On retrouve les copains et les rigolades.
Mon copain aux yeux bleus fait la bise à tout le monde. Moi, à part les filles, on me serre la main.
Il parle et rigole avec tous, mais presque pas avec moi.
Je me rends compte que je deviens jaloux.
J'ai vraiment peur de le perdre. On a le même âge, je n'ai pas envie d'être obligé d'aller baiser avec plus âgé que moi.
Et l'arabe, si il s'y attache?
Au moment de rentrer, on prend la même direction. Au moment de nous séparer, avant de nous dire au revoir
- il habite où, ton arabe?
- au Pas-des-Lanciers!
- quel âge il a?
- on en reparle une autre fois.
- je peux passer demain?
Il réfléchit
- tappe à ma fenêtre!
Je lui tends la joue pour lui dire au-revoir, mais il me fait la bise sur la bouche.
- t'es con ou quoi? Si on nous voit ?
- tu m'aimes ou pas?
- oui!
- alors si on est avec personne qu'on connait, c'est sur la bouche entre toi et moi!
- ok!
Mais je n'en suis pas certain.
Dans mon lit, je pense à sa façon de me dire au-revoir et ce qu'il m'a dit.
Je me dis que s'il ne m'a pas trop adressé la parole, c'est qu'il voulait cacher notre drôle d'amitié.
Je suis un peu rassuré.
Je vais tout faire pour qu'on reste amis.
Jusqu'à une certaine limite!
Le lendemain matin, je vais chez lui avec peut-être 30 minutes de retard par rapport à la veille.
Je fais le tour de la maison et je colle la tête au carreau mais les rideaux cachent la vue.
Je décide de toquer et au premier coup, la fenêtre s'ouvre.
Il se redresse. Il ne dormait plus mais il se prélassait sous le drap.
- viens, entre!
J'enjambe en vérifiant que personne ne me voit.
- t'es pas levé?
- je t'attendais?
Avec un sourire.
Puis il écarte le drap pour me faire voir qu'il était à poil.
Son sourire est un aimant.
Je me penche pour lui faire la bise, sur la bouche comme il me l'a dit la veille, mais il enroule ses bras derrière ma nuque, et ouvre la bouche.
- tu m'aimes?
- tu veux encore une preuve?
- ouais!
Il relâche son étreinte et je lui fais des bises en descendant, sa bouche, son menton, sa gorge, sa poitrine, un téton. Quand j'arrive a son ventre je sens qu'il a des frissons.
Je descends encore et je fais la bise à son truc, sur toute la longueur.
Puis je le décalotte, et deux autres bises sur le gland avant de le caresser avec la langue.
En l'avalant, je le caresse de ses épaules jusqu'aux cuisses.
Je le pompe du mieux que je peux en fouillant son anus.
Pour mieux l'enculer avec mes doigts, je le retourne pour qu'il se retrouve au dessus de moi.
Il commence à me limer la bouche pendant qu'il fait entrer et sortir mes doigts dans son cul.
Il faut que je reprenne mon souffle.
- tu me préviens si tu sens que ça vient!
- pourquoi? Tu ne veux pas l'avaler?
- si, c'est juste pour ne pas être surpris.
On reprend notre petit jeu cochon, et au moment fatidique, je le retiens au fond, son gland dans la gorge, et jouant avec la langue sur la veine.
Je manque de m'étouffer, je n'arrive pas à tout avaler mais je n' ai pas envie de laisser d ...

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