Cette histoire est un peu longue, mais ma première rencontre avec une vraie femme le valait. Bien entendu, les dialogues ne sont pas tous d’époque ! mais j’ai reconstitué au mieux ce moment délicieux de ma vie de jeune homme.
On est fou quand on a 17 ans. Mais aussi timide, empoté et gauche.
Eté 1981. J’avais 17 ans, j’allais entrer en Terminale en septembre. Mes parents, un couple modeste, n’avaient pas les moyens financiers suffisants pour me payer des vacances et ma tante avait proposé que je vinsse passer quelques jours chez elle pour profiter de la plage et des animations de la cité balnéaire. Toujours mieux qu’en appartement surchauffé dans Marseille ! Partant au boulot, elle me laissait seul la journée, mais cela me convenait : plage, lecture, plage, lecture, branlette étaient mon quotidien passionnant.
J’étais en vacances chez ma tante Simone à Cassis. Elle louait un magnifique appartement en rez-de-chaussée juste à côté de la plage du Bestouan, dans un immeuble style art déco bien entretenu. Un grand jardin plat, avec des graviers et bordé de restanques parfumées d’essences méditerranéennes, pins, cystes et lavandes, permettait un peu d’intimité sur la grande terrasse qui prolongeait le salon. Et la vue ! La Méditerranée à portée de main, en cinémascope.
De l’entrée de l’immeuble en dessus, un escalier extérieur conduisait à une échelle qui permettait d’accéder aux rochers et à l’appartement à leur gauche. Des rochers, une autre échelle, petite celle-ci, donnait accès à la mer. Quand la chaleur du sud nous alanguissait mollement, nous descendions sur les rochers nous rafraîchir en plongeant dans la mer. Cela a beau être la Méditerranée, les sources de Cassis rafraichissent considérablement l’eau, et il était rare qu’à cet endroit sa température dépasse les 18° même en plein cœur de l’été. Ce qui, pour nous sudistes, est frais !
Après le déjeuner, la chaleur accablante me décida à plonger une tête dans la Mare Nostrum. Je venais de remonter des rochers, ruisselant et rafraîchi. Je dépliais ma serviette de bain sur la terrasse, enlevai mon slip de bain et m’accroupis pour me réchauffer et bronzer au soleil.
Depuis mes 12 ans, je faisais intensivement du sport collectif et j’avais perdu ma pudeur enfantine. Il faut dire que les entrainements de basket dans des gymnases surchauffés ne donnaient pas envie de repartir chez soi puant la transpiration (j’ai encore aujourd’hui horreur des odeurs de transpiration, y compris les miennes), et la douche collective avec mes coéquipiers était un passage obligé avant de quitter le club. J’avais pensé que bronzer nu, en plus seul au monde, était une bonne idée pour épater mes copains à la rentrée. De plus, à cet âge, j’étais plutôt bien gaulé ; pas un gros sexe, mais corps musclé et surtout 20 kg de moins qu’aujourd’hui… 1m85 pour 83 kg de muscles à cette époque. Un beau bébé.
Avant de bronzer, je m’enduis le corps de crème solaire, ne voulant pas me prendre un coup de soleil sur les fesses, ce qui aurait été douloureux. Je m’allongeais sur le ventre, un bouquin d’Asimov à portée de main. Je sentais la chaleur ardente du soleil sur mes fesses et mon dos. En levant les yeux, j’avais la mer sur 180°. Je lis pendant une quinzaine de minutes l’histoire passionnante de R. Daneel Olivaw, puis fermai le bouquin en marquant la page et posai ma tête sur la serviette en fermant les yeux.
Je rêvassai et sommeillai bientôt, bercé par les cigales et le ressac de la mer sur les rochers. Un timide « Bonjour » me sortit de ma torpeur. Mon cœur bondit. Je levai les yeux et vis Juliette qui se tenait au bord des marches de la terrasse, visiblement gênée et curieuse tout à la fois. Elle tenait un sac de courses à la main.
- Désolée M., j’avais dit à ta tante que je passerais déposer les courses pour le barbecue de ce soir. Tu ne le savais pas ?
- Non, répondis-je, pivoine. (J’avais le feu aux joues et n’osais pas me lever). Elle a oublié.
- Encore désolée, mais je dois mettre les courses au frais. Si tu pouvais… Elle ne finit pas sa phrase mais se tourna vers la mer pour me faire comprendre qu’il fallait que je me lève.
Prenant mon courage à deux mains, je me levai et attrapai mon slip de bain que j’enfilai rapidement. Je vis que Juliette avait tourné son regard vers moi furtivement.
Juliette était l’ex belle-sœur de ma tante. Elles s’étaient mariées avec deux frères. Ma tante avait divorcé entre temps, mais elle était restée amie avec le couple et les voyait régulièrement. Adolescent bourré d’hormones, Juliette me faisait fantasmer et je m’étais régulièrement branlé en pensant à ses seins opulents qu’elle mettait souvent en valeur par des décolletés avantageux. Je la connaissais depuis ma plus tendre enfance. C’était une femme qui approchait la cinquantaine, une femme que je trouvais magnifique et désirable, avec un sourire que sa peau sombre de catalane rendait encore plus éblouissant. De ses origines espagnoles, elle avait donc gardé ces cheveux de jais, longs et bouclés, qui descendaient sur ses épaules bronzées découvertes par sa robe d’été bariolée. Et vu que j’ai toujours préféré les brunes… Elle n’avait pas eu d’enfant, et malgré son âge que je trouvais avancé (dire que je suis plus vieux qu’elle maintenant !), elle avait gardé un corps appétissant que j’avais déjà reluqué en maillot de bain : à part un petit bourrelet sur le ventre, elle n’avait rien de superflu. Cette vision avait été une source de masturbation intense.
Galant, je pris le sac de provisions et elle me suivit dans le salon ouvert sur la cuisine. Nous rangeâmes tout dans le frigo. Je lui proposai un café mais elle préféra un rafraîchissement. Nous allâmes sur la terrasse surchauffée pour prendre notre boisson et admirer le spectacle du cap Canaille dans la brume de chaleur.
- Dis-donc, il fait vraiment chaud aujourd’hui, me dit-elle pour briser la glace.
- Oui, mais l’eau rafraîchit bien, on y a presque froid avec le choc thermique.
- Je piquerais bien une tête mais je n’ai pas pris mon maillot.
- Les rochers ici ne sont pas naturistes ici, répondis-je. Il faut aller plus loin, vers les pierres plates.
- Tu y vas parfois ? J’ai cru comprendre que tu fais du naturisme ?
- Non pas vraiment, dis-je en rougissant. Tout à l’heure, j’étais seul.
- Tu penses que Simone aurait un maillot pour moi ?
- Oui, elle en a plusieurs. Il y en a un deux-pièces sur l’étendoir si tu veux.
- OK, je vais me changer.
Elle récupéra le maillot sur l’étendoir puis partit se changer. Elle revint quelques minutes plus tard. Le maillot de ma tante ne lui allait pas du tout, trop grand pour elle. Il est vrai que ma tante devait peser 15 kg de plus qu’elle.
- Tu m’accompagnes ?
- Oui, avec plaisir, j’ai chaud aussi.
- Tu pourras passer devant moi à l’échelle ? Ça m’impressionne toujours cette descente.
- Oui, sans problème.
Le haut du maillot me laissait apercevoir ses seins où se devinaient des marques de bronzage, le contraste peau blanche et peau bronzée caramel m’émoustilla. Arrivé au mur de soutènement, je l’enjambai pour atteindre le premier barreau. C’est vrai que quand on n’avait pas l’habitude, la descente sur les rochers pouvait impressionner : une échelle droite encastrée dans le mur de soutènement, une descente de 5 ou 6 mètres pour arriver sur les rochers, il ne fallait pas souffrir du vertige. Je descendis quelques barreaux et Juliette enjamba le mur pour poser le pied sur l’échelle. Juliette me dit « J’y vais », et je levai la tête pour voir si elle s’y prenait bien et l’aider au besoin. La culotte du maillot, trop grande, baillait et j’eus une vue terrible sur sa chatte poilue. Oui, dans les années 80, les femmes avaient une chatte poilue… Impressionné mais néanmoins dévoué à sa sécurité, je descendis les barreaux restants en ayant toujours le regard levé. Je touchai terre et elle me suivit quelques secondes après.
- Alors tu as apprécié la vue ? me demanda-t-elle avec son sourire éblouissant.
La gorge nouée, je ne sus que répondre, me demandant ce qu’elle voulait vraiment dire. Nous nous avançâmes vers la petite échelle qui donnait accès à une plateforme immergée d’où on pouvait se baigner. Nous étions seuls sur les rochers, le soleil brûlant au zénith n’incitait pas les résidents de l’immeuble à se baigner. Ils devaient tous faire la sieste ou être au travail. Nous laissâmes nos serviettes à proximité de la seconde échelle, enlevâmes nos espadrilles et lentement pour éviter les coupures de la roche volcanique, nous approchâmes de l’eau. Je descendis à nouveau en premier, puis debout sur la plateforme, j’aidai Juliette à descendre les 3 degrés.
- Ouah, elle est glacée, dit-elle en grelottant. Sa peau se couvrait de chair de poule.
- 16°, dis-je en regardant le thermomètre accroché à l’échelle. » Tel un escargot, ma bite se recroquevillait dans mon maillot, cherchant la chaleur de mes organes. « Il faut y aller d’un coup, sinon on n’aura jamais le courage ! » cria-je comme un gamin que j’étais et je plongeai.
L’eau froide me donna un coup de fouet. Je fis quelques brasses sous l’eau, les yeux ouverts, l’eau était d’une clarté incroyable, et émergeai dans un souffle de baleine. Juliette me souriait dix mètres plus loin, toujours sur la plateforme. Elle se pencha pour prendre de l’eau et se mouiller la nuque, elle sembla aussi frotter ses jambes pour les réchauffer ...
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