’osai pas encore en mettre plusieurs à la fois mais elle m’y encouragea. Mon index et mon majeur allaient et venaient lentement dans sa chatte, la cyprine gluante s’accrochait à mes doigts, je les léchais pour en goûter la texture puis les renfonçai dans son con qui maintenant était bien lubrifié. Elle me donnait des indications, « oui reste-là » « non, plus bas » « oui vas-y branle-moi ». L’entendre parler m’excitait comme une puce, et bien qu’elle ne me touchât plus, j’allais jouir comme un jeunot. Enhardi par ses encouragements et mes lectures érotiques, je lui fis un ciseau : l’index dans le con, le majeur dans le cul. Je poussais lentement pour voir si elle acceptait cette caresse, elle ne dit rien et bien au contraire poussa pour me faciliter le passage du sphincter.
Mes doigts dans ses deux trous entamèrent une sarabande qui semblait la ravir. Mon autre main roulait son téton gauche qui se mit à bander dur. C’était la première fois que je sentais un téton bander, et je me sentis le roi du monde. Le meilleur des baiseurs de la terre entière !
Je sentis le bassin de Juliette se contracter dans un râle qui venait de ses entrailles et sortit du fond de sa gorge. Les yeux fermés, la tête renversée sur le dossier du canapé, elle caressa ses seins, puis ma tête qui n’avait pas quitté son sexe. Ma langue la lapait lentement. Elle reprit ses esprits et me dit : « Pour un jeunot, tu es doué de ta langue . » Je souris, fier comme Artaban. Elle se redressa et m’attira sur elle. « Prends-moi ». A tâtons, je dirigeai ma queue vers sa grotte, elle m’aida en me guidant vers le paradis.
Elle était chaude, mouillée, accueillante. Je fis quelques aller-retours et me répandit dans son con. J’étais trop excité et inexpérimenté pour me retenir, ça n’avait pas duré deux minutes Je me sentis penaud. Juliette caressait mon dos, alternant paume de la main et ses ongles magiques qui crissaient sur ma peau, sa respiration se calma. Elle me fit basculer sur le côté, se leva, et partit vers la salle de bain, son cul divin se balançant sous mes yeux. J’entendis l’eau de la baignoire couler, des bruits d’ablutions. Elle revint au bout de dix minutes, des seins blancs dansaient devant mes yeux ravis. Elle se laissa tomber sur le canapé, je restai assis par terre sur la fraîcheur du carrelage.
- Ça va ? me demanda-t-elle.
- Oui, très bien, répondis-je. Désolé d’être parti si vite.
- Pas grave, on a du temps devant nous. Viens t’asseoir à côté de moi.
Je me levais et m’assis à côté d’elle, ma queue pendant mollement sur ma cuisse. Elle se tourna vers moi et caressa mon torse, jouant avec mes pectoraux, mes abdominaux. Ma queue commençait à se dresser.
- Tu vois, les jeunes vous repartez vite ! pouffa-t-elle.
- Désolé, tu m’as toujours fait de l’effet, avouais-je.
- Ah bon ? Toujours ? minauda-t-elle.
J’étais pris au piège, tout seul comme un grand ! « Qu’est-ce que ça veut dire ? insista-t-elle.
- Euh, hésitais-je.
- Allez dis-moi. On est suffisamment intime maintenant.
Cramoisi, je lui avouai que depuis des années, je me branlai en pensant à elle, à ses seins lourds et fermes, ses jambes gracieuses, son sourire éclatant. « Ah bon ? Je suis flattée. Qu’une vieille comme moi excite un jeune m’émoustille. » Et elle se pencha vers mon sexe. Ce fut la première des plus extraordinaires fellations que j’ai reçues de ma vie. Sans doute le bénéfice de la nouveauté me direz-vous, mais elle y mit du cœur, de la douceur, de l’expérience et de la pornographie comme j’en lisais dans certains magazines et qui me faisaient bander comme un taureau. Me voyant bien dur suite à son léchage de prépuce, elle se releva, se mit à quatre pattes sur le canapé et me demanda de la prendre. Ce fut ma toute première levrette, mes deux expériences précédentes ne m’avaient pas préparé à ce délice. Mon prépuce frottait contre l’intérieur de sa cavité, mes couilles battaient ...
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